Samedi 23 mars 6 23 /03 /Mars 17:31

La pute du Bois de Ferrières...

Exhibée et offerte la nuit au Bois

 

 

 

Cet été, un soir où je m'ennuyais, je me suis préparée pour une sortie très chaude au Bois de Ferrières, où je savais que quelques aires de parking, étaient à la nuit tombée le rendez-vous de travestis, de voyeurs, et d'hommes en quête d'aventures passagères et rapides...

Après m'être très soigneusement préparée (maquillage, perruque, parfum, bijoux...) j'ai simplement noué mon corset de skaI noir, puis attaché aux jaretelles des bas de nylon noir à revers festonnés de dentelle noire; une petite combinette de soie noire et un string de voile noir ont suffit à compléter ma tenue de salope en chaleur...

J'ai enfilé des escarpins à talons aiguille de 13cm et noué un vaporeux foulard en voile de soie léopard autour de mon cou. J'ai ensuite recouvert cette “tenue” d'une veste de fourrure brune, pris mes clefs, mes papiers et mon sac pour sortir de mon appartement et rejoindre ma voiture.

Au premier parking de ce petit bois de Seine et Marne, plusieurs véhicules stationnaient déjà, et des ombres s'agitaient en sous-bois. J'ai stoppé ma voiture, éteint mes phares, et j'ai ôté ma fourrure. Puis je suis sortie dans l'obscurité, vêtue de mes seuls dessous avec mon petit sac en bandoulière, où j'avais également mis des préservatifs, du gel, et des kleenex...

Dès mes premiers pas sur l'asphalte du parking, je fus abordée par un homme sorti de sa voiture garée à côté. Sans un mot, il s'approcha de moi, et commença à caresser mes fesses. “Tu viens en sous-bois ?” me demanda-t'il... Je lui murmurai “Oui” et Je le suivis sous l'ombre des arbres dans un petit sentier forestier, où nous arrivâmes à un petit espace où se trouvait une table de pique-nique en bois sur laquelle Je m'assis. L'homme se tenait debout face à moi et il caressa mes bas et mes cuisses en m'embrassant dans le cou. Je nouai mes bras autour de sa nuque et l'embrassai voluptueusement, ma langue glissant sur la sienne tandis que ses caresses se précisaient et que ses mains faisaient glisser mon string de voile, revèlant mon petit sexe... Il s'accroupit face à moi et le prit entre ses lèvres, me faisant pousser un feulement de plaisir. Pendant qu'il me sucait deux autres hommes s'étaient glissé autour de nous, le sexe sorti, ils se masturbaient en nous regardant. L'un d'eux s'approcha de moi et m'embrassa sur la bouche tandis que ses doigts dégageaient mes tétons du corset et commencèrent à les faire rouler en les pinçant et en les étirant, ce qui m'excita très vite, entraînant un gonflement soudain de ma queue dans la bouche de mon premier “client”... Je me mis debout et l'homme qui me suçait glissa alors son index dans mon petit cul. Il buta aussitôt sur le Rosebud qui y était fiché, et sans relever la tête de ma queue qui emplissait maintenant sa bouche, il le retira doucement pour le poser sur la table, tandis que son index, vite suivi de son majeur, vinrent le remplacer et se mirent à distendre doucement mes anneaux culiers...

J'étais de plus en plus excitée, et lorsque le second inconnu, se glissa derrière moi tout en continuant de pétrir mes tétons dressés, Je me penchais légèrement en avant pour lui offrir mes fesses. Il cessa de masturber son long sexe dressé, et le présenta devant mon cul, où, d'une légère poussée, il le fit lentement pénétrer, m'arrachant aussitôt un petit cri de plaisir... Je me retournai alors et m'allongeai contre la table, obligeant l'homme accroupi à se glisser entre mes jambes gaînées de nylon noir pour continuer sa sensuelle fellation. A la fellation du premier succédèrent alors les coups de boutoir du second, labourant mon conduit de sa longue queue recourbée, tandis que ses ongles continuaient d'étirer mes tétons...

J'étais dans un état second, le plaisir me submergeait lentement, Je poussais des petits cris à chaque fois que sa queue se réenfournait en moi; et lorsque Je sentis ses mains se crisper violemment sur mes tétons, Je sus qu'il allait jouir avant moi. L'homme poussa alors un long feulement et déchargea soudain sa semence au creux de mes fesses. “Continues avec mes seins” eus-je le temps de lui murmurer avant que Je ne sente le plaisir me submerger soudain. Je jouis de longues saccades de foutre tiède dans la bouche de l'inconnu accroupi entre mes jambes, alors que l'homme qui m'avait enculée restait fiché en moi, et que Je sentais son sexe encore dur m'emplir complètement... Le premier homme nettoya de sa langue mon sexe dressé et encore agité de spasmes de plaisir, tandis que l'autre se retirait lentement, laissant couler sur mes cuisses et mes bas sa poisseuse laitance. Je me retournai alors et les embrassai tous deux avec passion, en les remerciant du plaisir qu'ils venaient de me procurer.

C'est alors que le troisième homme, qui s'était rapproché de notre trio en continuant de se masturber, m'allongea sur la table et laissa son sexe cracher de longues saccades de foutre qui vinrent s'étaler sur ma gorge et mon cou.

Je restais ainsi un moment, à reprendre mon souffle, et lorsque Je me redressai, ils vinrent tous les trois m'aider à me relever. Je pris d'un côté le bras de mon enculeur et de l'autre celui de mon suceur, pour rejoindre ma voiture.

Tu viens souvent ici ?” me demanda le premier inconnu; “Non, pas vraiment; mais nul doute que j'y repasserai plus souvent vu l'accueil délicieux que j'y ai reçu” leur répondis-je en les embrassant tendrement. J'ouvris ma voiture, y prit ma veste de fourrure que j'enfilai en frissonnant, nouai mon foulard de voile léopard autour de ma gorge, puis après un dernier baiser, Je m'assis sur mes fesses poisseuses et démarrant ma voiture, quittai lentement cet excitant parking du Bois de Ferrières.

