Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:51

Voici l'un des « petits jeux érotiques » auxquels nous adorions, Victor et moi nous adonner au cours des années que nous passâmes ensemble...

J'étais dans notre appartement, choisissant avec soin mes parures, comme chaque fois que je sortais le soir en ville. Un corset de satin noir à 6 jaretelles sur lesquelles je fixe mes bas de nylon noir à coutures, rehaussés d'une large bande de dentelle de même couleur. Sur mes petits seins aux tétons percés d'un fin anneau d'or, je pose un soutien gorge à balconnet de dentelle noire qui rehausse ma petite poitrine. Ensuite un string ficelle avec un petit triangle de dentelle noire sous lequel je loge mon petit olisbos. J'enfile sur le tout une combinette de voile noir – nous sommes en hiver et le froid commence à s'installer – et je choisis ensuite, la tenue qui va recouvrir ces dessous froufroutants... Un cache coeur en mohair rose, qui libère ma gorge et fait ressortir ma poitrine, une jupe de voile bleu nuit à pois blancs qui s'arrête bien au-dessus de mes genoux, puis j'enfile mes escarpins, des stilettos de cuir fauve à lanières avec des talons aiguille de 13cm.

Ainsi apprêtée, je m'asseois devant la glace de ma coiffeuse, pour terminer mon maquillage, choisir mes bijoux et peigner ma courte perruque blonde choisie ce soir.

Je m'admire devant la glace, me trouve affriolante et bandante; je sens mon petit sexe tendre le voile arachnéen de mon string, mais je résiste à la tentation de le caresser, ne voulant pas briser cette douce excitation qui monte en moi durant ces préparatifs...

Enfin prête, je mets mes papiers et mes clefs de voiture dans mon sac à bandoulière, choisis dans ma panière une étole de voile panthère que je nous doublement autour de mon cou, avant d'enfiler une paire de gants de cuir noir, rehaussés au poignet d'une fourrure de même couleur. J'enfile ensuite ma veste ¾ de fourrure, et noue autour de mon visage un carré Hermès rose et or, dont je ramène ensuite les pans autour de ma nuque pour un second noeud. Je suis prête ! Un dernier regard dans la glace de l'entrée, et je claque la porte, prend l'ascenseur et descend au parking rejoindre ma voiture.

J'ai tourné un long moment ce soir-là, avant de trouver une place dans l'une des petites rues derrière le boulevard des Italiens. Une fois garée, j'ai remonté vers le boulevard en faisant claquer mes talons aiguille sur le trottoir, croisant des hommes esseulés qui me regardent avec désir, mais n'osent m'aborder. Je me dirige rapidement vers l'entrée du petit cinéma transformé en club privé, situé à quelques dizaines de mètres du boulevard, où je dois retrouver l'ami avec qui j'ai rendez-vous ce soir. Le patron, qui est à la caisse me regarde arriver. Il discute avec un homme en pardessus noir, qui se retourne et me sourit... Victor prends alors mon bras en me complimentant sur mon allure,générale, puis me fait entrer dans la petite salle où la projection a déjà commencé...

Nous nous asseyons au milieu de la salle, où quelques couples sont déjà enlacés, tandis que sur l'écran, une femme en bas noir se fait prendre en levrette par deux hommes très bien montés...

Ouvre ta fourrure et écartes tes cuisses” me glisse-t'il à l'oreille; j'obeis et retirant mes gants et mon foulard, Je relève ensuite ma courte jupe pour laisser apparaître le haut de mes bas et leur liseré de dentelle noire. La main de Victor se pose sur ma cuisse et commence à me caresser la part de chair nue entre la jaretelle et mon bas... Je commence à feuler doucement au moment où un couple vient soudain s'asseoir à ma droite et l'homme pose aussitôt, lui aussi, sa main sur mon autre cuisse. La femme à ses côtés a dégrafé la braguette de l'homme, et extirpé de son pantalon une queue déjà dressée, vers laquelle elle s'incline pour la prendre entre ses lèvres.

De ses doigts, Victor a dégagé mon petit sexe de son enveloppe de dentelle noire, et l'homme assis à ma droite l'a pris dans sa main pour commencer un léger va et vient destiné à le faire durcir... L'excitation monte lentement en moi, j'agite mon bassin et les doigts de mon amant se glissent alors sous mes fesses, écartent la ficelle du string et cherchent à pénétrer dans mon intimité. Il retire sa main, humecte ses doigts et retourne apprêter mon orifice culier de son index lubrifié. Je ronronne de plaisir sous cette double caresse, et sens qu'un second doigt à rejoint le premier pour détendre et écarter mon entrée... Je suis de plus en plus excitée, je sens que je deviens très salope, et prête à toutes les folies. Mon voisin se met soudain à jouir en longues saccades dans la bouche de sa compagne, aux lèvres toujours accrochées à son sexe. Elle lui caresse les bourses de ses ongles écarlates, comme pour l'inciter à entièrement se vider dans sa gorge. Puis elle relève doucement la tête, et nettoie de sa langue cette superbe bite au gland décalotté qui se dresse près de moi. Je me penche alors vers lui, et prend à mon tour son sexe entre mes lèvres pour éviter qu'il ne débande, sa main gauche continue de caresser mon sexe tendu tandis que son autre main vient se poser sur ma tête pour accompagner la caresse de mes lèvres sur sa hampe... Et je sens sa vigueur revenir doucement.

