Partager l'article ! 10. Salope offerte au Bois de Boulogne: Lorsque je revins – claudiquant légèrement à cause du traitement subi… - Pierre-Emmanue ...
Lorsque je revins – claudiquant légèrement à cause du traitement subi… - Pierre-Emmanuel m’attendait déjà dans la voiture. Je m’assis à ses côtés, attendant sa réaction. Il m’apprit alors qu’il avait rarement été aussi excité que ce soir. Je l’avais satisfaite au-delà même de ses plus exquises attentes… Il m’avoua son plaisir à voir sans être acteur. Il avait voulu imposer de telles scénarii à son épouse, mais malgré l’ascendant qu’il avait sur elle, sa femme Marie-Charlotte, n’avait jamais accepté d’être ainsi offerte anonymement. Pierre-Emmanuel m’avoua que je venais de lui faire un cadeau merveilleux, et il m’embrassa tendrement. « Tu n’es pas trop fatiguée » ?… insinua-t-il doucement en me regardant . Je lui souris, pris sa main, l’embrassai avec tendresse et lui avouai que je m’étais bien amusée aussi.
De fait, j’avais adoré cette exhibition, et le fait d’être à la fois commandée par un
homme qui se tenait à l’écart – tout en ne perdant pas une miette de mes aventures… - et m’offrait à de parfaits inconnus. Je lui dis tout cela en renouant
mon foulard panthère sur mes cheveux, et en me remaquillant dans le petite glace du pare-soleil. « Eh bien, nous allons continuer, puisque nous avons juste été assez émoussés par ce premier
hors-d’œuvre », dit-il en riant. Il mit le moteur en marche et quitta l’allée ombragée où nous nous étions garés. Nous parcourûmes ce soir-là plusieurs avenues plus ou moins éclairées du Bois de
Boulogne. Je connaissais peu cet endroit, et ne soupçonnait même pas qu’il abritait le soir, d’aussi insolites – et délicieuses – aventures…Près de la fontaine de Longchamp, Pierre-Emmanuel
s’arrêta sur le parking arrière d’un restaurant forestier, et allumant le plafonnier, s’approcha de moi et commença à me caresser, à m’embrasser tout en me dénudant le haut de ma poitrine et en
retroussant ma courte robe. Il m’embrassa fougueusement et nouant mes mains autour de sa nuque, je lui rendis son baiser en ronronnant sous la caresse de ses doigts, qui s’infiltraient sous la
soie de ma robe. Il dégagea mon sexe du minuscule écrin de soie qui l’abritait et se penchant vers moi le prit dans sa bouche, tandis que ses doigts titillaient mes tétons qui durcissaient sous
ses pressions. Il me léchait merveilleusement bien, et j’étais à nouveau excitée… Me dégageant de ma fourrure, je me penchai vers mon compagnon, lui redressai la tête et collai mes lèvres aux
siennes pour retrouver le goût de mon propre sexe. Je déboutonnai un à un les boutons de sa braguette, puis dégageant son pénis de son caleçon, me mis à quatre pattes sur le siège passager pour
l’enfourner à pleine bouche. De ses mains je le sentis retrousser mon manteau et dégager mes fesses, que j’appuyai sur la vitre pour mieux m’occuper de lui… Lorsqu’il jouit en longues saccades,
je gardai sa semence dans ma bouche, puis déglutit doucement pour lui montrer que je l’avalais totalement. Je levais alors les yeux et découvris non sans surprise que des hommes étaient
agglutinés autour de la voiture. Malgré l’obscurité je les distinguais nettement, et certains se masturbaient doucement en nous regardant. Il est vrai que le plafonnier allumé ne cachait rien de
nos ébats amoureux… « Va les voir dehors, me dit alors mon compagnon, Vas t’occuper d’eux, je veux te voir comme tout à l’heure les satisfaire en pensant que je te regarde, que je t’admire, et
que je t’aime ! » Je l’embrassai à nouveau, et ouvrant la portière me glissai hors du véhicule.