 

exhibée la nuit au Bois

 

 

Par sylviafoulard
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Samedi 23 mars 6 23 /03 /Mars 17:25

Sylvia se caresse

J’avais répondu à son annonce sur internet. L’homme se présentait comme un Maître souhaitant disposer d’un « travesti docile prête à tous les outrages »… Cette annonce pleine de zones d’ombres et de mystère m’avait à la fois fait peur et terriblement excitée. En déshabillé de soie noire devant mon ordinateur, je m’étais longuement caressée en la relisant. Puis j’avais sauté le pas, engagé la conversation avec cet homme, et pris rendez-vous avec lui pour le lendemain soir. Il m’attendait chez lui à 19h.
Je m’étais préparée avec soin, choisissant des dessous émoustillants et soignant mon maquillage. A l’heure dite je sonnai. Un homme grand, mais plus âgé que je ne m’y attendais, peut-être 60-65 ans, m’ouvrit la porte et me détailla.

Il me tutoya d’entrée de jeu « Comment t’appelles-tu ? »

Je baissai les yeux et murmurai « Sylvia ». Il me demanda si j’étais prête à me soumettre ce soir et cette nuit à tous ses ordres et toutes ses demandes ; et je m’entendis répondre dans un souffle « Oui… » Il me gifla brutalement en rectifiant « Oui, Maître ! » Je mis ma main sur ma joue écarlate et répétais servilement « Oui Maître ». Il eut l’air d’apprécier et me conduisit dans une grande chambre où il m’ordonna de me déshabiller entièrement, puis de revêtir les affaires posées sur le lit. Puis il quitta la pièce en refermant à clé la porte derrière lui.

Un peu déçue de devoir quitter une tenue soigneusement choisie pour l’occasion, mais terriblement émoustillée par l’entame de cette étrange relation, je m’exécutai, posant mes affaires sur un grand fauteuil. J’enfilai ensuite les affaires qu’il avait préparées, et qui se résumaient à peu de choses : un porte-jarretelles noir et deux bas en fine résille de même couleur ; je ré-enfilais mes talons hauts, puis la robe de soie léopard très courte et échancrée qui était sur le lit. Pas de culotte ni de soutien gorge, les pointes de mes petits seins hormonés dardaient sous la soie de la robe. L’homme ouvrit la porte et pénétra dans la chambre ; il me détailla et me ceignit autour de la tête un grand foulard de soie également imprimé léopard, puis il m’invita à passer à la salle de bains rectifier mon maquillage. « Je te veux plus salope » me dit-il simplement en m’y accompagnant. Il accentua le tour de mes yeux de mascara noir, et superposa à mon rose à lèvres, un rouge carmin éclatant agrémenté de gloss. Je me regardai dans la glace et sentis un frisson me parcourir l’échine en découvrant dans le miroir une vraie putain racoleuse et vulgaire. Ce devait manifestement être l’effet qu’il recherchait…

Je le suivis dans l’entrée où il me donna une veste de fourrure qu’il me fit enfiler sur la robe léopard. Puis, il me tira vers le garage. Je m’assis à ses côtés en essayant d’imaginer où il voulait m’emmener.

N’ayant aucune idée – sauf fugitive, liée à la tenue qu’il m’avait fait revêtir – de notre destination, je reportais mon attention sur la circulation. C’était la fin de l’après-midi et mon Maître avait emprunté la route de Pontoise. A quelques feux rouges, je surpris quelques sourires amusés ou curieux des automobilistes qui me découvraient. L’un d’eux me lança même un coup d’œil égrillard en passant la pointe de sa langue sur ses lèvres, et je ne pus résister au plaisir de lui répondre par un sourire.

Après plus d’une heure de route, la lumière du jour avait décrue, et mon compagnon avait allumé les phares de sa voiture, ce qui rendait tout repérage de lieu de ville ou de route très difficile. Nous venions de sortir d’une petite localité déserte où chacun s’était déjà enfermé chez lui, lorsqu’il quitta soudain la route goudronnée pour emprunter un chemin de terre assez large, mais constellé d’énormes ornières. La pluie récente laissait apparaître les profondes traces du passages de camions. Au bout de quelques minutes, nous arrivâmes devant une enceinte grillagée et une porte métallique. Charles klaxonna trois coups brefs, et après une courte attente, le portail s’entrouvrit, un homme muni d’une torche électrique se dirigea vers le côté conducteur. Mon Maître fit descendre à moitié sa vitre et dit «C’est moi Kader ; ouvrez le portail ! » L’homme le salua alors avec respect et courut débloquer l’un des deux vantaux. La voiture s’engouffra dans l’espace, et je découvris brièvement à la lumière des phares, une énorme carrière à ciel ouvert et deux baraquements serrés assez loin de l’entrée.  Il gara la voiture devant le premier baraquement et coupa le moteur. Il m’enjoignit de descendre du véhicule et je le suivis alors que l’homme à la torche revenait vers nous.

« Vous avez dîné ? – Oui Monsieur » répondit l’homme avec un lourd accent maghrébin. Mon Maître me poussa alors devant lui vers la baraque dont l’unique fenêtre était brillamment éclairée. Il ouvrit la porte et pénétra en me tenant toujours par le bras, le nommé Kader nous suivant.

