Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 22:56

J’entendis soudain la porte en haut de l’escalier grincer furtivement et je m’empressai de remettre mon manteau de fourrure tandis que des pas descendaient l’escalier. En fait ce furent Pierre-Emmanuel et Marie-Charlotte qui débouchèrent soudain dans les toilettes. Je leur souris et rassurée, je m’approchai d’eux. Je mis ma main autour du cou de Marie-Charlotte, et l’embrassant délicatement otait doucement son foulard. J’écartai les pans de son manteau de fourrure et le fit glisser au sol. Puis je l’accrochai à la patère et vint me placer devant elle. Au moment où je faisais glisser sa robe de soie au sol, la porte du haut de l’escalier fit à nouveau entendre son petit grincement et l’homme qui avait caressé Marie-Charlotte vint nous rejoindre. Nous ne disions pas un mot, mais Marie-Charlotte était maintenant à demi-nue face à nous, ne portant que son corset, ses bas et son slip bleu et noir. Je pris son foulard, l’enroulai et le lui nouai sur les yeux . « Laisse-toi faire chérie, je m’occupe de toi» lui glissais-je dans un murmure à son oreille. Elle parvint à sourire, mais je sentais aux légers tremblements qui agitaient ses épaules, qu ‘elle n’était pas très rassurée…Je pris mon propre foulard et, ramenant ses bras dans son dos, emprisonnait ses poignets dans son dos avec le carré Hermès. Puis je la poussais doucement vers l’une des cabines.

Pierre-Emmanuel n’avait pas bougé, il me regardait en fixant sa femme ainsi aveuglée et entravée, et je lui demandai d’un signe de tête si je devais continuer. Il me fit signe que oui. Je fis signe aux hommes de s’avancer vers elle et je me reculai pour leur laisser le passage. Je m’approchai du monsieur au pardessus à col de fourrure, et nouant mes bras autour de son cou, l’embrassai à pleine bouche en poussant ma langue au fond de son palais. Je mis ma main sur la nuque du jeune minet qui l’accompagnait, et me retournant, l’embrassai à son tour. Il me rendit mon baiser, mais visiblement intimidé, n’osait pas mettre ses mains sur mon corps. Nous nous enlaçâmes tous trois et l’homme commença – enfin – à caresser mon tout petit sexe qui s’était replié dans ma courte fourrure.

Le jeune homme mit l’une de ses mains sur ma croupe et me caressa les fesses. Pendant ce temps les trois autres hommes s’étaient introduits dans la cabine et tandis que l’un caressait les seins de Marie-Charlotte, un second l’avait assise sur la cuvette des WC pour qu’elle puisse sucer le sexe qu’il avait sorti de son pantalon. Le troisième la fit relever, et écartant la soie de son slip, mit sa main sur sa vulve pour la pénétrer manuellement. Marie-Charlotte avait l’air d’apprécier et je savais que l’aveugler d’un foulard pour l’empêcher de voir la scène allait faire sauter ses (faibles) blocages, et l’amener progressivement à accepter, puis à s’exciter de cette situation. Elle suçait le sexe de l’homme avec gourmandise, et commençait à onduler sous la main de l’inconnu qui la pénétrait de ses doigts agiles. Elle gémit lorsque le troisième étira ses tétons en les extirpant du balconnet de son corset. Elle était maintenant bien préparée, et je pouvais la laisser aller vers son plaisir, sous le regard amoureux de son voyeur de mari. Moi, après m’être un moment abandonnée aux caresses de mes deux voisins, je me rhabillai, en me repomponnant devant le miroir, puis leur faisant signe de laisser les autres seuls, je montais l’escalier en leur faisant signe de me suivre. Ce qu’ils firent. Dans la salle, nous nous installâmes dans un coin tranquille, et m’étant assise entre eux deux, entreprit de branler doucement le jeune homme, qui – comme je m’en étais douté – portait sous ses affaires, un fin slip féminin de nylon rose… Je me penchai vers l’entrejambes du monsieur au pardessus, et commençai à lui faire une fellation. Il avait un sexe un peu mou, et malgré toute la science de mes caresses buccales, il avait l’air de ne pas pouvoir bander. Je fis alors glisser son pantalon sur ses chevilles, et de la même manière, lui otai son caleçon qui se retrouva sur ses chevilles. Puis je fis passer le minet à ma place en lui demandant de s’occuper de l’homme… Comme je l’avais pressenti, la langue du jeune garçon émoustilla le sexe du monsieur bien mieux et bien plus vite que la mienne ; cet homme préférait les garçons aux filles…même si les garçons étaient efféminés et les filles nanties des attributs de garçon ! Pendant que le jeune éphèbe démontrait toute sa science de la fellation, je caressais ses fesses à travers la flanelle du fin pantalon qu’il portait. Il ne s’en offusqua pas, et poussant plus loin mes caresses, je fis glisser son pantalon sur ses genoux. Je le caressai de nouveau, mais cette fois à travers le nylon de sa fine culotte féminine rose. Mes doigts glissèrent dans son entre jambes et allèrent cueillir son sexe, semi tendu, qui répondit presque aussitôt aux caresses de mes doigts.

Nous formions un curieux groupe : l’homme assis à demi dénudé se faisant sucer par un jeune homme agenouillé sur le fauteuil voisin, lui-même en slip rose, le pantalon baissé, tandis que sur le fauteuil mitoyen, une femme en fourrure caressait son sexe qui tendait le nylon rose ! Je comprends pourquoi deux messieurs s’étaient silencieusement rapprochés de nous en profitant de l’obscurité… A demi tournés vers notre trio, ils ne perdaient pas une miette de nos curieux ébats. C’est alors que j’eus l’idée qui allait donner une suite émoustillante à ces « jeux d’ombre ». Faisant glisser le slip rose du garçon, je m’approchai de ses fesses, et entreprit de larder son petit orifice de fins coups de langue et de jets de salive. Ainsi apprêté par quelques longues salivations, son anus s’était légèrement entrouvert, comme une invite ; et mon index vint aussitôt en occuper le premier cercle. Sentant que cette pénétration lui plaisait bien, je m’appliquais à bien caresser son conduit, de petits cercles concentriques en petites poussées lascives, je l’amenai bientôt à ronronner sous mes doigts tandis qu’il continuait de sucer son voisin. Otant mon doigt je me redressai, et écartant le voile de mon string approchai mon sexe qui s’était bien durci durant ces préliminaires, de son petit cul tout humide de ma salive. Les deux voyeurs eurent un hoquet de stupeur en découvrant l’assez bel objet que j’extirpai de ma fourrure pour pénétrer soudain le garçon. Le petit salaud avait une fente d’une élasticité merveilleuse ; je sentais ses contractions au fur et à mesure de mes pénétrations et je le limais bientôt vigoureusement en lui arrachant quelques ahannements significatifs. M’agrippant à ses hanches fines je déchargeais violemment en lui, collée à ses reins en soupirant bruyamment. Il attendit que je me retire de son anus, pour se redresser, la bouche encore souillée de la laitance de son voisin. Il se retourna vers moi, et l’air timide, murmura « Merci Madame ». Je le giflai, lui intimant à voix basse mais d’un ton sec qui ne souffrait aucune contestation « On dit Merci Maîtresse ! Tu vas venir avec moi ; je vais m’occuper de ton éducation. Qu’en dis-tu ? » Il baissa les yeux, et murmura « Comme vous voudrez Mad… euh, Maîtresse ». J’eus dans le noir un sourire de victoire, qui dût sans doute lui paraître merveilleusement carnassier…

 

Par sylviafoulard
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