Mon amant lui propose alors de venir nous suivre dans les toilettes du cinéma. L'homme acquièse d'un hochement de tête, et les doigts de mon compagnon toujours enfoncés dans mon cul, je redresse la tête, me penche alors vers sa compagne et pose mes lèvres sur les siennes... Nous nous embrassons goulûment, nos langues se frottent et je retrouve le goût du sperme qu'elle vient d'avaler dans ce baiser sensuel.

Je me lève alors de mon siège, ma fourrure retroussée montrant les doigts de Victor toujours fichés dans mon intimité, et nous partons ensemble vers la porte des toilettes qui se trouve au bout de la salle près de l'écran. Nous devons avoir fière allure, moi, fesses à l'air et mon amant me suivant la main toujours enfouie dans ma culotte... Des spectateurs nous regardent intéressés gagner la porte des toilettes qui s'ouvre en grinçant et nous descendons un petit escalier qui nous mène dans une petite salle carrelée, peu éclairée sur laquelle s'ouvrent deux cabines pour l'instant inoccupées. Je me colle face au mur, et Victor continue de me lutiner de plus en plus vivement, faisant tourner ses deux doigts pour écarter au maximum mes sphincters... J'entends la porte grincer à nouveau, et le couple qui s'était assis à nos côtés nous rejoint dans ces toilettes sordides. La compagne de l'homme s'approche de moi, et passant ses bras autour de mon cou, me ré-embrasse avec passion. Son compagnon s'est mis derrière moi, et je comprends qu'il s'apprête à me prendre. Victor retrousse alors complètement mon manteau de fourrure, et fait glisser le long de mes jambes gaînées de nylon noir, mon string de dentelle, qui tombe sur mes chevilles. L'autre homme a du se rapprocher car je sens alors ses mains se poser sur mes hanches, et un galet dur se présenter à l'entrée de mon petit “temple d'amour”. Il s'enfonce soudain fortement en moi, m'arrachant un râle lascif. Il s'arrête un moment, puis d'une profonde impulsion, s'enfonce complètement en moi. Je sens sa verge m'emplir totalement puis commencer à bouger en m'arrachant de petits cris de plaisir. Il me pillonne maintenant avec régularité et je bascule dans une excitation de plus en plus forte. Sa compagne a dénoué mon cache-coeur et de ses doigts manucurés la voici maintenant qui triture de plus en plus fortement mes tétons dressés de désir. Elle a découvert avec curiosité les anneaux qui les décorent, et y passant ses index, elle se met à me les étirer très violemment. Je ne peux retenir un cri mais tandis que son ami me sodomise avec la régularité d'un métronome, Victor se met soudain à me cingler les fesses avec sa ceinture... Je crie maintenant sans retenue sous l'effet conjoint des coups administrés, de la douleur qui irradie mes seins, et du plaisir qui me submerge sous les coups de boutoir de l'homme qui m'encule. La femme a laissé l'un de mes tétons, et s'est mise à caresser mon sexe dressé comme un étendard. Je sens que je vais hurler de plaisir,mais les mains de l'homme qui me sodomise se crispent fortement sur mes hanches, et je le sens soudain jouir en poussant un long feulement... Sa semence coule en moi, sur mes fesses et mes cuisses lorsqu'il se retire brutalement, et c'est le moment où je jouis violemment, aspergeant de longues saccades la porcelaine murale contre laquelle je suis plaquée...

Je m'affaisse ensuite sur le sol, et découvre autour de moi, une demi-douzaine de spectateurs qui nous ont rejoint et se branlent doucement face à moi.. “Ejaculez sur elle !” ordonne soudain mon compagnon, et j'ai à peine conscience, après ce formidable plaisir, de recevoir des saccades de foutre chaud, qui viennent s'étaler sur mon visage, mes cheveux et mon cou, coulées de laitances tièdes que j'essaie de récupérer de ma langue avide de salope comblée...

 

Puis Victor m'aide à me relever, il m'embrasse avec passion, m'aide à remettre ma fourrure, mon foulard et mes gants, puis me prenant par le bras, nous remontons dans la salle de cinéma. Nous la traversons bras dessus, bras dessous, sous les regards excités de ceux qui ont joui sur moi il y a quelques minutes, et nous sortons dans la rue, pour rentrer tranquillement à notre appartement.

Par sylviafoulard
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