La portière une fois claquée, Pierre-Emmanuel éteignit aussitôt le plafonnier, et je me
retrouvais brutalement dans une obscurité quasi totale. Dans le noir complet qui m’entourait, je me tenais droite et un peu crispée. Une main s’enhardit et vint se poser sur mes fesses,
soulevant légèrement ma fourrure. Je ne me dérobais pas et une autre vint très vite la rejoindre… Le cercle se rétrécit soudain autour de moi et je sentis les souffles courts et les murmures des
hommes qui m’entouraient. D’autres mains s’approchèrent à leur tour, et vinrent prendre possession de mon corps. Des doigts palpaient mes soieries, mes seins, mon cou, et quelques petits
rires excités se firent bientôt entendre. Toujours sans le moindre mot, une main se posa sur mon col de fourrure et s’y appuya pour me faire pencher la tête vers une superbe queue dressée, que je
pris goulûment entre mes lèvres, puis me mis à en caresser la hampe en salivant et en faisant courir ma langue sur le gland décalotté. Je sentis les mains qui me caressaient les fesses écarter la
fine ficelle de mon string, et des doigts fouailler mon intimité ; je me penchais d’avantage en tendant ma croupe, et sans arrêter de sucer le sexe que j’avais en bouche, je me mis à onduler du
bassin sous les doigts qui me pénétraient. J’étais de plus en plus excitée, et poussais presque un cri de joie lorsqu’une fine queue s’introduisit dans mon petit cul excité… L’homme que je suçais
se raidit soudain, et prenant mon visage à deux mains, se mit à jouir en poussant des petits cris étouffés ; sa semence chaude me coula dans la bouche, et je ne retirai pas mes lèvres de sa hampe
secouée de soubresauts, pour pouvoir absorber toute sa liqueur. Je me régalai de l’avaler, tout en suçant amoureusement son membre qui ramolissait lentement sous ma langue.
Je relevais la tête et découvris les hommes qui m’entouraient. Ils étaient au moins six, et se branlaient doucement en me regardant. Je m’approchais du plus proche et – en traînant toujours
derrière moi celui qui me sodomisait – pris à son tour sa queue dans ma bouche. Il gémit de plaisir et s’adossa à un arbre. Celui qui m’enculait venait de jouir et son foutre avait largement
coulé dans mon anus et sur mes fesses lorsqu’il s’était retiré… Etait-ce cette lubrification inespérée, ou bien la taille de la queue de celui qui le remplaça ? Je ne sais pas mais j’avais
l’impression de ne presque rien sentir de ses va-et-viens dans mon conduit. Je ne sentais pas son sexe frotter mes parois intimes et y déclencher l’excitation qui d’ordinaire me gagnait à chaque
intromission.
Je me redressais alors en me réenfournant violemment sur sa bite en lui lançant, mi-suppliante, mi-énervée « Baises-moi bien! Encules-moi à fond ! Je veux sentir ta queue me déchirer la chatte… Vas-y fort, n’aies pas peur, baises moi fort chéri, j’en ai tant envie… » Je ne me reconnaissais plus, totalement excitée, totalement dépravée sous les caresses anonymes de ces types dans l’obscurité de ce parking ! Posant alors ses mains sur mes hanches, l’homme s’appliqua aussitôt à me satisfaire, en se ré-enfournant vigoureusement en moi et en ahannant de plaisir. Il se mit alors à me pilonner avec énergie, et l’excitation monta aussitôt en moi…
Je me remis à sucer l’homme adossé à l’arbre, mais il se mit à jouir en longues saccades désordonnées qui vinrent s’étaler sur mon visage. Je le suçais amoureusement en le remerciant comme la pute que j’étais à ce moment, et me retournais avidement vers une autre bite, choisissant avec gourmandise une énorme trompe noueuse, qu’un homme fort et musclé caressait non loin de mon visage. J’eus du mal à l’engloutir, et dus écarter mes lèvres au maximum pour en prendre possession. L’homme gloussa, et me dit « Prépares-la bien salope, parce qu’après cette petite gâterie, je vais te montrer ce que c’est qu’une vraie queue qui te ramonne… » Les autres