Je découvris alors l’intérieur de cette grande cabane ; dans un coin, plusieurs lits superposés, dans l’autre une télévision éteinte, une chaîne diffusant de la musique berbère, et sur une large table, trois hommes qui devaient jouer aux cartes avant notre arrivée, mais qui s’étaient levés et nous détaillaient fiévreusement, ou plutôt me détaillaient avec attention ! Mon conducteur les salua d’un signe de tête, et les trois hommes lui rendirent servilement son salut. Puis, m’ayant amenée à ses côtés, il m’ôta mon manteau de fourrure, le plia sur une chaise et s’adressant à Kader lui dit : « Je vous offre comme promis cette putain pour la nuit. Vous pouvez, toi et tes cousins faire d‘elle ce que vous voulez, je m’en fiche. Sauf me l’abîmer ! Je ne veux pas qu’elle soit défigurée ni marquée au visage… Par contre, si vous voulez la marquer au corps, pas de problème, si vous faîtes bien attention de ne pas la faire saigner. Kader va chercher mon matériel de cinéma dans le coffre de la voiture et commence à l’installer. On va faire un petit film, puis je vous la laisserai pour la nuit, et je repasserai la prendre demain en fin de matinée. Vous n’aurez qu’à l’attacher à un lit pour lui éviter de se sauver. D’ailleurs tu vas mettre son manteau et ses chaussures dans mon coffre, ainsi elle ne sera pas tentée de s’échapper. » Kader sortit et l’homme qui m’avait conduite ici alla s’asseoir dans un fauteuil de toile dans le coin d le plus éloigné de la pièce en me laissant seule face aux trois hommes… Je n’avais pas bougé. Tremblante et les bras serrés le long du corps, je regardais les trois hommes qui me dévisageaient maintenant de façon terriblement suggestive… L’un d’eux s’avança vers moi et me saisissant le bras m’approcha de la table contre laquelle il me poussa. Les trois hommes m’entourèrent, lorsque Kader entra avec une caméra numérique posée sur un trépied et deux spots qu’il installa aussitôt, projetant soudain une violente lumière sur le centre de la pièce. Il ôta son ciré et ses bottes, enfila des babouches et tandis que dans l’ombre je sentais mon conducteur se lever pour se placer derrière la caméra, Kader vint vers moi en souriant, et dit à ses cousins « Je crois qu’on va bien s ‘amuser cette nuit ! » 

Décrire ce que fut cette nuit (dont mon Maître d’un soir filma une bonne partie avant de me laisser entre les mains de ces hommes) m’est extrêmement pénible. Même si, je dois le reconnaître, j’ai aussi pris un plaisir inouï à certains moments où la douleur qui me taraudait, était presque recouverte par l’excitation qui me parcourait…

J’ai subi les envies et toutes les violences de ces quatre hommes, sans aucune interruption durant toute la nuit. Les uns après les autres, ou parfois ensemble, j’ai vécu dans les bras de ces hommes frustres et très certainement privés de plaisirs charnels depuis fort longtemps, une nuit de sadisme, de viols répétés et de pénétrations sans discontinuer, de mon arrivée vers 21h à près de quatre heures du matin ! Mon anus a été rendu tellement douloureux par leurs jeux, que j’ai dormi le reste de la nuit en chien de fusil, ne supportant même plus le simple contact du matelas contre mes fesses.
Quand ils se sont aperçus que je n’étais pas une « vraie » femmes, ils m’ont pénétré sans débander à tour de rôle, limant, butant, forçant mes sphincters sans la moindre préparation, pour m’arracher des cris de douleur et de jouissance qui les faisaient rire et crachant leur semence, se retirant pour laisser la place – chaude et poisseuse – au cousin qui recommençait, encore et toujours…

L’un d’entre eux, nommé Rachid, prit très mal la découverte de mon anatomie ; il me cracha au visage, dit que j’étais le « fruit du péché », et refusa de m’honorer par derrière. Lui, il préféra me fouetter brutalement à coups de ceinture, tandis que ses cousins me tenaient solidement par les jambes et les bras écartelés sur la table. Puis, il força ma bouche et s’activa violemment dans mon palais, jusqu’à ce que sa semence m’inonde la gorge.
La première fois qu’il me viola de la sorte, je vomis au contact de sa longue queue au fond de mon larynx. L’homme se mit alors dans une colère noire, et sans retirer son sexe de ma bouche souillée, il tira et pinça si violemment les tétons de mes seins, que je m’évanouis de douleur sur la planche de bois.

Cela ne les rebuta pas, car lorsque je repris mes esprits, ils m’avaient hissée, les chevilles écartées, et lié la corde à un crochet fixé au plafond. Puis, à deux, ils essayèrent de me pénétrer de concert. Ce fut la douleur de cette tentative d’intromission qui me fit revenir à moi. Je hurlai, mais ils éclatèrent de rire. Puis l’un d’eux alla chercher dans le frigidaire une motte de beurre dont il m’enduisit largement la rondelle… Ils essayèrent à nouveau, et je sentis avec effroi ( et un zeste de plaisir) que leurs queues commençaient lentement à s’immiscer ensemble en moi…

Ils me baisèrent ainsi durant un long moment. Puis, se lassant sans doute, l’un d’eux s’amusa à m’initier au « fist-fucking ». J’étais terrorisée ; moi qui acceptait à peine deux doigts et des queues pas disproportionnées, ils me dilatèrent, m’huilèrent l’anus abondamment avant de pouvoir réussir à glisser une main entièrement en moi. J’avais beau hurler, pleurer et implorer leur pitié, ils riaient de plus belle, tandis que Kader s’activait, poing serré, à me pénétrer et à me dilater…

Je fus ainsi leur pute durant de très longues heures. Quand les spots s’éteignirent, ils aidèrent mon Maître à ranger son matériel dans sa voiture et j’entendis le véhicule quitter les lieux.

Ils se lassèrent ensuite de moi et me détachèrent de l’anneau du plafond ; je tombais sur le sol, mais tandis que ses cousins épuisés allaient se coucher, Kader me voulut à ses côtés dans sa couche. Il me coinça contre le mur, m’attachant les chevilles à la tête métallique de son lit, et les deux poignets …au pied du lit ! Ainsi placée, tête bêche, je le vis se déshabiller entièrement et venir se coucher. Lorsqu’il pénétra dans son lit, sa longue queue odorante vint buter contre mon visage. Il nous recouvrit alors de la courtepointe du lit et entreprit de placer son sexe entre mes lèvres ; il rigola et me dit : « Comme çà tu pourras pas crier, pas te sauver, et tu feras du bien à ma bite. Si tu es sage et bonne suceuse, je t’enculerai encore demain matin parce que tu es une vraie salope qui aime çà. »

Puis il ferma les yeux, et m’empoignant brutalement par les oreilles, il me força à agiter la tête pour lui faire une nouvelle fellation. Je m’appliquais lentement, espérant bien qu’il s’endormirait avant que j’en ai fini avec lui ; mais sa résistance – ou son excitation – devaient être plus fortes que sa fatigue, car il ne lui fallut pas longtemps pour décharger de nouvelles giclées de sperme dans ma bouche ; puis il s’endormit, mais moi, la bouche toujours entravée sur son sexe ramollissant, je dus avaler sa laitance, avant d’essayer de trouver dans une position si douloureuse, un bref mais salutaire repos.

