Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:45

Vers 19 heures j’allai le chercher, et l’amenai en cuisine pour qu’il se restaure pendant que Victor et moi sortions au restaurant. Je l’attachai au radiateur de la cuisine avec une chaînette de deux mètres de long et nous sortîmes dîner dans un petit restaurant de l’avenue de Suffren. Nous revînmes vers 23h et je le détachai du radiateur en lui expliquant qu’il allait m’accompagner pour une petite sortie nocturne en voiture. Je l’emmenai vers sa chambre et choisit moi-même la tenue qu’il allait porter pour m’accompagner. Je dénouai le petit tablier blanc et désentravai ses chevilles de la chaînette de maintien qui l’obligeait à de très courtes enjambées. Je pris un grand foulard de soie imprimé panthère et le nouai autour de l’ovale de son visage maquillé, ramenant les deux pans sur sa nuque, je refis un nœud autour de son cou. Je décidai de ne pas lui donner de culotte à porter, préférant laisser les chaînes de maintien et la plaque de cuir noir qui maintenait l’olisbos dans son fondement, totalement apparentes. Il était quasiment nu, le corset ne cachant que son ventre, ses petits seins d’adolescent, lestés des anneaux que je venais d’y poser, dépassant au-dessus de la fine dentelle noire du balconnet. « Tu viendras comme cela, je te prêterai l’une de mes vestes de fourrure pour cacher ta nudité » Je l’emmenai à ma suite vers ma chambre où je trouvais un gros collier de cuir noir clouté que je ceignis autour de son cou, juste sous le nœud du foulard panthère. Je fixais au petit anneau une chaînette prolongée par une poignée de cuir, que je passais à mon poignet. J’ouvris mon dressing et lui donnai une courte veste ¾ en fourrure imitation panthère qui lui arrivai à ras des fesses.

Seules ses jambes gainées de résille noire posées sur ses hauts talons dépassaient de la fourrure. « En avant ! » et d’une vive secousse je l’obligeai à me suivre. Dans l’entrée j’enfilai mon vison long et nouai un carré Hermès avant de rectifier mon maquillage et de me parfumer légèrement. Puis je l’entraînai vers l’ascenseur, où nous rejoignîmes ma voiture au parking du sous-sol. Je l’installai à mes cotés et pris le volant, pour rejoindre l’autoroute de l’Ouest. Je roulai en silence jusqu’à ce que nous atteignions l’aire de service de Mantes-la-Jolie, où je garai la Mercedes derrière le petit bâtiment des 
toilettes, là où une douzaine de voitures particulières et trois camions, tous feux éteints, étaient déjà stationnés dans l’obscurité. Je coupai le moteur, éteignis mes phares et attendis. Moins de cinq minutes plus tard, la portière d’une voiture garée quelques mètres devant nous s’ouvrit et un homme remonta en flânant le petit trottoir de bitume qui longeait l’accès à l’édicule. Il ralentit devant notre voiture et détailla longuement notre présence. Il revint bientôt surs ses pas, et écartant la fourrure de ma soubrette, j’allumai soudain le plafonnier coté passager, afin qu’il la découvre dans son corset. L’homme s’arrêta, regarda longuement par le pare-brise avant les cuisses et les dessous ainsi révélés. Puis il fit d’un signe interrogatif le geste de baisser notre vitre, et j’intimais à Jennifer l’ordre de baisser sa glace de son coté. L’homme s’approcha, se débraguetta, et tendit vers l’intérieur de la voiture un sexe long que Jennifer sans même attendre mes instructions, prit en bouche et commença à sucer avec application. L’homme se mit rapidement à feuler, et en murmurant «Oh oui, salope… » éjacula rapidement entre ses lèvres. Jennifer avala soigneusement la laitance, suça délicatement le gland de l’homme lorsqu’il se retira, et remonta sa glace lorsque celui-ci rejoignit son véhicule. Une fois la voiture partie, j’ouvris ma portière, sortis sur le parking et d’une secousse entraînai Jennifer à ma suite. Je la tenais en laisse et nous nous avançâmes vers les toilettes, faiblement éclairées par une ampoule jaune. Le claquement de nos talons aiguille dut alerter les occupants, puisque deux hommes sortirent d’une cabine à notre entrée. L’un était un routier en salopette de travail bleue sur un tee-shirt blanc, et il avait encore la braguette entrouverte… L’autre, était un monsieur assez efféminé d’environ 45 ans, en veste de tweed et foulard noué dans le col de sa chemise, qui s’essuya les lèvres en sortant des toilettes… Je tirai Jennifer derrière moi et écartant les pans de sa fourrure, la poussai vers le routier qui sourit en nous regardant. « Humm, c’est de la chair fraîche tout ça ; et joliment enveloppée. Vous voulez vous joindre à nous ou vous préférez regarder ? » « Je vous regarde et c’est tout » lui répondis-je tandis qu’il posait ses mains sur les fesses de Jennifer, l’attirant vers lui pour l’embrasser à pleine bouche. Il découvrit soudain la plaque de cuir qui maintenait le gode en elle, et empêchait toute caresse un peu hardie, et m’interrogea du regard. J’attirai Jennifer vers moi, et prenant la clé accrochée à mon collier, désemprisonnai le petit cadenas qui maintenait l’olisbos de cuir noir enfoncé. Celui-ci glissa doucement hors de son fondement, et toujours accroché à la chaînette, se mit à battre contre sa cuisse, alors que l’homme la retournai, l’appuyai sur l’un des sordides lavabos qui ornaient ces WC publics, et sans hésiter, lui planta sa queue, dure et dressée au creux des fesses. Et c’est là que Jennifer m’étonna. Roulant des hanches, poussant des petits gémissements rauques, elle s’empala sur le sexe tendu et se mit à agiter en cadence son bassin au fur et à mesure des coups de butoir que lui administrait le routier. Elle se mit même à pousser des petits cris de plaisir, lorsque l’homme raidit ses mains sur ses hanches et en ahannant fortement propulsa sa semence à l’intérieur de son corps arc-bouté. Jennifer resta prostrée, tandis que l’homme se retirait. En se réajustant il nous demanda si nous venions souvent ici. Je répondis par l’affirmative et il nous quitta en nous faisant part de son envie de nous rencontrer de nouveau en ces lieux. Je ramenai Jennifer vers la Mercedes, mais avant de monter, constatant que cet enculage l’avait fortement excitée, je l’amenai vers un camion dont la cabine était éclairée. Un homme d’une cinquantaine d’années, y lisait un livre à la lumière de son plafonnier. Je poussai Jennifer face au camion et l’homme alluma ses phares, nous éblouissant soudain toutes deux violemment. Je pris dans ma main droite son sexe durci, et en maintenant sa fourrure écartée pour que le chauffeur n’en perde pas une miette, la branlait jusqu’à ce que son sexe projette de longues giclées de sperme tiède vers le ciel… 

Quelques heures seulement avaient suffi : Ma soubrette était déjà presque prête, et j’allais pouvoir la mettre aux enchères auprès de mes nombreuses relations, qui cherchaient parfois très longtemps, ce genre de « perle rare » assez rare sur le « marché » des femmes …de chambre !

Mais auparavant, Victor et moi allions la « tester » et lui faire passer son « examen » de soubrette

Par sylviafoulard
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