Le blog de sylviafoulard
Comment tout cela a commencé
?...
Mes premiers souvenirs soyeux remontent aux
après-midis que je passais chez ma grand tante, une veuve de guerre, belle femme mure, toujours habillée de noir depuis son veuvage.
Elle avait un grand dressing dans lequel
j'adorais me cacher, et où je découvris un jour un voile de crêpe noir extrêmement soyeux et parfumé, dans lequel j'adorais m'enrouler... Mes premiers émois furent certainement liés à mes
premiers contacts sensuels avec ce voile diaphane, dont je recouvrais mon visage pour m'enivrer de la sensualité et du parfum de ma grand tante, dont j'admirais la silhouette, le style et le
strict maintien.
A l'époque nous n'avions pas école le
jeudi, et elle m'invitait souvent à venir passer la soirée du mercredi, la nuit et le jeudi auprès d'elle. J'étais son seul petit neveu et elle me couvait d'une attention amoureuse dont j'étais
si fier que j'aurais tout fait pour elle, si elle me l'avait demandé...
Dîner avec elle, me laisser baigner puis
déshabiller et la rejoindre dans son grand lit pendant qu'elle me lisait quelque histoire de la Comtesse de Ségur avant qu'elle ne m'accompagne dans ma chambre pour la nuit... Comme j'ai adoré
ces moments délicieux et ces soirées passées auprès d'elle !
Un soir où nous avions dîné tard, et écouté
ensuite un programme de radio, je m'étais endormi à ses côtés sur le sofa de son salon. Elle avait du ensuite me porter dans sa chambre, et je me suis réveillé allongé sur son lit, nu comme un
ver, tandis qu'elle était partie se préparer pour la nuit dans sa salle de bains. Je fis semblant de dormir et entre mes paupières entrouvertes, je la vis revenir dans une vaporeuse chemise de
nuit de nylon noir. Elle écarta les draps me glissa au creux de son lit et vint ensuite s'allonger près de moi. J'allais donc – - enfin ! - partager ma nuit auprès d'elle, dans sa chambre et dans
son lit ! J'en étais tout émoustillé, et déjà excité... Elle ne m'avait pas mis de pyjama et je crois que mon petit outil s'était soudain raffermi lorsqu'elle se glissa près de moi dans le lit.
Elle glissa son bras sous mon cou, me rapprocha d'elle, et, feignant toujours d'être endormi, je me collai frileusement auprès d'elle, ma peau nue en contact avec sa soyeuse chemise de
nuit...
C'est lorsque sa main vint à la rencontre
de mon intimité, que je sentis soudain celui-ci exploser en abandonnant quelques saccades de liquide tiède... Elle ne me réveilla point, mais je l'entrevis sortir sa main de sous les draps, et
sucer langoureusement ses doigts souillés par ma “pollution” coquine... Puis elle me colla encore plus étroitement contre elle, et je finis par m'endormir lové contre son corps adoré, passant
certainement là, l'une de mes plus érotiques nuits de jeune garçon.
Le lendemain matin, elle fit comme si de
rien n'était, et nous passâmes une journée tout à fait ordinaire; elle m'emmena au Luxembourg où elle me loua un voilier pour jouer dans le grand bassin, tandis qu'elle s'installait pour lire sur
un fauteuil à proximité de moi.
Elle n'évoqua jamais cette folle nuit. Mais
elle ne fut pas dupe de mes longs moments dans son dressing, ni de ma fascination pour son voile de veuve, et les fines dentelles qu'elle portait accrochées à ses grandes capelines noires. Car
l'hiver de mes douze ans, je contactai une forte grippe qui me laissa alité. Ma grand tante proposa ensuite de me garder chez elle, pour m'y reposer et reprendre des forces, et j'y passai donc
une semaine entière.
C'est là qu'elle m'offrit un foulard de
soie, délicieusement diaphane et léger, qu'elle me noua autour du cou pour protéger ma gorge. Il s'agissait d'une longue mousseline de soie de couleur bleu pâle, qu'elle nouait doublement dans
mon col et dont le subtil frottement sur ma peau, déclenchait des excitations incontrolâbles... Elle me le nouait tendrement chaque matin, et me l'otait le soir, en le remplaçant alors par l'un
de ses foulards chatoyant et soyeux, tout empreint de son parfum... Ce fut une semaine merveilleuse, qui décida sans nul doute possible, de mes passions, fantasmes et fétichismes
futurs...