Le lendemain matin je fus réveillé d’une bourrade. J’ouvris les yeux et découvrit Kader et mon Maître penchés sur moi. Ils souriaient, et mon Maître me demanda fielleusement comment j’allais… Pendant que Kader défaisait les liens qui m’avaient entravée aux montants de son lit, il passa sa main sur mes fesses zébrées de coups de ceinture, et je me mis à ronronner en me frottant à lui. « Tu es une belle chienne qui avait besoin d’être dressée. Maintenant que tu connais ton Maître, je vais pouvoir t’offrir d’autres plaisirs, et tu deviendras une bonne esclave, docile et soumise. »

Je murmurai « Oui Maître… » et il caressa mon visage. « Lèves-toi et habilles- toi, nous partons. » Je me redressai, ankylosée et j’eus quelques peines à tenir sur mes jambes tremblantes. Je demandai si je pouvais faire un brin de toilette mais il refusa, prétextant qu’il était pressé, et que je pourrai me laver une fois arrivée chez lui. J’enfilai donc ma robe léopard, cherchai ma culotte, puis me souvint que j’étais venue sans aucun dessous… Je nouai mon foulard et enfilai la veste de fourrure qu’il avait sorti du coffre de sa voiture et qu’il me tendait. Il me tendit mes escarpins à talon, dont je nouai les fines brides autour de mes chevilles, puis glissant mon bras sous le sien, je lui dit que j’étais prête.

« Dis au revoir à Kader, et remercie le pour cette délicieuse soirée. Ses cousins sont déjà partis travailler, mais il leur transmettra tes remerciements. » Les yeux à moitié baissés, je réussis à dire d’une petite voix contrite : « Merci Kader ; vous remercierez aussi vos cousins ; » Kader sourit, puis mon Maître me tirant par le bras, m’entraîna vers sa voiture.

Lorsque nous franchîmes le portail, ce fut Rachid qui vint le refermer sur notre passage ; il me regarda longuement tandis que la voiture avançait, et j’eus très peur, soudain, de retomber un jour prochain entre ses mains.

Cette expérience éprouvante m’avait à la fois fortement éprouvée, mais aussi énormément excitée… J’avais déjà envie de vivre avec ce Maître exigeant et sévère, d’autres aventures mystérieuses et intensément érotiques, dont je serai le jouet…

suce ! chérie

Par sylviafoulard
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Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:56

Nous revînment à la boutique du tatoueur, où Jennifer nous attendait assise sagement dans un fauteuil de la salle d'attente. A notre entrée le tatoueur écarta le rideau et sortit de son atelier, en s'excusant car il avait un autre client, mais en félicitant Victor pour le choix de sa soubrette; puis il souleva lui-même la robe de Jennifer qui écarta ses jambes pour nous montrer ses deux tatouages.

Le travail était magnifique, lettres et dessins noirs, ombrés de rouge dans les lettres de son prénom et dans les plis de la chaîne et du cadenas qu'il avait tatoué sur son autre cuisse. Je demandai à Jennifer si elle avait souffert, et le tatoueur me dit qu'elle avait un peu pleuré. Jennifer gardait les yeux baissés et j'insistai pour recueillir son avis; elle leva les yeux vers moi et me dit d'une petite voix douce « Oui Maîtresse, cela m'a fait mal, mais plus maintenant, et je suis contente de vous faire plaisir... » Je posai un bref baiser sur ses lèvres en lui murmurant « Oui, je suis fière de toi »

Puis je refixai la dragonne de la laisse dans l'anneau de son collier de cuir, et prenant le bras de Victor, nous ressortîmes sur le boulevard. « Oh, j'ai oublié de lui demander s'il avait pris son « petit pourboire » avec Jennifer » me dit Victor. « Oui Maître, je lui ai donné du plaisir » nous dit alors Jennifer. Je l'interrogeai du regard et elle poursuivit « Oui Maîtresse, il m'a demandé de le sucer, et j'ai avalé sa liqueur »

« Elle est vraiment parfaite » me dit Victor en souriant...

Au lieu de reprendre tout de suite notre voiture, Victor voulut se promener avec nous sur l'esplanade centrale du Boulevard de Pigalle. Comme je l'avais déjà remarqué tout à l'heure, notre trio ne passait pas inaperçu, surtout moi, tenant en laisse notre jeune soubrette, qui marchait un mètre derrière nous, et sur laquelle la plupart des couples ou des hommes croisés se retournaient...

« Et si nous allions déjeuner ? Ensuite nous pourrions aller au cinéma» proposa soudain Victor. Une telle proposition, à cette heure (il n'était pas loin de midi) et surtout dans ce quartier chaud de Paris, m'émoustilla immédiatement. « Oh oui, quelle bonne idée  mon amour !» et Victor nous entraîna aussitôt dans la rue des Martyrs, à la recherche d'une petit restaurant...

Dans le petit restaurant berbère qu'il choisit, le serveur nous trouva une table avec trois couverts, mais Victor lui dit de la dresser pour deux en lui disant « Notre soubrette ne déjeune pas avec nous, je vais m'en occuper » Et prenant la laisse de ma main gantée, il entraîna soudain Jennifer vers les toilettes. Il revint au bout de quelques minutes et me dit « C'est parfait, tu pourras aller voir » puis s'adressant au serveur qui attendait nos commandes il ouvrit le menu, le parcourut rapidement et lui ordonna de servir une assiette de couscous avec une merguez dans un plat creux pour Jennifer et de la servir « là-bas » en montrant la porte des toilettes...

Après avoir fait notre choix, curieuse, je me levai et allai pousser la porte des toilettes où j'hésitai un moment entre la porte des toilettes hommes et celles des femmes. Je poussai cette dernière et ne vit rien; j'allai de l'autre côté voir les toilettes Messieurs, et y découvrit Jennifer, debout le long du petit lavabo, la laisse attachée à la barre cuivrée qui maintenait la serviette murale; toute personne de sexe masculin désirant se rendre aux toilettes ou voulant utiliser le lavabo ne pouvait la rater...

