Le blog de sylviafoulard

Ses parents partis pour la journée, je pus ainsi passer deux longues heures au lit enlacée avec Damien (c'est ainsi qu'il s'appelait mon beau lycéen, mon nouvel amant...) et nous parlâmes longuement, tendrement de ce que nous venions de vivre ensemble. Il m'avoua que c'était la première fois "qu'il faisait l'amour à une femme"...puis il rougit, hésita, et je l'embrassai en lui disant "bien sur mon coeur, pour toi comme pour moi, je suis une femme !" et il me raconta son quotidien, ses envies, ses plaisirs; il m'avoua qu'il se caressait souvent dans les toilettes en feuilletant les pages de dessous féminins des magasines de vente par correspondance de sa mère, avec l'une de ses culottes chapardée dans la panière de linge sale, qu'il portait à son visage et respirait avant de se faire jouir... Il en avait honte; mais moi je le rassurai, lui avouant que j'étais également passé(e) par là. Et je lui racontai longuement le chemin qui m'avait amenée jusqu'à Sylvia. Il m'écoutait fasciné et silencieux, lové contre moi. Puis nous refîmes l'amour, cette fois je m'allongeai sur le ventre, rehaussant mes fesses avec un oreiller et lui présentai mon "petit temple d'amour" bien écarté, dans lequel il se rua à nouveau avec la vigueur d'un jeune homme... Il me fit jouir une nouvelle fois, et je criai son nom (et mon bonheur) lorsqu'il éjacula en moi. Je le gardai un moment empalé en moi, et j'attrapai dans le tiroir de ma table de nuit mon rosebud - qu'il regarda d'un air étonné...- que je me posai comme un bouchon en lui disant "J'ai tellement envie de garder ton sperme en moi toute la journée"; Il était si heureux, il m'embrassai et me caressai, et je dus lui rappeler que l'heure tournait et que ses parents allaient bientôt rentrer ! Il se rhabilla, et après maints nouveaux baisers, nous nous quittâmes en nous fixant de nouveaux petits RDV secrets pour les prochains jours. Au moment de partir il me dit avec enthousiasme que sa famille était invitée à un mariage dans deux semaines, et qu'il prétexterait devoirs et leçons en retard pour essayer de rester seul dans l'appartement durant les deux jours... Je lui demandai comment il s'y prendrait, et il me dit qu'il savait jouer les faux malades... Après une dernière étreinte et un long baiser, il me quitta pour rentrer chez lui. Adossée à la porte, le coeur battant encore de ce délicieux moment, je me sentais soudain si heureuse, et si femme, que je me caressai doucement et réussit à me faire à nouveau jouir au simple souvenir des merveilleuses étreintes connues avec Damien cet après-midi...
Nous connûmes à dater de ce jour quelques nouveaux RDV furtifs et hélas trop rapides pour de nouvelles étreintes, mais à chaque fois que nous nous retrouvions, il papillonnait heureux et si amoureux de moi que j'en étais flattée et ravie.
Je lui demandai ce que ses parents pensaient de moi, comme voisine, et il m'avoua que son père me trouvait "très chic" et que sa mère l'avait mise en garde contre moi, lorsqu'il lui avait appris que j'étais enseignante. Elle voulut savoir comment il l'avait su et Damien expliqua qu'il m'avait entendu le dire à un autre voisin dans la cabine d'ascenseur que nous partagions. Il rit "Maman a l'air d'être un peu jalouse de la fascination que vous exercez sur Papa..."
Les deux semaines filèrent vite et je trouvai un matin sous ma porte un petit mot plié où il m'annonçait qu'il avait convaincu ses parents, et qu'il pouvait rester seul pendant qu'ils iraient sans lui au mariage.
Je me dégageais donc de toute contrainte pour ce weekend qui s'annonçait sous de délicieux auspices pour nous deux... Depuis que nous avions fait l'amour ensemble, je n'avais pas eu d'autres relations ou rapports, et j'attendais avec au moins autant d'impatience que Damien ce nouveau rendez-vous amoureux...
Le samedi arriva, et je pus assister de mon balcon au départ en voiture de la famille sans Damien. Il ne se passa pas un quart d'heure avant que celui-ci ne sonne à ma porte; il m'embrassa fougueusement et m'annonça qu'il me préparait un "goûter d'amoureux" pour l'après-midi, et je dus insister pour qu'il rentre chez lui et me laisse me préparer en toute quiétude...
Une heure plus tard j'étais prête : très BCBG (ou CPCH comme Damien me l'avait dit un jour "Collier de perles-Carré Hermès". J'avais adoré la formule qu'il avait entendue prononcer par certains de ses copains lycéens, fascinés par les jeunes beautés du lycée Lafontaine voisin de la Porte Molitor...)
