Partager l'article ! Arrêt sur l'autoroute de Paris à Bordeaux: Laure habite maintenant Bordeaux, et chaque fois que je passe en France, je l'appelle et nous essayo ...
Laure habite maintenant Bordeaux, et chaque fois que je passe en France, je l'appelle et nous essayons de nous voir. Nous nous sommes
connues dans des soirées travesties au creux des années quatre vingt, et depuis qu'elle vit avec son petit esclave que je lui ai féminisé, dressé et préparé pour son seul service, elle s'est
installée en province avec lui, qui s'occupe de toutes les tâches ménagères de sa maison.
Laure a - comme moi - la cinquantaine épanouie; elle est toujours aussi chaude et disposée à faire les choses les plus folles. A Noël, je l'avais avertie que je venais passer une dizaine de jours
en France et elle m'avait fait savoir qu'elle viendrait m'accueillir à Roissy, et que nous passetions ensuite trois-quatre jours chez elle dans sa grande maison près de Bordeaux.
J'arrive en fin d'après-midi à Roissy, il faisait froid mais moins encore qu'à Ottawa d'où je venais, et j'avais emmené dans mes affaires un superbe manteau de fourrure de zibeline en cas de
grand froid en France.
Laure m'attendait en femme, impeccablement maquillée, sexy, très BCBG avec un grand manteau d'ocelot et un foulard Hermès.
Nous nous embrassons, elle rit en caressant la braguette de mon pantalon et me sussure "tu as ton string de voile noir sous tes habits de gentleman canadien ?" sous les regards des autres
passagers, qui tiquent un peu...
Elle a réservé une chambre au Novotel de l'aéroport, et nous y dinons comme un couple qui se retrouve après une longue absence. C'est là qu'elle m'explique son "plan" : On monte dans sa chambre,
on se gouine un peu, puis on se fait belle toutes les deux et on prend la route buissonnière comme deux belles bourgeoises qui ont envie de s'encanailler sur toutes les aires d'autoroute qui
mènent à Bordeaux ! Quelle idée ! mais si excitante...bref, on monte vite dans sa chambre, nous faisons l'amour. Puis un grand bain moussant et tandis que Laure se re-pomponne, moi je sors mes
parures et affaires pour me relooker façon Sylvia.
Le grand plaisir avant de quitter l'hôtel c'est de nous regarder, toutes les deux, bras dessus bras dessous en fourrures, foulards et gants, faisant claquer les pointes de nos talons aiguille
dans le hall tandis que le voiturier amène la Volvo de Laure dans laquelle il range soigneusement mes affaires dans le coffre. Il nous sourit, je lui donne 10 euros et Laure lui caresse le sexe.
A peine partie, et déjà elle commence à draguer... Le jeune voiturier rougit et Laure lui propose une "sucette" . Il bafouille, rougit encore plus et lui montre sa cabine dans le parking. Laure
le suit et revient au bout de 10 minutes, en passant sa langue sur ses lèvres :"Mignon, mais beaucoup trop rapide !" "Tu l'avais trop excitée - lui dis-je - tu devrais faire monter la sève un peu
plus lentement..." Elle rit, s'installe au volant et nous prenons la route, via l'autoroute vers l'Aquitaine.
J'ai du lui interdire de s'arrêter dès les premiers parkings, préférant quand même avancer vers notre destination. Mais c'est juste après Orléans, qu'elle m'a soudain dit "Je n'en peux plus, il
me faut une queue bien dure très vite". J'ai rit et nous nous sommes engagéss dans une aire de service. Il était près d'une heure du matin, et beaucoup de véhicules particuliers étaient garés
pour la nuit. Laure dépassa le petit édicule de béton qui sert de toilettes sur ces aires d'autoroute, puis freina subitement en se garant, car un homme arrivait à pied de l'aire de stationnement
des camions situé un peu plus loin, et venait semble-t'il faire sa toilette, (serviette et nécessaire à la main) avant d'aller dormir.
Nous attendîmes quelques minutes, puis nous descendimes du véhicule, et remontâmes en parlant assez fort (mais le bruit de nos talons aiguille suffisait à annoncer notre arrivée...) vers le petit
bâtiment. Délaissant la partie "femmes", nous entrâmes dans la partie oposée, où un bel homme d'une quarantaine d'années, torse nu était en train de se raser.