Nous déjeunâmes en devisant et sans plus nous préoccuper davantage du sort de notre soumise, enchaînée au lavabo des toilettes Messieurs; et lorsque après avoir bu nos cafés, Victor demanda l'addition, il me demanda d'aller libérer Jennifer.

Lorsque je poussai la porte des toilettes hommes, je croisais deux hommes qui en sortaient en riant. Jennifer était agenouillée sur le sol carrelé et elle s'essuyait les lèvres avec un kleenex; à ma vue elle se leva aussitôt et baissant les yeux me dit « Pardon Madame, je vais me remaquiller » et se posant face à la glace du lavabo elle remit aussitôt du rouge sur ses lèvres. « Tu as été sollicitée ? » lui demandais-je; « Oui Madame, plusieurs fois » « Et tu as été obéissante et docile ? » « Oui Madame et j'ai tout avalé » me dit-elle en baissant à nouveau les yeux. « C'est bien Jennifer, je vois avec satisfaction tes progrès, et j'en suis fière » « Oh Madame me dit-elle en rougissant, « c'est un tel honneur et aussi un tel plaisir de vous servir, Maître Victor et ...surtout Vous Madame ! » Je la giflai violemment d'un revers de main, et détachant sa laisse en l'entraînant derrière moi, je sortis des toilettes en lui déclarant « Tu es notre esclave à tous les deux, et tu dois servir Victor aussi bien, sinon mieux que Moi ! Me suis-je bien fait comprendre ? » C'est en débouchant dans la salle de restaurant que je l'entendis me répondre « Oui Maîtresse ». Et sous les regards amusés des derniers clients, je pris le bras que me tendait Victor et d'une secousse qui tendit la chaîne attachée à son collier, nous sortîmes sur le trottoir en tirant notre esclave derrière nous...

Victor nous entraîna vers la place Pigalle, où il bifurqua sur le boulevard, et choisit d'entrer soudain dans une galerie qui abritait un sex-shop et plusieurs salles de cinéma X. Notre entrée fut assez remarquée, de la part des quelques hommes esseulés, qui feuilletaient revues et livres pornographiques. Le gérant, un asiatique d'une trentaine d'années nous sourit et nous demanda ce que nous voulions; « une cabine de projection à trous pour ces dames » déclara Victor... Il choisit lui-même un DVD sur le présentoir voisin de la caisse; il s'agissait d'une « nouveauté » dont le titre (« Trav dociles pour abattage à l'hôtel ») était déjà tout un programme...

« Cabine 5 » dit l'homme en encaissant la somme payée par Victor. Puis, nous prenant chacune par un bras, Victor descendit l'escalier menant aux cabines en sous-sol; la cabine 5 était assez spacieuse, une banquette face à l'écran, et Victor me montra du doigt, les trous qui sur chaque mur latéral, se trouvaient à moins d'un mètre du sol; il y en avait trois de chaque côté. Victor ne vérouilla pas la porte de notre cabine, et s'assit au centre de la banquette, nous invitant à le rejoindre à ses côtés. Je tirai la laisse pour que Jennifer s'asseoit à nos pieds, sur la moquette rapée et crasseuse, et je me blottis dans les bras de Victor lorsque la projection commença mais Victor me montra aussitôt l'un des trous, par lequel une queue dure et dressée venait de se glisser. « Vas-y chienne, et appliques-toi bien » dit-il à Jennifer, qu'il poussa d'un coup de pied vers l'orifice. Celle-ci se mit à genoux et prit aussitôt dans sa bouche, le sexe qui dépassait.

Par sylviafoulard
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Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:55

Je rentrai à l'appartement avec Jennifer, et elle se déshabilla devant moi, puis me tendit la cage en plastique que je lui cadenassai sur son sexe pour la nuit. « As-tu aimé cette première expérience ? » lui glissais-je à l'oreille... « Oh oui Maîtresse ! »

Je déposai un léger baiser sur ses lèvres en lui souhaitant une bonne nuit, puis la quittai en refermant à clé la porte de sa chambre.

Dans notre chambre, Victor alluma la lumière dès mon entrée, et m'invitant à venir sur le lit près de lui, voulut que je lui raconte notre sortie... Mon récit sembla l'émoustiller fortement, car une fois déshabillée et démaquillée, lorsque je revins me glisser à ses côtés dans notre lit, il me prit dans ses bras, m'embrassa tendrement et me dit qu'il aimerait lui aussi, tester notre soubrette dès le lendemain.

Je le masturbai doucement et nous nous endormîmes enlacés, comme deux amants comblés, et heureux de notre nouvelle acquisition.

Je me levai le lendemain matin et allai ouvrir la porte de la chambre de notre soubrette, en lui recommandant de se préparer rapidement puis de préparer nos petits dejeuners, et de nous les amener dans notre chambre, que je rejoignis aussitôt

Moins d'une demi-heure plus tard, Jennifer entrait avec un grand plateau fumant qu'elle déposa précautionneusement sur le lit entre nous et entrepris d'écarter les lourds rideaux pour faire entrer la lumière du jour. Victor la regarda et la complimenta pour sa soirée avec moi « Sylvia m'a dit que tu avais été parfaite, obéissante, ouverte et très docile. C'est bien. Aujourd'hui c'est moi qui te prendrai en charge. Nous irons faire quelques emplettes ensemble. » Puis il la congédia et nous déjeunâmes en devisant de nos plans et projets pour la journée.

Une heure plus tard, habillés, nous appelâmes Jennifer en lui demandant de se préparer à sortir. Comme elle n'avait pas de toilette appropriée, je lui prêtais une robe de dentelle noire dont elle recouvrit son petit corset, puis je lui choisis ce même manteau de fourrure qu'elle avait porté hier soir et j'accrochai à l'anneau de son collier, la dragonne et la laisse utilisées la veille au soir.

Nous partîmes ensuite tous trois rejoindre la voiture au garage, et nous partîmes vers la Place Clichy, dans un petit magasin sexy (Jacky Jack) où Victor avait pris l'habitude d'acheter diverses tenues coquines, magasin qui était tenu par une de ses amies, et où nous pouvions disposer d'un petit salon d'essayage.

