Partager l'article ! 16 - Baisée comme une chienne dans les toilettes d'un café: Nous revînment à la boutique du tatoueur, où Jennifer nous attendait assise ...
Nous revînment à la boutique du tatoueur, où Jennifer nous attendait assise sagement dans un fauteuil de la salle d'attente. A notre entrée le tatoueur écarta le rideau et sortit de son atelier, en s'excusant car il avait un autre client, mais en félicitant Victor pour le choix de sa soubrette; puis il souleva lui-même la robe de Jennifer qui écarta ses jambes pour nous montrer ses deux tatouages.
Le travail était magnifique, lettres et dessins noirs, ombrés de rouge dans les lettres de son prénom et dans les plis de la chaîne et du cadenas qu'il avait tatoué sur son autre cuisse. Je demandai à Jennifer si elle avait souffert, et le tatoueur me dit qu'elle avait un peu pleuré. Jennifer gardait les yeux baissés et j'insistai pour recueillir son avis; elle leva les yeux vers moi et me dit d'une petite voix douce « Oui Maîtresse, cela m'a fait mal, mais plus maintenant, et je suis contente de vous faire plaisir... » Je posai un bref baiser sur ses lèvres en lui murmurant « Oui, je suis fière de toi »
Puis je refixai la dragonne de la laisse dans l'anneau de son collier de cuir, et prenant le bras de Victor, nous ressortîmes sur le boulevard. « Oh, j'ai oublié de lui demander s'il avait pris son « petit pourboire » avec Jennifer » me dit Victor. « Oui Maître, je lui ai donné du plaisir » nous dit alors Jennifer. Je l'interrogeai du regard et elle poursuivit « Oui Maîtresse, il m'a demandé de le sucer, et j'ai avalé sa liqueur »
« Elle est vraiment parfaite » me dit Victor en souriant...
Au lieu de reprendre tout de suite notre voiture, Victor voulut se promener avec nous sur l'esplanade centrale du Boulevard de Pigalle. Comme je l'avais déjà remarqué tout à l'heure, notre trio ne passait pas inaperçu, surtout moi, tenant en laisse notre jeune soubrette, qui marchait un mètre derrière nous, et sur laquelle la plupart des couples ou des hommes croisés se retournaient...
« Et si nous allions déjeuner ? Ensuite nous pourrions aller au cinéma» proposa soudain Victor. Une telle proposition, à cette heure (il n'était pas loin de midi) et surtout dans ce quartier chaud de Paris, m'émoustilla immédiatement. « Oh oui, quelle bonne idée mon amour !» et Victor nous entraîna aussitôt dans la rue des Martyrs, à la recherche d'une petit restaurant...
Dans le petit restaurant berbère qu'il choisit, le serveur nous trouva une table avec trois couverts, mais Victor lui dit de la dresser pour deux en lui disant « Notre soubrette ne déjeune pas avec nous, je vais m'en occuper » Et prenant la laisse de ma main gantée, il entraîna soudain Jennifer vers les toilettes. Il revint au bout de quelques minutes et me dit « C'est parfait, tu pourras aller voir » puis s'adressant au serveur qui attendait nos commandes il ouvrit le menu, le parcourut rapidement et lui ordonna de servir une assiette de couscous avec une merguez dans un plat creux pour Jennifer et de la servir « là-bas » en montrant la porte des toilettes...
Après avoir fait notre choix, curieuse, je me levai et allai pousser la porte des toilettes où j'hésitai un moment entre la porte des toilettes hommes et celles des femmes. Je poussai cette dernière et ne vit rien; j'allai de l'autre côté voir les toilettes Messieurs, et y découvrit Jennifer, debout le long du petit lavabo, la laisse attachée à la barre cuivrée qui maintenait la serviette murale; toute personne de sexe masculin désirant se rendre aux toilettes ou voulant utiliser le lavabo ne pouvait la rater...
Nous déjeunâmes en devisant et sans plus nous préoccuper davantage du sort de notre soumise, enchaînée au lavabo des toilettes Messieurs; et lorsque après avoir bu nos cafés, Victor demanda l'addition, il me demanda d'aller libérer Jennifer.
Lorsque je poussai la porte des toilettes hommes, je croisais deux hommes qui en sortaient en riant. Jennifer était agenouillée sur le sol carrelé et elle s'essuyait les lèvres avec un kleenex; à ma vue elle se leva aussitôt et baissant les yeux me dit « Pardon Madame, je vais me remaquiller » et se posant face à la glace du lavabo elle remit aussitôt du rouge sur ses lèvres. « Tu as été sollicitée ? » lui demandais-je; « Oui Madame, plusieurs fois » « Et tu as été obéissante et docile ? » « Oui Madame et j'ai tout avalé » me dit-elle en baissant à nouveau les yeux. « C'est bien Jennifer, je vois avec satisfaction tes progrès, et j'en suis fière » « Oh Madame me dit-elle en rougissant, « c'est un tel honneur et aussi un tel plaisir de vous servir, Maître Victor et ...surtout Vous Madame ! » Je la giflai violemment d'un revers de main, et détachant sa laisse en l'entraînant derrière moi, je sortis des toilettes en lui déclarant « Tu es notre esclave à tous les deux, et tu dois servir Victor aussi bien, sinon mieux que Moi ! Me suis-je bien fait comprendre ? » C'est en débouchant dans la salle de restaurant que je l'entendis me répondre « Oui Maîtresse ». Et sous les regards amusés des derniers clients, je pris le bras que me tendait Victor et d'une secousse qui tendit la chaîne attachée à son collier, nous sortîmes sur le trottoir en tirant notre esclave derrière nous...
Victor nous entraîna vers la place Pigalle, où il bifurqua sur le boulevard, et choisit d'entrer soudain dans une galerie qui abritait un sex-shop et plusieurs salles de cinéma X. Notre entrée fut assez remarquée, de la part des quelques hommes esseulés, qui feuilletaient revues et livres pornographiques. Le gérant, un asiatique d'une trentaine d'années nous sourit et nous demanda ce que nous voulions; « une cabine de projection à trous pour ces dames » déclara Victor... Il choisit lui-même un DVD sur le présentoir voisin de la caisse; il s'agissait d'une « nouveauté » dont le titre (« Trav dociles pour abattage à l'hôtel ») était déjà tout un programme...
« Cabine 5 » dit l'homme en encaissant la somme payée par Victor. Puis, nous prenant chacune par un bras, Victor descendit l'escalier menant aux cabines en sous-sol; la cabine 5 était assez spacieuse, une banquette face à l'écran, et Victor me montra du doigt, les trous qui sur chaque mur latéral, se trouvaient à moins d'un mètre du sol; il y en avait trois de chaque côté. Victor ne vérouilla pas la porte de notre cabine, et s'assit au centre de la banquette, nous invitant à le rejoindre à ses côtés. Je tirai la laisse pour que Jennifer s'asseoit à nos pieds, sur la moquette rapée et crasseuse, et je me blottis dans les bras de Victor lorsque la projection commença mais Victor me montra aussitôt l'un des trous, par lequel une queue dure et dressée venait de se glisser. « Vas-y chienne, et appliques-toi bien » dit-il à Jennifer, qu'il poussa d'un coup de pied vers l'orifice. Celle-ci se mit à genoux et prit aussitôt dans sa bouche, le sexe qui dépassait.
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