"Bonsoir" fit Laure en lui décochant son plus beau sourire ; "Bonsoir" répondit-il surpris. Je me glissai dans la cabine des WC, laissant la porte largement ouverte et Laure s'approcha de lui en
lui demandant où il allait. Il comprit très vite ce que Laure attendait de lui, car à peine avais-je terminé mon petit besoin, remettant mon clitoris dans sa petite culotte de soie noire, que je
le découvrit débarrasé de sa mousse à raser, en train de caresser les jambes gainées de soie noire de Laure, qui s'était assise sur le rebord du lavabo. Je m'approchai d'eux et regardai l'homme
lui écarter délicatement les cuisses, en glissant sa main de plus en plus loin sous sa jupe; lorsqu'il eut atteint son sexe, il sourit, dit "je m'en doutais un peu, mais j'avoue avoir été bluffé
par votre beauté et votre classe". Laure feula d'excitation, et se levant du lavabo vint s'agenouiller près du routier dont elle ouvrit la braguette du pantalon de ses longs ongles manucurés.
Elle sortit une fort belle trompe à demi dressée, qu'elle recouvrit illico de ses lèvres écarlates. L'homme, appuyé au lavabo soufflait fortement, alors je m'approchais de lui et collant mes
lèvres aux siennes, lui glissai ma langue dans sa bouche, pour un baiser torride. Il m'enlaça et tandis que Laure le suçait divinement, il remonta mon manteau de fourrure et ma jupe pour caresser
mes fesses à peine cachées par la soie noire. Il glissa une main sous le voile de ma culotte et commença de son index à titiller mon petit trou d'amour.
Ce qui me fit aussitôt onduler du croupier, me collant à lui pour faciliter son intromission. Il glissa bientôt un second doigt à côté du premier, et sentant que sous sa pression, mon petit cul
s'entrouvait, les fit tournoyer de façon plus saccadée. Je me mis à gémir sentant le plaisir qui montait de mes reins. Il ahanna soudain un grand coup et jouit à longues saccades dans la gorge de
Laure, toujours collée à son sexe pour nepas en perdre une goutte qu'elle avala soigneusement avant de le nettoyer de sa langue et de ses lèvres.
C'est à ce moment que le partenaire de l'homme arriva dans les toilettes, assez stupéfait du spectacle découvert, mais assez rapidement en action pour s'occuper de mon petit cul qu'il voyait
s'agiter sous les pénétrations de l'index de son compagnon.
Il était un peu plus jeune que l'autre, 30, 35 ans peut-être, blond et assez fin. Il vint se mettre derrière moi et remplaça très vite les doigts de son copain par une queue que je sentis d'abord
forte et noueuse, avant d'éprouver sa longueur au fil de sa pénétration. Lorsqu'il se fut totalement enfoncé en moi, je sentis ses bourses battre contre mes fesses, il glissa ses mains sous ma
fourrure, déboutonna mon chemisier et vint prendre de ses doigts mes tétons qui commençaient à durcir d'excitation. Il les malaxa de plus en plus fort au fur et à mesure de ses va et vients en
moi. Je ne fus pas longue à pousser des petits cris. Je me penchai en avant, m'appuyant des deux maisn au lavabo, dégageant bien ma croupe pour faciliter son enculage. Ses doigts sur mes seins
faisaient monter en moi une excitation terrible, mais ses coups de boutoir, son endurance et la régularité de son pillonnage m'amenèrent très vite à crier de plus en plus fort...
Pendant ce temps, Laure s'était de nouveau assise sur le lavabo, et elle se faisait prendre de face par le premier homme.
Nous jouîmes presque ensemble, et l'homme qui me pénétrait se retira pour asperger mes fesses d'une abondante giclée de sperme tiède. Je restai là prostrée, appuyée au lavabo, lorsque l'homme
posa sa main sur ma queue qui tendait ma culotte de soie; le simple contact de sa main, m'électrisa, et je jouis à longue saccades ...dans ma culotte (que je dus retirer et laver à l'eau froide
du lavabo !)
Laure suça le nouvel arrivant avant que l'homme qui la pénétrait ne jouisse en elle, puis, se rajustant, elle vint de sa langue, nettoyer mes fesses souillées en rigolant "Il faut bien que je te
nettoie ma chérie : ta culotte n'est pas sèche !"
Nous embrassâmes nos deux partenaires et reprirent la route, un peu rassasiées...(mais un peu seulement !)
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