Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:55

Je rentrai à l'appartement avec Jennifer, et elle se déshabilla devant moi, puis me tendit la cage en plastique que je lui cadenassai sur son sexe pour la nuit. « As-tu aimé cette première expérience ? » lui glissais-je à l'oreille... « Oh oui Maîtresse ! »

Je déposai un léger baiser sur ses lèvres en lui souhaitant une bonne nuit, puis la quittai en refermant à clé la porte de sa chambre.

Dans notre chambre, Victor alluma la lumière dès mon entrée, et m'invitant à venir sur le lit près de lui, voulut que je lui raconte notre sortie... Mon récit sembla l'émoustiller fortement, car une fois déshabillée et démaquillée, lorsque je revins me glisser à ses côtés dans notre lit, il me prit dans ses bras, m'embrassa tendrement et me dit qu'il aimerait lui aussi, tester notre soubrette dès le lendemain.

Je le masturbai doucement et nous nous endormîmes enlacés, comme deux amants comblés, et heureux de notre nouvelle acquisition.

Je me levai le lendemain matin et allai ouvrir la porte de la chambre de notre soubrette, en lui recommandant de se préparer rapidement puis de préparer nos petits dejeuners, et de nous les amener dans notre chambre, que je rejoignis aussitôt

Moins d'une demi-heure plus tard, Jennifer entrait avec un grand plateau fumant qu'elle déposa précautionneusement sur le lit entre nous et entrepris d'écarter les lourds rideaux pour faire entrer la lumière du jour. Victor la regarda et la complimenta pour sa soirée avec moi « Sylvia m'a dit que tu avais été parfaite, obéissante, ouverte et très docile. C'est bien. Aujourd'hui c'est moi qui te prendrai en charge. Nous irons faire quelques emplettes ensemble. » Puis il la congédia et nous déjeunâmes en devisant de nos plans et projets pour la journée.

Une heure plus tard, habillés, nous appelâmes Jennifer en lui demandant de se préparer à sortir. Comme elle n'avait pas de toilette appropriée, je lui prêtais une robe de dentelle noire dont elle recouvrit son petit corset, puis je lui choisis ce même manteau de fourrure qu'elle avait porté hier soir et j'accrochai à l'anneau de son collier, la dragonne et la laisse utilisées la veille au soir.

Nous partîmes ensuite tous trois rejoindre la voiture au garage, et nous partîmes vers la Place Clichy, dans un petit magasin sexy (Jacky Jack) où Victor avait pris l'habitude d'acheter diverses tenues coquines, magasin qui était tenu par une de ses amies, et où nous pouvions disposer d'un petit salon d'essayage.

Victor lui fit essayer plusieurs tenues de soubrette, et commanda divers attributs nécessaires à sa parfaite tenue et à son service. Nous regagnâmes notre véhicule avec tous nos paquets, puis Victor ferma la voiture et me prenant par le bras il nous entraîna sur le trottoir du Boulevard de Clichy. Comme je tenai toujours Jennifer par la laisse passée à l'anneau de son collier, notre trio ne passait pas inaperçu et de nombreux passants nous regardaient stupéfaits et nous suivaient d'un regard étonné.

Dans une petite rue perpendiculaire, Victor obliqua et pénétra dans une échoppe de tatoueur, où il devait être connu, car l'homme qui sortit de l'arrière boutique dès qu'il entendit la sonnerie de la porte sourit en le voyant et lui demanda « Comment allez-vous Monsieur Victor, cela fait longtemps que vous n'êtes pas passé à la boutique » Victor lui répondit poliment, me présenta à l'homme comme « sa compagne » et montrant Jennifer, toujours tenue en laisse, dit à l'homme « C'est pour notre soumise, nous souhaiterions la faire tatouer » « Parfait dit l'homme, Passons à côté, je vais fermer la boutique » Puis ayant oté le bec de canne et tiré un rideau sur la porte d'entrée, il nous fit passer derrière un autre rideau de velours rouge, et nous pénétrâmes dans une salle où tronait un fauteuil de gynécologue et de multiples instruments et pots d'encres. Au mur des dizaines de croquis, dessins et photos témoignaient des divers tatouages pratiqués dans la boutique, et donnaient aux visiteurs non encore décidés, quelques idées de tatouages à pratiquer...

L'homme aida Jennifer à ôter son manteau, Victor lui intima l'ordre d'ôter aussi sa robe et de s'installer seulement vêtue (sic) de son corset et de ses bas dans le grand fauteuil, que l'homme inclina presque à l'horizontale et où il commença à attacher notre soubrette avec des ceintures de cuir qui maintinrent étroitement son torse, ses bras et son bassin sur le fauteuil. Puis il écarta les jambes de Jennifer, et attacha chacune de ses chevilles aux barres destinées aux jambes des patientes, qui étaient écartées à 45° du fauteuil lui-même. Je remarquai que tout en restant silencieuse, Jennifer tremblait légèrement, certainement par appréhension de ce qui allait lui arriver...

« Où voulez vous un tatouage et de quelle genre ? » demanda l'homme. Victor s'approcha et posa sa main à l'intérieur des cuisses de Jennifer, assez haut, très près de son string de voile. « Ici, de chaque côté je veux deux tatouages. Sur la cuisse gauche son prénom « Jennifer » avec un as de pique et un cadenas; sur la cuisse droite une chaîne et un cadenas pour rappeler son état d'esclave »

« Parfait. Voulez vous uniquement du noir ou... » « Mettez un peu de rouge dans le relief de son prénom et de la chaîne... » poursuivit Victor. Nous allons faire quelques courses et nous repasserons dans une heure » . Il glissa six billets de 100 F; dans la main de l'homme qui nous raccompagna à la porte. Au moment de sortir, Victor se pencha vers l'homme et lui dit « Ce prix inclut une petite récompense, que notre soumise vous règlera de la façon qui vous plaira... » Puis nous sortîmes.