Victor lui fit essayer plusieurs tenues de soubrette, et commanda divers attributs nécessaires à sa parfaite tenue et à son service. Nous regagnâmes notre véhicule avec tous nos paquets, puis Victor ferma la voiture et me prenant par le bras il nous entraîna sur le trottoir du Boulevard de Clichy. Comme je tenai toujours Jennifer par la laisse passée à l'anneau de son collier, notre trio ne passait pas inaperçu et de nombreux passants nous regardaient stupéfaits et nous suivaient d'un regard étonné.

Dans une petite rue perpendiculaire, Victor obliqua et pénétra dans une échoppe de tatoueur, où il devait être connu, car l'homme qui sortit de l'arrière boutique dès qu'il entendit la sonnerie de la porte sourit en le voyant et lui demanda « Comment allez-vous Monsieur Victor, cela fait longtemps que vous n'êtes pas passé à la boutique » Victor lui répondit poliment, me présenta à l'homme comme « sa compagne » et montrant Jennifer, toujours tenue en laisse, dit à l'homme « C'est pour notre soumise, nous souhaiterions la faire tatouer » « Parfait dit l'homme, Passons à côté, je vais fermer la boutique » Puis ayant oté le bec de canne et tiré un rideau sur la porte d'entrée, il nous fit passer derrière un autre rideau de velours rouge, et nous pénétrâmes dans une salle où tronait un fauteuil de gynécologue et de multiples instruments et pots d'encres. Au mur des dizaines de croquis, dessins et photos témoignaient des divers tatouages pratiqués dans la boutique, et donnaient aux visiteurs non encore décidés, quelques idées de tatouages à pratiquer...

L'homme aida Jennifer à ôter son manteau, Victor lui intima l'ordre d'ôter aussi sa robe et de s'installer seulement vêtue (sic) de son corset et de ses bas dans le grand fauteuil, que l'homme inclina presque à l'horizontale et où il commença à attacher notre soubrette avec des ceintures de cuir qui maintinrent étroitement son torse, ses bras et son bassin sur le fauteuil. Puis il écarta les jambes de Jennifer, et attacha chacune de ses chevilles aux barres destinées aux jambes des patientes, qui étaient écartées à 45° du fauteuil lui-même. Je remarquai que tout en restant silencieuse, Jennifer tremblait légèrement, certainement par appréhension de ce qui allait lui arriver...

« Où voulez vous un tatouage et de quelle genre ? » demanda l'homme. Victor s'approcha et posa sa main à l'intérieur des cuisses de Jennifer, assez haut, très près de son string de voile. « Ici, de chaque côté je veux deux tatouages. Sur la cuisse gauche son prénom « Jennifer » avec un as de pique et un cadenas; sur la cuisse droite une chaîne et un cadenas pour rappeler son état d'esclave »

« Parfait. Voulez vous uniquement du noir ou... » « Mettez un peu de rouge dans le relief de son prénom et de la chaîne... » poursuivit Victor. Nous allons faire quelques courses et nous repasserons dans une heure » . Il glissa six billets de 100 F; dans la main de l'homme qui nous raccompagna à la porte. Au moment de sortir, Victor se pencha vers l'homme et lui dit « Ce prix inclut une petite récompense, que notre soumise vous règlera de la façon qui vous plaira... » Puis nous sortîmes.

Victor m'emmena dans un bar situé un peu plus loin dans la rue où nous nous installâmes et où il commanda des consommations qu'on nous servit assez rapidement.

« Croises bien tes jambes » me souffla Victor, j'ai l'impression que l'homme assis sur la banquette là-bas s'intéresse beaucoup à toi... » J'obéis aussitôt et fis crisser mes bas en décroisant mes jambes gaînées de nylon noir; puis je levai les yeux sur l'homme qu'il m'avait indiqué. C'était un bel homme, de 35-40 ans, à la peau mate et aux cheveux bruns. Ses yeux sombres me dévoraient littéralement et j'en fus si surprise que je ne pus cacher un délicieux et timide sourire, auquel il répondit par un baiser de bout de ses lèvres. Je baissai les yeux, mais Victor qui n'avait rien perdu de ce rapide échange, me murmura tout en feignant de lire son journal qu'il avait déployé devant lui « Va donc faire un tour aux toilettes... » Je ramassai donc mon sac à main et me dégageant de ma fourrure que je laissai sur le dossier de ma chaise, je descendis le petit escalier qui menait aux toilettes. Il n'y avait qu'une cabine, coincée entre un taxiphone et un petit lavabo surmonté d'une glace, devant laquelle j'entrepris de rectifier mon maquillage. J'avais mon eye-liner à la main lorsque je vis dans la glace, cet homme descendre l'escalier et s'approcher de moi. Je le regardai dans la glace lorsque je sentis ses mains se poser sur ma robe de soie bleue et la faire légèrement remonter sur mes cuisses... « Oh, s'il vous plaît, pas ici » osais-je lui murmurer avant qu'il ne me retourne face à lui et qu'il plaque soudain ses lèvres sur les miennes. J'entrouvis mes lèvres et laissai sa langue se mêler à la mienne. Sa main avait glissé sous ma robe et caressait maintenant le haut de mes bas, tandis que son autre main s'était posée sur mon cou. Je m'abandonnai à son étreinte et il me poussa doucement vers la cabine des toilettes dont il referma le loquet derrière nous. Il me fit pencher en avant, et je dus poser mes mains sur la chasse d'eau tandis qu'il retroussait ma robe et faisais glisser mon slip de voile noir sur mes chevilles. Je m'en débarrassais tandis que ses doigts partaient à la découverte de mon intimité... Il caressa doucement mes fesses, effleura mon entre-jambes et sursauta en découvrant soudain mon petit sexe replié. « Qu'est ce que c'est que cette plaisanterie ? lança-t'il soudain... Tu es un garçon ? » Et me relevant brusquement il me força à le regarder en face. Il avait l'air en colère, peut-être vexé d'avoir été trompé par mon apparence. Il me détaillait en silence et ayant posé l'une de ses mains sur ma poitrine me demanda « Ce sont des vrais ? » J'acquiésai timidement en baissant les yeux, et il me retourna alors une nouvelle fois en me faisant pencher en avant, et je sentis qu'il se débraguettait, avant que je ne sente son gland se présenter au bord de mon petit « temple d'amour » comme l'appelait Charles... Il mouilla ses doigts de sa salive, en enduisit rapidement mon orifice puis força un peu brutalement mon entrée de son sexe dressé, ce qui m'arracha un petit cri de surprise. Je sentais son pieu tout entier en moi, et il se mit alors à bouger en le faisant coulisser, d'abord doucement, puis de façon de plus en plus saccadée , ce qui déclencha aussitôt chez moi une une montée d'excitation. Je me mis à gémir tandis qu'il me labourait consciencieusement, mais avant même de contrôler mon plaisir, je l'entendis pousser un râle de plaisir et je sentis son sperme jaillir et couler dans mon fondement puis sur mes cuisses lorsqu'il se retira, presque aussi brutalement qu'il était entré... « Tu as aimé, salope ? » me lança t-il lorsque je me redressai lentement. Je le fixai dans la glace du lavabo, et lui répondit « Oui et non lui dis-je Oui parce que vous avez joui en moi si rapidement que je suis fière de vous avoir autant excité, mais non car vous ne m'avez pas laissé le temps d'arriver moi-même au plaisir... » Il rit et me retournant face à lui, me dit «Ce n'est pas toi qui doit avoir du plaisir. Si ton homme te confiait à moi, je t'apprendrai vite comment te consacrer au seul plaisir des hommes qui te désirent et rêvent de te faire l'amour ».

