Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:14

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Trois ans seulement s’étaient écoulés depuis que je vivais dans mon corps de femme avec Victor, et je savourais secrètement le plaisir de vivre ces délicieux moments d’initiation et de féminisation qui m’avaient tant excités, et m’avaient porté à des seuils de plaisir totalement insoupçonnés. Ce fut pourtant à ce moment, que le monde dans lequel je vivais si intensément, faillit s’effondrer… Le lendemain de ma signature de mon contrat d’allégeance à mon Maître et amant, Victor m’apporta un courrier qui me glaça. Il s’agissait d’une lettre de convocation à un conseil de réforme militaire !

Depuis qu’Edouard, l’ami médecin de Victor s’était occupé de ma féminisation et des petits traitements esthétiques complémentaires, il m’avait concocté un dossier médical qui m’avait non seulement permis d’échapper au conseil de révision, tout en reconduisant un sursis médical que je croyais définitif. Las, la lettre m’avisait que je devais me présenter le lendemain matin au Fort de Vincennes pour une visite médicale complète, destinée à clore définitivement mon dossier de sursitaire… Edouard passa nous voir dans la journée et calma quelque peu mes appréhensions en m’expliquant que la procédure était tout à fait naturelle et régulière, que je ne devais pas m’inquiéter, et qu’à l’issue de cette visite – pour lui une simple formalité – je serais définitivement débarrassée du souci militaire. Il téléphona devant nous à l’un de ses amis médecin major au Val-de-Grace, et lui expliqua en détail ma situation. Après avoir raccroché il revint en souriant vers nous ; « Tu as de la chance ma chérie, le Major de Bruynes est non seulement un ami, mais également un amateur de voluptés qui participe parfois à nos petites soirées. Je doute que tu l’aie jamais encore rencontré, mais il connaît Victor et m’a donné l’assurance qu’il téléphonait de suite à Vincennes, pour contacter le médecin chargé de la visite, afin de l’aviser que c’est lui personnellement, qui assurerait la visite de contrôle demain matin dans son service du Val-de-Grace. Il nous rappellera tout à l’heure pour nous confirmer ce nouveau rendez-vous. » Moins d’une heure plus tard, le major de Bruynes me convoquait le lendemain matin à 11 heures dans son cabinet médical de l’hôpital militaire parisien. Je poussai un soupir de soulagement et me tournant vers Edouard, lui demandait dans quelle tenue (féminine ou masculine) je devais m’y rendre… Il éclata de rire, et me conseilla de mettre mes plus belles parures et de me faire la plus belle possible pour ce rendez-vous.

Le lendemain matin, c’est Victor qui s’occupa personnellement de ma toilette et choisit lui-même mes effets. Un bustier lacé de satin gris qui laissait mes seins à découvert, auquel il fixa des bas de nylon gris 15 deniers à couture, puis une soyeuse culotte du même satin gris ourlée d’une fine dentelle noire. J’enfilais ensuite un vaporeux chemisier de soie panthère largement décolleté, dont la soie sauvage excitait la pointe de mes tétons qui dardaient hors du bustier, et dont on devinait parfaitement les contours à travers la légère soie de l’imprimé… Une courte jupe porte-feuille de mohair noir. Des escarpins à talons aiguille de 12 cm, dont les fines lanières de cuir se laçaient autour de mes chevilles gainées de nylon, complétèrent ma tenue très BCBG. 

Je me maquillai longuement, me parfumai et Victor tint à me faire les ongles des mains avant que je ne choisisse les bijoux que j’allais porter. Collier de grosses perles en sautoir, bracelets de perles et boucles d’oreilles avec perles pendantes assorties. Victor peigna mes cheveux et les ramena en un strict chignon sur lequel il plaça à l’aide d’une épingle à chapeau, un délicieux bibi de velours noir ornée d’une voilette qui recouvrait largement mon visage jusqu’à l’éclat écarlate de mes lèvres peintes. J’enfilai mon lourd manteau de vison sombre, pris mes gants et mon sac, et attendis que Victor finisse de s’habiller pour glisser mon bras sous le sien et quitter l’appartement.

La sentinelle du poste de garde nous laissa entrer dès que nous lui eûmes donné le nom du Major, et Victor gara la limousine dans le parking réservé aux visiteurs. Je dus insister pour l’obliger à rester dans la voiture, et à ne pas m’accompagner, puis je pénétrais dans le sas du bâtiment que m’avait indiqué de Bruynes. Un planton vaguement galonné s’enquit de ma visite et je minaudai en lui expliquant que j’avais rendez-vous avec le Major de Bruynes. Il aurait pu m’indiquer le chemin, mais je sentis que mon charme opérait lorsqu’il se proposa de m’accompagner jusqu’au salon d’attente du major. Il m’ouvrit le portes et assez cérémonieusement me tint le bras au haut de l’escalier, puis il m’abandonna dans un petit salon d’attente, non sans m’avoir décoché une œillade assassine et son plus charmant sourire… Je lui répondis d’ailleurs en lui adressant un furtif baiser du bout de mes doigts gantés, ce qui eut pour effet de le rendre rouge d’émotion ! Un autre soldat pénétra dans le salon et m’invita à le suivre. Il m’ouvrit la porte d’une petite cabine et m’invita à y pénétrer puis à attendre que le voyant situé au-dessus de la porte devienne vert avant de pénétrer dans le cabinet du Major. A peine la porte venait-elle de se refermer que le voyant passa au vert ; j’entrai chez le médecin major sans avoir pris le temps de me déshabiller.