hommes ricanèrent, et je ne pus me retenir d’ôter un un instant ma bouche de son superbe engin pour lui murmurer lascivement « Oh oui, chéri ! Je la veux dans ma chatte, je veux que tu m’encules avec ta grosse queue. Je veux tout ton foutre dans mon cul… » Il rit encore, et me la ré-enfournant dans la bouche, ajouta « T’inquiètes pas salope, tu vas être servie. Ton cul va bientôt être aussi large qu’un couloir de métro ! » Ils rirent à nouveau et je me remis avec application à sucer son énorme sexe noueux, chaud et délicieux, tandis que son compagnon continuait de me limer avec application , histoire de préparer ma chatte à recevoir ce formidable engin qui, pour l’instant, emplissait ma bouche et mon palais.Bien entendu, celui qui me baisait éjacula bien avant que l’orgasme me possède ; je sentis sa semence tiède me couler dans l’anus puis sur mes fesses lorsqu’il se retira en soupirant violemment. J’agitai mon bassin pour réclamer une autre bite, mais ce fut finalement que je suçais qui, retirant soudain son sexe de ma bouche, me fit brutalement pivoter et m’ayant appuyée contre l’arbre qu’il venait de quitter, vint se placer derrière moi. J’eus à peine le temps de respirer, que d’un violent coup de reins, il poussa soudain en moi son formidable engin. Préalablement lubrifiés par les éjaculations de mes deux premiers baiseurs, sa queue frotta sans difficulté mes sphincters pour s’enfouir en moi. Je crus sa pénétration terminée, mais ayant posé ses deux mains sur mes hanches, il continua d’un autre coup violent, de forcer son passage plus avant… Je poussai un cri lorsque je sentis sa queue m’emplir totalement et son gland frotter mon hymen, mais il rit bruyamment et m’abattit avec violence sa main sur mes fesses en disant « Alors salope, on fait moins la fière maintenant ? Tu la sens bien au fond de ton cul ? Et bien on va la faire bouger un peu pour voir si tu baises aussi bien qu’une chienne en chaleur… » et joignant le geste à la parole, il se mit à me limer à fond, m’arrachant une succession de petits cris de douleur à chaque fois que son terrible sexe venait s’enfourner tout au fond de moi. Les autres ne perdaient pas une miette du spectacle, et mes cris devant les exciter, il s’en trouva un pour m’enfourner une nouvelle queue dans la bouche, histoire de me faire taire…
Je n’eus plus un cri – et pour cause – tout le temps que dura mon enculage. Mais je ne pus retenir mes larmes, mêlées de joie et de douleur au fur et à mesure de ses coups de boutoir qui labouraient mon conduit intime. J’avais l’impression d’être totalement écartelée par ce pieu gigantesque que je sentais frotter mon anus avec violence mais régularité. Je crus que j’allais défaillir tant la tension sexuelle qui m’habitait à ce moment était devenue extrême, mais au moment où j’allais tourner de l’œil, l’homme crispa soudain ses mains sur moi, et criant presque, déchargea au plus profond de mon cul. Je ne bougeai pas, restant collée à lui, tandis qu’il reprenait son souffle. Son sexe ne se dégonfla guère, puisque je ressentis son retrait presque autant que ses pénétrations… Je m’affaissai au pied de l’arbre et l’homme que je suçais finit de se masturber en m’arrosant de courtes rasades de foutre chaud, qui glissèrent gluantes et odorantes sur mon visage et ma poitrine. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes d’un profond silence, que j’ouvris enfin les yeux, découvrant les hommes toujours en cercle autour de moi, et Pierre-Emmanuel me tendant la main pour m’aider à me relever. Je le suivis en claudiquant jusqu’à la voiture, où je me laissais tomber sur mes fesses poisseuses et douloureuses. « Tu as été parfaite. Je vais te ramener à la maison, où tu pourras te baigner et te reposer. » Puis il m’embrassa tendrement le front et mettant le moteur en marche quitta le bois de Boulogne.
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