Le blog de sylviafoulard
Pierre-Emmanuel gara la voiture dans une rue adjacente de la Porte Maillot, et bras-dessus, bras-dessous, nous dirigeâmes vers la salle de cinéma qui tout au bas de l’avenue de la Grande Armée, faisait presque le coin avec la porte Maillot. Il paya nos places, et une ouvreuse nous introduisit dans une grande salle obscure, où Pierre-Emmanuel exigea d’être placés presque au fond, aussi loin de l’entrée que des toilettes, dont la faible lueur rouge placée sur la porte, indiquait l’emplacement, presque sous l’écran. Nous regardâmes peu le film, parce qu’à peine assis, des mouvements de spectateurs dans l’obscurité nous indiquèrent que l’arrivée de notre trio n’était pas passée inaperçue. Un homme vint s’asseoir à ma droite, et un autre prendre place sur le rang devant le notre, juste devant Pierre-Emmanuel qui s’était assis entre nous.
J’entendis Marie-Charlotte soupirer avant de constater qu’ayant largement entrouvert sa fourrure, elle avait retroussé sa robe de soie pour que son mari caresse le haut de ses bas… L’homme assis devant nous s’était à demi-retourné et avait l’air d’apprécier le spectacle qui lui était offert. Pierre-Emmanuel avait passé sa main droite sur mes épaules, et glissé sa main vers mon cou, qu’il caressait de ses doigts sous le foulard que j’avais gardé. L’inconnu assis à ma droite posa sa main sur mon genou et je n’eus pas un geste pour l’arrêter. Au contraire, j’écartai légèrement me cuisses, ce qui eut pour effet de remonter légèrement ma courte jupe de skaï noir, si serrée sur mes hanches. On voyait maintenant nettement la bordure de dentelle de mes bas, et après avoir caressé doucement mon genou, les doigts de l’homme remontèrent lentement le long de ma cuisse en faisant crisser le nylon…Il pétrit tendrement ma cuisse à pleine main et s’aventura soudain sous ma jupe, là où le bas ne couvrait plus ma chair tiède. Je ronronnai doucement pour lui montrer que j’appréciai ses caresses, et me blottit encore plus dans les bras de Piere-Emmanuel qui m’embrassa sur la bouche. Je jetai un regard vers Marie-Charlotte, dont la robe était maintenant entièrement retroussée, et qui s’était elle-aussi alanguie dans les bras de son mari pour permettre aux mains de l’homme situé devant elle, de glisser sa main sous l’élastique de son slip qui brillait dans l’obscurité. Elle gémit quand les doigts de l’inconnu atteignirent son sexe, et commença à remuer son bassin, visiblement gagnée par une excitation qui la submergeait. Moi même je venais de sentir les doigts de l’homme se refermer sur mon petit sexe, et je lui souris lorsqu’il me dévisagea d’un air passablement étonné. Je me penchais vers lui, et glissant ma main vers la braguette de son pantalon, entreprit de détacher un à un ses petits boutons, puis glissai ma main gantée dans l’ouverture pour en ressortir une belle trompe noueuse au gland décalotté, que j’enfournais aussitôt entre mes lèvres écarlates. L’homme se mit à respirer bruyamment au fur et à mesure de ma fellation ; mais j’entendais aussi Marie-Charlotte haleter et cela m’excitait tant que je m’appliquais à bien sucer et lècher son sexe dressé. Il se raidit soudain et je n’eus pas le temps de le reprendre en bouche, qu’une forte saccade de laitance blanche s’en échappa brutalement pour venir s’étaler sur mon visage. Je pris son sexe entre mes lèvres et aspirai amoureusement ses saccades de foutre, que je roulai au fond de ma langue avant de les avaler avec délice. Je le suçai amoureusement jusqu’à ce qu’il commence à débander, et il conserva l’air prostré dans son fauteuil, jusqu’à ce que je me redresse à ses côtés. « Aimeriez-vous me sucer ? » lui demandais-je alors, et il me regarda à nouveau, avant de me proposer de le suivre aux toilettes. Je me retournai vers Pierre-Emmanuel, qui me sourit : « Vas-y ; je reste ici jusqu’à ce que Marie-Charlotte jouisse et nous irons te rejoindre ensuite » Je me levai, remit un peu d’ordre dans ma toilette, et dans le demi-obscurité de la salle, suivit mon voisin vers la petite porte située au pied de l’écran…
Je descendis doucement l’allée en suivant l’inconnu qui me précédait, prenant garde de ne pas trop faire claquer mes talons aiguille, persuadée que leur léger tac-tac sur le sol du tapis élimé de cette salle de cinéma, sonnait comme une érotique invite à l’intention des spectateurs tapis dans l’obscurité de cette salle obscure…Devant moi la porte des toilettes s’ouvrit en grinçant légèrement et l’homme disparut. J’arrivais à la porte et découvris qu’un escalier s’enfonçait vers le sous-sol. Je m’y engageai prudemment à cause de la hauteur de mes talons aiguille. Arrivée en bas de l’escalier je découvris une salle carrelée, avec deux lavabos surmontés de petits miroirs, et faiblement éclairée par une ampoule jaunie ; une cloison dont la porte était ouverte découvrait une rangée de cabines aux portes peintes de rouge sombre. Mon inconnu avait entrouvert la porte d’une cabine et il m’attendait à demi-retourné vers moi. En fait il me détailla longuement, puis s’approchant il me dévisagea avec un large sourire. Il avait la quarantaine, habillé simplement, il avait tout à fait l’air d’un petit fonctionnaire ou d’un épicier… « Tu es très belle » finit-il par me dire, et s’approchant de moi, il écarta les pans de mon manteau de fourrure, et ses yeux semblèrent apprécier le spectacle de mes seins tendant la soie transparente de mon chemisier noir. Il m’attira vers la cabine dont il ne referma pas la porte, et me poussant contre la cloison de faïence blanche s’agenouilla devant moi. De ses deux mains il releva ma jupe de skaï , mais j’en descendis moi-même la fermeture éclair, et elle vint glisser sur mes chevilles. Je m’en dégageai, et jambes écartées devant son visage cramoisi, je fis lentement sortir de derrière le minuscule triangle de dentelle noire de mon string, mon petit sexe qui y était blotti. Il se déplia lentement et l’homme avança doucement une main vers lui. Sa caresse m’électrisa aussitôt. Adossée à la cloison je fermais les yeux et laissai les doigts de l’homme l’amener à se raidir avant que je ne sente soudain ses lèvres chaudes en prendre possession et l’engloutir dans sa bouche avide. Je ronronnais de plaisir sous sa caresse buccale et, entrouvrant mes paupières, eût la surprise de constater que nous n’étions pas seuls.