Victor m'emmena dans un bar situé un peu plus loin dans la rue où nous nous installâmes et où il commanda des consommations qu'on nous servit assez rapidement.

« Croises bien tes jambes » me souffla Victor, j'ai l'impression que l'homme assis sur la banquette là-bas s'intéresse beaucoup à toi... » J'obéis aussitôt et fis crisser mes bas en décroisant mes jambes gaînées de nylon noir; puis je levai les yeux sur l'homme qu'il m'avait indiqué. C'était un bel homme, de 35-40 ans, à la peau mate et aux cheveux bruns. Ses yeux sombres me dévoraient littéralement et j'en fus si surprise que je ne pus cacher un délicieux et timide sourire, auquel il répondit par un baiser de bout de ses lèvres. Je baissai les yeux, mais Victor qui n'avait rien perdu de ce rapide échange, me murmura tout en feignant de lire son journal qu'il avait déployé devant lui « Va donc faire un tour aux toilettes... » Je ramassai donc mon sac à main et me dégageant de ma fourrure que je laissai sur le dossier de ma chaise, je descendis le petit escalier qui menait aux toilettes. Il n'y avait qu'une cabine, coincée entre un taxiphone et un petit lavabo surmonté d'une glace, devant laquelle j'entrepris de rectifier mon maquillage. J'avais mon eye-liner à la main lorsque je vis dans la glace, cet homme descendre l'escalier et s'approcher de moi. Je le regardai dans la glace lorsque je sentis ses mains se poser sur ma robe de soie bleue et la faire légèrement remonter sur mes cuisses... « Oh, s'il vous plaît, pas ici » osais-je lui murmurer avant qu'il ne me retourne face à lui et qu'il plaque soudain ses lèvres sur les miennes. J'entrouvis mes lèvres et laissai sa langue se mêler à la mienne. Sa main avait glissé sous ma robe et caressait maintenant le haut de mes bas, tandis que son autre main s'était posée sur mon cou. Je m'abandonnai à son étreinte et il me poussa doucement vers la cabine des toilettes dont il referma le loquet derrière nous. Il me fit pencher en avant, et je dus poser mes mains sur la chasse d'eau tandis qu'il retroussait ma robe et faisais glisser mon slip de voile noir sur mes chevilles. Je m'en débarrassais tandis que ses doigts partaient à la découverte de mon intimité... Il caressa doucement mes fesses, effleura mon entre-jambes et sursauta en découvrant soudain mon petit sexe replié. « Qu'est ce que c'est que cette plaisanterie ? lança-t'il soudain... Tu es un garçon ? » Et me relevant brusquement il me força à le regarder en face. Il avait l'air en colère, peut-être vexé d'avoir été trompé par mon apparence. Il me détaillait en silence et ayant posé l'une de ses mains sur ma poitrine me demanda « Ce sont des vrais ? » J'acquiésai timidement en baissant les yeux, et il me retourna alors une nouvelle fois en me faisant pencher en avant, et je sentis qu'il se débraguettait, avant que je ne sente son gland se présenter au bord de mon petit « temple d'amour » comme l'appelait Charles... Il mouilla ses doigts de sa salive, en enduisit rapidement mon orifice puis força un peu brutalement mon entrée de son sexe dressé, ce qui m'arracha un petit cri de surprise. Je sentais son pieu tout entier en moi, et il se mit alors à bouger en le faisant coulisser, d'abord doucement, puis de façon de plus en plus saccadée , ce qui déclencha aussitôt chez moi une une montée d'excitation. Je me mis à gémir tandis qu'il me labourait consciencieusement, mais avant même de contrôler mon plaisir, je l'entendis pousser un râle de plaisir et je sentis son sperme jaillir et couler dans mon fondement puis sur mes cuisses lorsqu'il se retira, presque aussi brutalement qu'il était entré... « Tu as aimé, salope ? » me lança t-il lorsque je me redressai lentement. Je le fixai dans la glace du lavabo, et lui répondit « Oui et non lui dis-je Oui parce que vous avez joui en moi si rapidement que je suis fière de vous avoir autant excité, mais non car vous ne m'avez pas laissé le temps d'arriver moi-même au plaisir... » Il rit et me retournant face à lui, me dit «Ce n'est pas toi qui doit avoir du plaisir. Si ton homme te confiait à moi, je t'apprendrai vite comment te consacrer au seul plaisir des hommes qui te désirent et rêvent de te faire l'amour ».

Sur ces mots, il dévérouilla la porte, et remonta dans la salle. Je pris le temps de me recoiffer et de refaire mon maquillage avant de rejoindre Victor, qui d'un sourire me glissa « C'était bon ? » « Oui, oui le rassurais-je, Rapide, mais délicieux » Victor sourit et poursuivit « En tout cas ton nouvel ami a eu l'air d'apprécier, car il vient de me demander de te laisser quelques jours à sa disposition dans ce bar dont il est le propriétaire... » A mon air effaré, Victor me rassura « Ne t'inquiètes pas mon amour , je ne te laisserai pas dans ce claque... par contre en ce qui concerne Jennifer, c'est une option que je n'avais pas encore envisagée... » Puis il paya les consommations, m'aida à enfiler ma fourrure, et nous quittâmes l'établissement sous le regard plein d'ironie de mon violeur, qui avait tranquillement repris sa place dans la salle, et qui m'adressa un baiser silencieux lorsque nous sortîmes dans la rue en me murmurant des mots que je crus déchiffer comme « A bientôt !... ».

 

 

Par sylviafoulard
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