Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:06

J'étais rentrée du cinéma extrêmement excitée. Je me remémorais les caresses de l'inconnu, ses baisers, sa langue autour de la mienne, le geste furtif losqu'il m'avait enlevé ma culotte pour la glisser dans sa poche... Tout me poussait à y revenir !

J'étudiais la carte qu'il m'avait laissée; il s'appelait Victor et n'habitait pas trop loin de chez moi; deux ou trois avenues plus loin. Je dormis mal cette nuit-là, agitée de souvenirs érotiques, dans ma chemise de nuit de voile rose, je me caressais plusieurs fois en croyant ainsi faire cesser ce plaisir qui iradiait mes sens.

Le lendemain je pris mon courage à deux mains et composai le numéro de teléphone figurant sur sa carte. Une voix - sa voix - grave me répondit et il y eut un silence avant qu'il ne me dise "c'est vous belle inconnue ?" je murmurai "Oui" et il rit en me disant qu'il attendait mon appel, et qu'il m'attendrait cet après-midi chez lui à l'heure qui me conviendrait. Je pris mon courage à deux mains et lui dit que je n'avais jamais été avec un homme. Il fut d'une grande tendresse et me rassura "Nous parlerons, ferons mieux connaissance, faites-moi confiance, je serai très tendre et patient avec vous" Je le crus et lui dis que je serai chez lui vers 14h.

Je passai ensuite les quatre heures qui me séparaient de ce rendez-vous à me demander ce que j'allais revêtir, puis à me préparer, me pomponner avec un soin extrême. Je choisis les mêmes dessous (il avait eu l'air de les apprécier) et soignais plus particulirement mon maquillage. Au cinéma, pour ma première sortie, je l'avais fait très discret, et aujourd'hui je le voulais plus intense, je voulais mettre en valeur ma féminité à ses yeux. Blush, mascara, kohl, je me fis des yeux de biche et des lèvres de starlette, je me parfumai largement - et même mes dessous ! - et choisis de lourds bijoux : un collier "tour de cou" à trois rangs de perles, bracelets et pendentif assortis, des anneaux dorés clipsés à mes oreilles, et je coiffai ma courte perruque rousse que je n'avais encore jamais utilisée à l'extérieur.
Il était une heure vingt lorsque j'enfilais un lourd manteau de fourrure brune de ma mère, mis mes gants, mon foulard, et munie de mon sac et d'un parapluie je partis ...vers mon destin.
Il m'accueillit merveilleusement bien, me sécurisa, me parla longuement de lui, me fit parler de moi, me mit en totale confiance, et je me sentais tellement bien, là, assise près de lui sur le canapé de son salon, que lorsque il m'attira dans ses bras et que ses lèvres se posèrent sur les miennes, l'excitation monta violemment au creux de mes reins. Il me caressa et me prenant dans ses bras, il me porta jusqu'à sa chambre, où il me déposa doucement sur son grand lit. Il m'ota mon chemisier et ma jupe, ainsi que mes escarpins mais me laissa mes dessous noirs. "Tu es trop belle" me dit-il tandis qu'il se déshabillait devant moi. "Tu n'as pas honte de moi, de mon corps, tu sais j'ai presque soixante ans, et je n'ai plus un corps de jeune homme ?" Je lui souris et lui tendis les bras, dans lesquels il vint nu se blottir. Il me caressa merveilleusement bien, m'amenant plusieurs fois au seuil de l'orgasme.

Puis il prit dans un tiroir de sa table de nuit, un tube de crème dont il extraya une grosse noix de crème parfumée; et, s'accroupissant entre mes jambes, il posa la noix de crème au bord de mon anus et d'une lente caresse,il la fit doucement pénétrer en me massant le conduit intime. Il dut sentir mes contractions, puisqu'il me rassura et reprenant une nouvelle noix de crème, continua doucement de me masser l'anus.

Au bout de plusieurs minutes, je sentais ses doigts pénétrer sans aucun effort, et ses caresses me procuraient à chaque pénétration de longues ondes de plaisir. Je commençais à ronronner, allongée sur ce lit, lorsqu'il me redressa doucement le bassin et vint se placer entre mes jambes. J'avais été tellement excitée par ses préparatifs que je souhaitais le recevoir en moi au plus vite, pour apaiser le feu qui brulait mes reins... A peine sentis-je le petit caillou dur se poser au bord de mon intimité, que déjà je le sentais glisser inexorablement en moi, me procurant une délicieuse impression de possession.

Il avait posé ses mains sur mes fesses et il s'était délicatement retiré avant de revenir doucement me pénétrer un peu plus. A chaque nouvelle intromission, il progressait de quelques centimètres et se retirait aussitot comme par peur de me blesser. Mais je ne ressentais rien de douloureux - bien au contraire ! - A chaque pénétration je sentais mon anus s'écarter sans que j'ai besoin de le lui commander, et son sexe prendre doucement possession de moi. A un moment je le sentis tout entier en moi, ses bourses butant sur mes fesses, il se colla à moi et me demanda si j'étais bien "Oh oui" lui criais-je presque, alors il commença doucement à bouger en moi, mais cette fois il ne ressortait plus, et lorsqu'il arrivait au bord de mon anus, il se réenfournait doucement et ainsi de suite, en accélérant lentement ses va-et-vient en moi... J'étais comme folle, je sentais que j'allais basculer dans un plaisir totalement fou. D'une main il prit l'un de mes tétons entre ses doigts et commença à le pétrir, puis à l'étirer, ce qui m'excita encore davanatage... Je réalisai soudain que je m'étais mise à pleurer en poussant des petits cris à chaque fois que son sexe venait buter au fond de moi. Je criais presque lorsque son autre main vint se refermer sur ma hampe dressée, et que je sentis soudain mon corps exploser en projetant violemment mon sperme dans ses doigts. Il feula lui aussi collé à moi, et je sentis son sexe ressortir de mon conduit et des giclées de sperme tiède s'étaler sur ma croupe et mes fesses offertes.. Il se retira délicatement me prit dans ses bras et me consola, essuyant mes larmes, croyant que je pleurais de douleur ou de peine, alors que j'avais connu l'excitation la plus brutale de ma jeune existence...

Je m'enfouis dans ses bras, collant mon visage son torse et lui disant tout mon amour, d'avoir fait de moi, une femme, sa femme ! Et c'est vrai, qu'à compter de ce moment j'ai commencé enfin à me sentir vraiment, totalement femme...  suce---cherie.jpg liqueur.jpg

Par sylviafoulard
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