J'avais choisi des dessous smarts - mais sexy - string de soie et dentelle noire, corset de satin gris, bas gris fumée, escarpins à haut talon, collier et boucles d'oreilles en perles, courte jupe de mohair noir, et chemisier panthère en voile de soie avec un grand carré de soie Hermés négligeammant noué autour de mon cou... Maquillée et parfumée, mon sac en bandoulière après avoir refermé la porte de mon appartement, je traversais le palier et sonnais à la sienne, qui s'ouvrit aussitôt (il devait m'attendre derrière !) et Damien me regarda fasciné en me complimentant "Vous êtes si belle Sylvia..." Nous nous embrassâmes et il me fit visiter leur bel appartement, très bourgeois dans sa décoration mais aussi très "cosy" et très accueillant. Le salon était double et près d'une grande table basse où Damien avait préparé boissons et pâtisseries, un épais tapis de fourrure blanche s'étalait jusqu'à la cheminée capucine sur le sol du salon. Damien s'y agenouilla face à moi et faisant remonter de ses deux mains ma courte jupe de mohair, il me dit qu'il avait envie "de me sucer"! Ravie de cette entrée en matières, je le laissai faire glisser mon string et caresser de sa paume mon petit sexe qui avait commencé à se déplier doucement face à lui... Il le prit alors entre ses lèvres, et je tressaillis tant son contact m'électrisa soudain, déclenchant de douces ondes de plaisir en moi; je pris sa tête entre mes mains et rythmai doucement avec lui sa délicieuse caresse, qui lentement faisait monter en moi une sublime excitation. Mais je me retins, ne voulant pas si vite, trop vite, jouir avant de réaliser l'envie qui me caressait depuis plusieurs jours. Je lui relevai la tête, l'obligeant à quitter mon sexe et à me regarder.
- "Damien mon chéri, aimerais-tu que je te fasses l'amour comme tu me l'as fait l'autre après-midi ?..." Il me regardait hésitant et interrogatif. "Si tu le veux je peux te faire connaître ce nouveau plaisir; ne crains rien, je serai tendre et très prudente avec toi; tu ne ressentiras que du plaisir..." Je le sentais hésiter et j'allais abandonner cette idée, lorsqu'il prit ma main qu'il embrassa puis il  releva la tête et me murmura "Oui, je voudrais bien essayer, pour connaître ce plaisir que vous avez éprouvé si violemment lorsque j'ai joui en vous..." Je l'enlaçai et l'embrassai "Oh mon chéri, quelle belle preuve d'amour tu me donnes ! Déshabilles toi vite, j'ai trop envie de toi mon chéri, je veux te faire pleurer de plaisir !" Il se déshabilla prestement tandis que je me défaisais de mon chemisier et de ma jupe. Il s'allongea à plat ventre sur l'épais tapis de fourrure, et je sortis de mon sac le tube de vaseline dont je pris une grosse noix sur mes doigts et m'allongeant à ses côtés, je commençais à masser son anus que je sentais contracté par l'appréhension. "Laisse toi faire mon chéri, fais moi confiance, tu vas ressentir très vite l'effet de cette crème" mes doigts étalaient lentement en lui le lubrifiant et mon index le poussait à l'intérieur de son conduit, que je voyais et sentais s'élargir doucement au contact de cette caresse. "Tu aimes ma caresse ?" lui demandais-je, et Damien, relevant sa tête fit oui de la tête en commençant à ronronner comme un chat caressé... Je le massais et entrais maintenant deux doigts en lui que je faisais bouger lentement, ce qui déclenchait de légers mouvements de sa croupe tendue. Il se mit à feuler et à pousser de longs soupirs... Je le sentis alors prêt à me recevoir. Je l'embrassai dans le cou et le chevauchai lentement en l'aidant à relever légèrement son bassin, puis très excitée j'approchai mon sexe bien dur et dressé de sa fente vaselinée et j'y posai le galet de mon gland décalotté. "Tu me sens mon amour ?" - "Oh oui, Sylvia, allez-y, je vous veut en moi..." Je fis alors pénétrer mon gland dans son anus, qui l'accueillit en se serrant, et en lui arrachant un petit cri de plaisir "Je te fais mal ?" - "Non, non, c'est bon..." me répondit-il, alors je poussai d'un léger coup de rein mon sexe bandé qui pénétra en entier en lui et il se mit à gémir en murmurant de plus en plus vite "Oh oui, c'est bon, c'est bon..." je m'appuyai alors sur mes mains et me retirant presque je me réenfournais sur lui en commençant à rythmer ma sodomie avec douceur... Plus je le baisai, plus il marmonnai de petits cris de plaisir, et lorsque j'accélérai soudain mon mouvement il se mit à gémir longuement en criant presque "Oh oui, oh oui, c'est si bon..." et le serrant très fort contre moi, je jouis soudain violemment ! La vaseline répandue fit presque ressortir en entier mon sexe (qui n'était ni très épais ni très long) de son anus, et je répandis le reste de ma semence surs ses fesses, que je couvris ensuite de baisers et de ma langue, pour boire à sa source, le fruit de mon plaisir.
Damien resta allongé un long moment et moi affalée sur son dos, puis je me relevai et se retournant, il me prit alors dans ses bras et m'embrassant avec passion, me murmura "Oh merci Sylvia !" Je caressais son visage, embrassai ses yeux où perlaient deux larmes et lui dit "Tu étais mon amant, et tu es maintenant devenu mon Amour" et c'est en caressant son sexe de ma main, que je découvris la semence qui s'en était échappée et qui coulait de son gland congestionné..."Oh, tu as joui toi aussi ?" - "Oui, c'était si bon !" je l'embrassai tendrement et ajoutai mutine "Tu as sali le tapis de ta maman..." Il éclata de rire, et nous roulâmes enlacés sur la grande fourrure en étalant sur nos corps, la semence que Damien venait d'y projeter...  
 
Sylvia

Mer 6 sep 2017 Aucun commentaire