Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 22:50

Je m’endormis dans la voiture et lorsque j’ouvris les yeux, nous étions garés dans un garage souterrain qui m'étais inconnu.  Pierre-Emmanuel me caressa doucement le cou, et me demanda si j’étais réveillée. J’acquiésai et il me proposa de le suivre chez lui pour me reposer après cette assez étonnante soirée. « Je vous raccompagnerai après-demain chez Charles ; c’est ce que nous avons conclu ensemble. » Je ne protestai pas. J’avais accepté d’être « prêtée » à Charles une semaine…Qu’il me « prête » à son tour à l’un de ses amis ne me regardait pas. J’avais juré à Victor, mon Maître et amant que j’obéirai aveuglement aux désirs de son ami, et pour le moment ce « prêt » m’avait paru terriblement excitant. J’avais en tout cas pris un plaisir extraordinaire au cours de cette première nuit, et j’attendais – avec impatience et curiosité – la suite du programme que Pierre-Emmanuel m’avait concocté…Nous avons pris un ascenseur qui nous a mené dans un grand appartement où tout était éteint. Je regardais ma montre et constatant l’heure tardive (presque 4 heures du matin) compris pourquoi j’étais soudain si  fatiguée. Mon compagnon me conduisit à travers l’appartement jusqu’à une grande chambre tapissée de rose où il me dit que c’était la mienne. « Ma femme dort ; vous ferez sa connaissance demain matin. Elle vous trouvera des vêtements moins voyants que ceux de cette nuit. » Puis il me prit par le cou, m‘embrassa très sensuellement et me souhaita une bonne nuit. Je dénouai mon foulard, retirai ma fourrure et mes bottines, et me glissai telle quelle dans le grand lit, où je ne  tardai pas à m‘endormir.

Le soleil brillait derrière les lourds doubles rideaux de velours sombre qui obscurcissaient la pièce. Je regardai ma montre, y lut midi trente, et m’étirai dans le grand lit. Puis je me levais, écartant les rideaux pour découvrir une superbe vue sur un grand parc ensoleillé. Je me déshabillai entièrement et me glissai dans la salle de bains attenante où je me fis couler un grand bain chaud, dans lequel je me prélassai un long moment. J’entendis la porte s’ouvrir, et une grande femme blonde d’environ 45 ans pénétra dans la salle de bains. « Bonjour, je suis Marie-Charlotte, la femme de Pierre-Emmanuel. Avez-vous bien dormi ? » Je lui souris, acquiésai et elle vint s ‘asseoir à côté de la baignoire sur un petit siège recouvert de fourrure synthétique. « Alors vous êtes Sylvia. Avant de partir à son bureau, Pierre-Emmanuel m’a longuement raconté votre soirée. Il en était encore tout émoustillé. J’avoue que ce qu’il m’en a raconté m’a moi aussi assez …émue. Vous semblez lui avoir procuré le genre de plaisir qu’il attendait depuis longtemps. Vous savez je suis plutôt ouverte sur les questions du sexe. Nous participons très souvent aux petites soirées que Charles et Henriette organisent au Vésinet ; mais m’exhiber devant des inconnus sans qu’il participe, je trouve cela assez frustrant, alors je lui ai conseillé de trouver quelqu’un pour me remplacer. Il semble qu’avec vous il ait trouvé une sorte de perle rare… » Je ris, et me levant, enjambai la baignoire. Elle me détailla avec attention, et parut sérieusement impressionnée par ce que je lui révélai . « Hum, vous êtes vraiment très belle …pour un garçon ! Je vous ai vraiment prise pour une femme en vous découvrant dans la baignoire. Mais là – et elle désigna mon petit pénis rabougri dans son petit triangle de fourrure – je dois reconnaître que vous avez un corps superbe. » Décrochant un drap de bain, elle m’enveloppa, et commença à me sécher très délicatement, s’attardant avec insistance sur ma poitrine, puis sur me reins et mes fesses. « laissez-vous faire, j’ai promis à mon époux de bien m’occuper de vous… » A peine dix minutes plus tard, nous nous retrouvions enlacés sur le lit. Elle m’avait allongé sur le dos, et de ses longs doigts aux ongles écarlates, elle caressait tendrement mon sexe, qui sous ses délicates caresses, se tendait légèrement vers elle. Elle le prit entre ses lèvres, et tout en me regardant, se mit à me le sucer avec application. J’avais entrouvert sa robe d’intérieur et pincé l’un de ses tétons entre mes ongles. Elle ronronna, et se mit à saliver en faisant coulisser ses lèvres sur ma petite colonne de chair. Je lui pris l’autre sein, et en écrasant ses tétons, lui glissai à l’oreille « Sucez moi bien, et quand j’aurai bien étiré vos tétons, j’irai vous montrer pourquoi je suis bien mieux lotie que les autres femmes. » Elle écarta ses lèvres de mon sexe et partit d’un rire de gorge excité. Je la retournai, et me postant derrière elle sans retirer mes mains de ses seins, je fis glisser mon sexe qui avait maintenant pris une assez belle attitude au creux de sa raie culière. Elle souleva d’elle-même son bassin, pour me faciliter l’entrée dans son sexe où je glissai sans aucune difficulté. Je la baisai lentement et avec beaucoup d’application, me retenant jusqu’à ce que je l’entende gémir bruyamment. Lorsqu’elle commença à pousser des petits cris aigus, je la pilonnais soudain violemment, en faisant claquer ses fesses. Elle poussa un grand cri rauque et se raidit au moment où la jouissance la posséda. Empalée sur moi, elle se tint immobile, comme figée, tandis que je pinçai jusqu’au sang ses mamelons ; puis, je me retirai en laissant de longues coulées de laitance blanchâtre s’étaler sur ses fesses et son dos. Nous nous écroulâmes enlacés sur le lit, et elle me dit dans un soupir « oh, c’était merveilleux ». Je l’embrassai dans le cou, et lui répondit « A votre service jolie madame… »  