Trois hommes nous regardaient agglutinés à la porte de notre cabine. L’un était
du même genre que mon inconnu , entre deux âges et assez ordinaire ; le second était plutôt cossu, rond, chauve et portant de grosses lunettes d’écaille, il portait un épais pardessus à col de
fourrure, et il avait la main négligemment posée sur l’épaule du troisième. Celui-ci était très jeune, moins de vingt ans très certainement, et il était habillé avec recherche, un foulard (de
femme ?) noué dans le col entrouvert de sa chemise. Le regardant plus attentivement tandis que lui aussi me dévorait des yeux, je découvris qu’il était légèrement maquillé ; je voyais son fond de
teint, le rose nacré dont il avait recouvert ses lèvres, et ses yeux soulignés de köhl. Ils semblaient apprécier le spectacle de la fellation que l’inconnu me prodiguait agenouillé à mes pieds
dans ce WC anonyme et quelque peu sordide. Lorsqu’il sentit mon sexe parcouru de soubresauts annonçant la montée de sève, l’homme retira ses lèvre de ma hampe, la prit dans ses mains, et en me
regardant, le branla en dirigeant mon gland vers son visage. J’éclatais soudain en longs jets désordonnés, qu’il prit en pleine face, ouvrant la bouche il en recueillit également sur sa langue et
dans son palais. Puis il me suça amoureusement le gland afin d’en nettoyer toute trace de laitance oubliée. L’excitation m’avait secouée et je repris lentement possession de mes moyens, en
regardant droit dans les yeux mes trois voyeurs. L’homme corpulent avait la braguette ouverte, et le jeune garçon y avait glissé sa main que je voyais s’activer en faisant bouger le tissus de son
pantalon. Je m’écartais de la cloison, ramassai ma jupe, et m’approchai de la glace située au-dessus de l’un des lavabos. Dénouant mon foulard de soie, je laissai mes chevaux s’étaler sur mes
épaules, et, avisant une patère au mur de cette salle, y suspendit ma jupe et mon carré Hermès. Ecartant les pans de ma lourde fourrure, je l’accrochais également au porte-manteau et me retournai
vers eux, seulement vêtue de mon chemisier transparent, de mon bustier et de mes bas. Posant mes mains sur mes hanches, je les regardais tous les quatre, et prononçai d’une voix basse et à peine
audible « l’un d’entre vous aimerait-il me faire l’amour ?… » Ils se regardèrent et le plus maigre, qui n’avait encore rien dit, et m’avait observé en silence, s’approcha de moi et me dit
d’une voix sèche : « Tourne-toi vers la glace et regarde-là ! Appuie tes mains sur le lavabo et tend tes fesses vers nous ; je vais préparer ta rondelle… » J’obéis et lui tournait le dos.
Dans la glace je pouvais voir les autres ne pas perdre une miette du spectacle qui
s’annonçait. L’homme posa ses mains sur ma croupe et entreprit de glisser deux doigts à l’orée de mon cul. Cambrée sur mes talons aiguille, j’écartais mes jambes au maximum en rentrant mes genoux
vers l’intérieur, afin de bien dégager mon petit trou. Ses doigts en prirent soudain possession, son index pénétrant lentement en moi. Constatant que j’étais déjà bien préparée, il enfonça alors
trois doigts dans mon anus et commença à m’en caresser les parois.
« Tu aimes çà salope ? Tu vas être servie… » et il se mit à agiter ses doigts en moi. J’ondulais de la croupe sous cette violente caresse qui distendait mes parois et annonçait d’autres pénétrations. Il finit par joindre son pouce à ses doigts et s’exclama à l’attention de ses compagnons « Regardez, cette pute est complètement ouverte, je peux y glisser ma main entière » Et il me branla soudain plus activement, enfonçant jusqu’au poignet sa main fine que je sentais glisser en moi de plus en plus vite. Je criai presque lorsqu’il prit dans sa main gauche ma queue qui s’était à nouveau dressée, et qu’il la caressa doucement. « Vas-y toi dit-il au jeune garçon, suces-la pendant que je la défonce » Le jeune homme vint alors s’accroupir entre mes jambes écartées et prit délicatement entre ses lèvres mon sexe gonflé. Bon sang il savait y faire ce minet, ses caresses de la langue étaient tout simplement divines, et je sentis à nouveau une violente excitation me gagner tandis que la main de l’inconnu continuait de me fister en tournoyant en moi. J’explosai soudain, criant, crachant ma semence dans la bouche du jeune garçon toujours collé à mon sexe, tandis que l’inconnu qui me pilonnait retirait brutalement sa main de mon fondement, m’arrachant un nouveau râle de plaisir, qui me laissa exangue, appuyée au lavabo.