Sur ces mots, il dévérouilla la porte, et remonta dans la salle. Je pris le temps de me recoiffer et de refaire mon maquillage avant de rejoindre Victor, qui d'un sourire me glissa « C'était bon ? » « Oui, oui le rassurais-je, Rapide, mais délicieux » Victor sourit et poursuivit « En tout cas ton nouvel ami a eu l'air d'apprécier, car il vient de me demander de te laisser quelques jours à sa disposition dans ce bar dont il est le propriétaire... » A mon air effaré, Victor me rassura « Ne t'inquiètes pas mon amour , je ne te laisserai pas dans ce claque... par contre en ce qui concerne Jennifer, c'est une option que je n'avais pas encore envisagée... » Puis il paya les consommations, m'aida à enfiler ma fourrure, et nous quittâmes l'établissement sous le regard plein d'ironie de mon violeur, qui avait tranquillement repris sa place dans la salle, et qui m'adressa un baiser silencieux lorsque nous sortîmes dans la rue en me murmurant des mots que je crus déchiffer comme « A bientôt !... ».

 

 

Par sylviafoulard
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Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:51

Voici l'un des « petits jeux érotiques » auxquels nous adorions, Victor et moi nous adonner au cours des années que nous passâmes ensemble...

J'étais dans notre appartement, choisissant avec soin mes parures, comme chaque fois que je sortais le soir en ville. Un corset de satin noir à 6 jaretelles sur lesquelles je fixe mes bas de nylon noir à coutures, rehaussés d'une large bande de dentelle de même couleur. Sur mes petits seins aux tétons percés d'un fin anneau d'or, je pose un soutien gorge à balconnet de dentelle noire qui rehausse ma petite poitrine. Ensuite un string ficelle avec un petit triangle de dentelle noire sous lequel je loge mon petit olisbos. J'enfile sur le tout une combinette de voile noir – nous sommes en hiver et le froid commence à s'installer – et je choisis ensuite, la tenue qui va recouvrir ces dessous froufroutants... Un cache coeur en mohair rose, qui libère ma gorge et fait ressortir ma poitrine, une jupe de voile bleu nuit à pois blancs qui s'arrête bien au-dessus de mes genoux, puis j'enfile mes escarpins, des stilettos de cuir fauve à lanières avec des talons aiguille de 13cm.

Ainsi apprêtée, je m'asseois devant la glace de ma coiffeuse, pour terminer mon maquillage, choisir mes bijoux et peigner ma courte perruque blonde choisie ce soir.

Je m'admire devant la glace, me trouve affriolante et bandante; je sens mon petit sexe tendre le voile arachnéen de mon string, mais je résiste à la tentation de le caresser, ne voulant pas briser cette douce excitation qui monte en moi durant ces préparatifs...

Enfin prête, je mets mes papiers et mes clefs de voiture dans mon sac à bandoulière, choisis dans ma panière une étole de voile panthère que je nous doublement autour de mon cou, avant d'enfiler une paire de gants de cuir noir, rehaussés au poignet d'une fourrure de même couleur. J'enfile ensuite ma veste ¾ de fourrure, et noue autour de mon visage un carré Hermès rose et or, dont je ramène ensuite les pans autour de ma nuque pour un second noeud. Je suis prête ! Un dernier regard dans la glace de l'entrée, et je claque la porte, prend l'ascenseur et descend au parking rejoindre ma voiture.

J'ai tourné un long moment ce soir-là, avant de trouver une place dans l'une des petites rues derrière le boulevard des Italiens. Une fois garée, j'ai remonté vers le boulevard en faisant claquer mes talons aiguille sur le trottoir, croisant des hommes esseulés qui me regardent avec désir, mais n'osent m'aborder. Je me dirige rapidement vers l'entrée du petit cinéma transformé en club privé, situé à quelques dizaines de mètres du boulevard, où je dois retrouver l'ami avec qui j'ai rendez-vous ce soir. Le patron, qui est à la caisse me regarde arriver. Il discute avec un homme en pardessus noir, qui se retourne et me sourit... Victor prends alors mon bras en me complimentant sur mon allure,générale, puis me fait entrer dans la petite salle où la projection a déjà commencé...

Nous nous asseyons au milieu de la salle, où quelques couples sont déjà enlacés, tandis que sur l'écran, une femme en bas noir se fait prendre en levrette par deux hommes très bien montés...