Elle s’était levée du lit assez excitée et m’avait entraînée dans le grand living qui occupait une pièce entière entre la chambre de son mari et la sienne. « Tu m ‘as considérablement excitée, petite coquine…Nous allons nous préparer, et quand Pierre-Emmanuel rentrera nous lui proposerons une surprise ensemble, tous les trois ; qu’en dis-tu ? » Je n’avais rien à objecter à un tel programme ; on m’avait prêtée à eux pour ce week-end et j’avais juré que je serai très obéissante ; aussi me suis-je contenté de lui sourire et d’acquiescer en me laissant totalement mener par cette femme hier encore réservée, et aujourd’hui bien délurée… Elle sortait les toilettes et nous nous habillions en riant, testant l’une l’autre les tenues les plus aptes à surprendre son époux. Marie-Charlotte me prêta un bustier à balconnet en dentelle noire, qui laissait mes seins à demi nus, auquel elle fixa deux bas de nylon noir à couture, dont la partie haute s’ornait d’un superbe motif de dentelle de même teinte. « Quand tu soulèves lentement ta jupe et que les hommes découvrent cette parure, ils commencent déjà à s’exciter » me dit-elle en riant et en posant un baiser sur mes lèvres. Je caressai ses seins et l’aidai à lacer un corset de satin noir et bleu qui mettait merveilleusement en valeur sa forte poitrine. Elle choisit elle aussi des bas noirs à couture, dont le talon s’ornait d’un coquin petit nœud papillon de soie noire. Je l’aidai à enfiler les escarpins vernis noirs à bride qu’elle s’était choisis, et en laçai les fines attaches de cuir autour de sa cheville gaînée de nylon.

Elle choisit pour moi des talons aiguille de 15 cm dont la bride se terminait par un petit cadenas doré, qu’elle ferma sur ma cheville en m’assurant que c’était « terriblement excitant » de me voir marcher avec cela…Je me choisis un string ficelle de dentelle noire et elle un slip brésilien bleu et noir assorti à son corset. Puis elle enfila une soyeuse robe bleu nuit, vaporeuse comme un voile, qui tournoyait sur ses jambes galbées de noir au moindre mouvement. « Hum, tu es superbe ainsi » lui assurais-je en lui caressant la croupe. Elle rit et me tendit une petite jupe de skaï noir, très serrée, dont elle fit glisser la fermeture éclair sur mes reins. « Je vais te trouver un corsage super érotique que Pierre-Emmanuel m’a acheté il y a un an ou deux mais que je n’ose pas mettre souvent… » Furetant dans les cintres, elle retira un magnifique chemisier en soie noire …entièrement transparent. Le col très échancré était garni d’un léger boa de plumes noires, mais l’on distinguait parfaitement mon bustier et les pointes de mes seins, tendues sous la caresse de la soie sauvage. Elle me prit par la main, m’entraînant vers la salle de bains pour nous maquiller et nous parfumer.

Trois quarts d’heure plus tard, lorsque Pierre-Emmanuel pénétra dans le salon, il marqua une pause en nous découvrant toutes deux assises côte à côte dans le grand canapé de cuir sombre. « Mon Dieu, mais vous êtes superbe ! Marie-Charlotte ma chérie, tu es divine ainsi, et Sylvia, on aurai envie de la caresser tant elle montre ses trésors si peu cachés… » Il se pencha et nous embrassa toutes deux fougueusement. « Pourquoi de si jolies toilettes ? vous avez envie de sortir ? » Marie-Charlotte le regarda avec un air coquin, et lui dit simplement « Et si tu nous emmenait dans ce fameux cinéma où il se passe presque autant de choses dans la salle que sur l’écran ?… » Pierre-Emmanuel n’en revenait pas : «Tu aimerais ? vraiment ? avec Sylvia ?…Oh bon sang, c’est l’une des meilleures idées que tu aies eues depuis longtemps ! Ma chérie, je crois que cette soirée va être sublime, et grâce à toi. Demain je t’offre ce collier qui te faisait tant envie ! » Marie-Charlotte se jetta à son cou, et tandis qu’elle l’enlaçait, la main de Pierre-Emmanuel vint caresser mes fesses. Je m’approche alors d’eux et mêle ma langue aux leurs, dans un baiser d’un érotisme intense, qui me procure une délicieuse onde de plaisir. Nous enfilons nos manteaux de fourrure, nouons de grands carrés Hermès sur nos cheveux, puis gantées, glissons chacune notre bras sous celui de notre cavalier, pour sortir de l’appartement.



Oh maman...

Par sylviafoulard
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