C’était un homme distingué, grand et racé d’environ soixante ans qui parut tout de suite sous le charme de mon apparition. Il me prit la main et m’invita à m’asseoir dans un canapé, où il vint me rejoindre et nous papotâmes  comme deux vieux amis. Il m’assura que mon dossier militaire serait définitivement clos, et tandis que ses yeux me détaillaient, sa main caressait doucement la paume de la mienne. Je lui demandai soudain avec ce faux air ingénu qui m’allait parfois si bien s’il désirait m’examiner avant de signer mon dossier ? …Et il avoua que, ma foi, cela serait à la fois plus honnête et conforme à l’engagement qu’il allait devoir prendre. Il m’aida à retirer ma fourrure et mes gants, et je vis ses yeux se fixer sur les pointes de mes seins, qui dardaient sous mon corsage… Je me glissai dans la petite cabine et m’y déshabillai, en gardant tout à la fois mes dessous …et ma voilette.

« Je suis prête, me voici » et je pénétrai dans le bureau. Le major s’était assis dans son fauteuil derrière son grand bureau empire, et au lieu de m’asseoir face à lui, je me mis à genoux et me glissai sous son bureau. Il n’eut pas un geste, se contentant d’écarter ses jambes pour faciliter ma reptation vers lui, et il s’abandonna lorsque mes doigts commencèrent à déboutonner la braguette du pantalon militaire qu’il portait sous sa blouse blanche. J’écartai de son caleçon un long sexe décalotté encore assoupi que je pris goulûment entre mes lèvres, arrachant au Major un feulement de plaisir. Je le suçai avec une application langoureuse, caressant de mes ongles ses bourses couvertes de soyeux poils noirs. Sa verge s’était rapidement durcie, et à chaque succion, j’aspirai son gland en salivant, tant son sexe emplissait maintenant ma bouche et mon palais. Il gémissait doucement et mes caresses auraient pu l’amener à l’orgasme mais il se dégagea soudain du fauteuil, le sexe dressé, m’agrippa par le bras et me tira de sous son bureau. J’en fus très étonnée, d’autant qu’il s’était mis à souffler bruyamment. Me poussant vers la table d’examen située dans un coin du cabinet, il m’y poussa, me forçant à m’allonger sur le ventre, jambes pendantes et les fesses offertes. Attrapant des sangles de maintien, il entreprit de m’immobiliser en me liant les jambes aux montants postérieurs de la table, puis en faisant le tour, il étira mes bras et les lia de semblable façon aux pieds antérieurs. J’étais complètement offerte et totalement immobilisée, livrée à sa merci.

Il revint vers son bureau et je l’entendis appeler son assistant par l’interphone en lui demandant d’apporter mon dossier. Je frémis, en pensant à un piège, mais déjà la porte s’ouvrait et j’entendis dans mon dos, la voix du soldat aboyer « A vos ordres mon colonel. Voici le dossier que vous m’avez demandé» « Très bien lui dit le Major, occupez-vous de cette dame pendant que j’en prends connaissance. » Et je l’entendis s’asseoir bruyamment dans son fauteuil, pendant que son ordonnance posait ses mains sur mes fesses, et me caressait doucement. Constatant avec un certains étonnement qu’à l’endroit où il comptait trouver un endroit humide et accueillant, pendait un petit sexe de garçon, l’homme ne se démonta pas ; je sentis soudain un sexe fort buter à l’entrée de mon petit temple d’amour. Et c’est assez gaillardement que le militaire m’enfila en me pilonnant énergiquement. L’excitation me gagna très rapidement ; l’étrangeté de la situation jointe à son rugueux enculage commencèrent à m’arracher de petits cris de plaisir qui se transformèrent vite en une plainte langoureuse lorsque ses coups de boutoir s’accélérèrent. Il jouit longuement en moi en s’accrochant à mes hanches, puis se retira presque aussi vite qu’il était rentré. « Très bien Martin ; allez chercher le caporal Lestrade au rez-de-chaussée, il serait dommage de ne pas le  faire profiter d’un aussi délicieux cadeau. » L’homme sorti, le Major s’approcha de moi « Vous aimez Madame ? » « Beaucoup » lui répondis-je. Il me leva alors délicatement le menton, et m’enfourna son sexe dans la bouche en me recommandant de continuer  ce que j’avais si bien commencé. 

Je m’appliquais à lui procurer la plus exquise des fellations lorsque la porte s’ouvrit et que le Major invita son subalterne à  « se servir »… J’eus donc droit à un second enculage, largement facilité par le sperme encore tiède que mon premier violeur avait laissé en moi, et tandis que de ma langue je montrais l’étendue de mes talents de suceuse, le second militaire ajouta de longues giclées de foutre chaud, à celles qui poissaient déjà mes fesses offertes. Après m’avoir désentravé, le colonel m’aida lui-même à me rhabiller. Il me baisa cérémonieusement la main, puis me tendit la feuille qu’il venait de signer et tamponner.« Ma chère, vous voici définitivement dégagée des obligations militaires. Ceci étant dit, j’éprouverais un extrême plaisir à vous revoir un jour prochain. » Je m’approchai de lui, collai mes lèvres aux siennes et lui murmurai « J’adorerai me retrouver à nouveau à votre merci, mon colonel » Puis ramassant mon attestation je quittai son bureau et allai rejoindre Victor, auquel je ne manquai pas de raconter les détails de cette délicieuse visite médicale ! Lorsque nous quittâmes le parking militaire et repassâmes devant la guérite du planton à l’entrée, Victor s’arrangea pour lui demander son chemin, histoire que l’homme découvre ma fourrure largement écartée, et ma jupe totalement retroussée, d’où il pouvait facilement apercevoir la main droite de mon amant glissée dans mon slip de satin gris… La sentinelle actionna l’ouverture de la barrière sans quitter un seul instant des yeux mon entrecuisse agitée de spasmes d’excitation dues à la caresse intime de Victor.

Par sylviafoulard
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