Ouvre ta fourrure et écartes tes cuisses” me glisse-t'il à l'oreille; j'obeis et retirant mes gants et mon foulard, Je relève ensuite ma courte jupe pour laisser apparaître le haut de mes bas et leur liseré de dentelle noire. La main de Victor se pose sur ma cuisse et commence à me caresser la part de chair nue entre la jaretelle et mon bas... Je commence à feuler doucement au moment où un couple vient soudain s'asseoir à ma droite et l'homme pose aussitôt, lui aussi, sa main sur mon autre cuisse. La femme à ses côtés a dégrafé la braguette de l'homme, et extirpé de son pantalon une queue déjà dressée, vers laquelle elle s'incline pour la prendre entre ses lèvres.

De ses doigts, Victor a dégagé mon petit sexe de son enveloppe de dentelle noire, et l'homme assis à ma droite l'a pris dans sa main pour commencer un léger va et vient destiné à le faire durcir... L'excitation monte lentement en moi, j'agite mon bassin et les doigts de mon amant se glissent alors sous mes fesses, écartent la ficelle du string et cherchent à pénétrer dans mon intimité. Il retire sa main, humecte ses doigts et retourne apprêter mon orifice culier de son index lubrifié. Je ronronne de plaisir sous cette double caresse, et sens qu'un second doigt à rejoint le premier pour détendre et écarter mon entrée... Je suis de plus en plus excitée, je sens que je deviens très salope, et prête à toutes les folies. Mon voisin se met soudain à jouir en longues saccades dans la bouche de sa compagne, aux lèvres toujours accrochées à son sexe. Elle lui caresse les bourses de ses ongles écarlates, comme pour l'inciter à entièrement se vider dans sa gorge. Puis elle relève doucement la tête, et nettoie de sa langue cette superbe bite au gland décalotté qui se dresse près de moi. Je me penche alors vers lui, et prend à mon tour son sexe entre mes lèvres pour éviter qu'il ne débande, sa main gauche continue de caresser mon sexe tendu tandis que son autre main vient se poser sur ma tête pour accompagner la caresse de mes lèvres sur sa hampe... Et je sens sa vigueur revenir doucement.

Mon amant lui propose alors de venir nous suivre dans les toilettes du cinéma. L'homme acquièse d'un hochement de tête, et les doigts de mon compagnon toujours enfoncés dans mon cul, je redresse la tête, me penche alors vers sa compagne et pose mes lèvres sur les siennes... Nous nous embrassons goulûment, nos langues se frottent et je retrouve le goût du sperme qu'elle vient d'avaler dans ce baiser sensuel.

Je me lève alors de mon siège, ma fourrure retroussée montrant les doigts de Victor toujours fichés dans mon intimité, et nous partons ensemble vers la porte des toilettes qui se trouve au bout de la salle près de l'écran. Nous devons avoir fière allure, moi, fesses à l'air et mon amant me suivant la main toujours enfouie dans ma culotte... Des spectateurs nous regardent intéressés gagner la porte des toilettes qui s'ouvre en grinçant et nous descendons un petit escalier qui nous mène dans une petite salle carrelée, peu éclairée sur laquelle s'ouvrent deux cabines pour l'instant inoccupées. Je me colle face au mur, et Victor continue de me lutiner de plus en plus vivement, faisant tourner ses deux doigts pour écarter au maximum mes sphincters... J'entends la porte grincer à nouveau, et le couple qui s'était assis à nos côtés nous rejoint dans ces toilettes sordides. La compagne de l'homme s'approche de moi, et passant ses bras autour de mon cou, me ré-embrasse avec passion. Son compagnon s'est mis derrière moi, et je comprends qu'il s'apprête à me prendre. Victor retrousse alors complètement mon manteau de fourrure, et fait glisser le long de mes jambes gaînées de nylon noir, mon string de dentelle, qui tombe sur mes chevilles. L'autre homme a du se rapprocher car je sens alors ses mains se poser sur mes hanches, et un galet dur se présenter à l'entrée de mon petit “temple d'amour”. Il s'enfonce soudain fortement en moi, m'arrachant un râle lascif. Il s'arrête un moment, puis d'une profonde impulsion, s'enfonce complètement en moi. Je sens sa verge m'emplir totalement puis commencer à bouger en m'arrachant de petits cris de plaisir. Il me pillonne maintenant avec régularité et je bascule dans une excitation de plus en plus forte. Sa compagne a dénoué mon cache-coeur et de ses doigts manucurés la voici maintenant qui triture de plus en plus fortement mes tétons dressés de désir. Elle a découvert avec curiosité les anneaux qui les décorent, et y passant ses index, elle se met à me les étirer très violemment. Je ne peux retenir un cri mais tandis que son ami me sodomise avec la régularité d'un métronome, Victor se met soudain à me cingler les fesses avec sa ceinture... Je crie maintenant sans retenue sous l'effet conjoint des coups administrés, de la douleur qui irradie mes seins, et du plaisir qui me submerge sous les coups de boutoir de l'homme qui m'encule. La femme a laissé l'un de mes tétons, et s'est mise à caresser mon sexe dressé comme un étendard. Je sens que je vais hurler de plaisir,mais les mains de l'homme qui me sodomise se crispent fortement sur mes hanches, et je le sens soudain jouir en poussant un long feulement... Sa semence coule en moi, sur mes fesses et mes cuisses lorsqu'il se retire brutalement, et c'est le moment où je jouis violemment, aspergeant de longues saccades la porcelaine murale contre laquelle je suis plaquée...

Je m'affaisse ensuite sur le sol, et découvre autour de moi, une demi-douzaine de spectateurs qui nous ont rejoint et se branlent doucement face à moi.. “Ejaculez sur elle !” ordonne soudain mon compagnon, et j'ai à peine conscience, après ce formidable plaisir, de recevoir des saccades de foutre chaud, qui viennent s'étaler sur mon visage, mes cheveux et mon cou, coulées de laitances tièdes que j'essaie de récupérer de ma langue avide de salope comblée...

 

Puis Victor m'aide à me relever, il m'embrasse avec passion, m'aide à remettre ma fourrure, mon foulard et mes gants, puis me prenant par le bras, nous remontons dans la salle de cinéma. Nous la traversons bras dessus, bras dessous, sous les regards excités de ceux qui ont joui sur moi il y a quelques minutes, et nous sortons dans la rue, pour rentrer tranquillement à notre appartement.

Par sylviafoulard
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