Partager l'article ! L'initiation de Jennifer : les débuts...: J’avais rencontré un jour où un ami m’avait complaisamment exhibée dans un ...
J’avais rencontré un jour où un ami m’avait complaisamment exhibée
dans un cinéma porno, un beau jeune homme timide, imberbe et fasciné par le travestissement qui m’avait avoué – en rougissant – qu’il n’avait jamais osé encore se travestir en femme ailleurs que
chez lui, dans le secret de sa chambre. J’avais noté son nom, son adresse et le numéro de téléphone de sa logeuse, et avant d’en parler à mon ami de l’époque, je lui téléphonais pour voir s’il
était toujours disposé à se mettre à ma disposition. Mon appel sembla le contenter, puisqu’il m’avoua timidement l’avoir attendu avec impatience depuis plusieurs jours. Je lui dis que j’allais en
parler à mon compagnon, et que s’il était d’accord nous pourrions le recevoir ce soir chez nous. Il accepta et je raccrochais. Mon amant fut assez emballé par ma proposition. Il devait avoir
envie de revivre avec un nouveau Pygmalion, le délice d’initiation qu’il m’avait dispensé lors de mon arrivée chez lui. Il me donna son accord pour que nous convoquions le minet le soir même, et
nous nous mimes d’accord sur le scénario que nous allions lui proposer. Victor tenait à ce que je me charge du coté autoritaire. Il voulait me voir prendre en charge la formation et la
gestation du jeune garçon pour en faire une soubrette obéissante, et totalement soumise au moindre de nos désirs. Il voulait rester un peu « en arrière », détaché face à la formation d’une
domestique dont il souhaitait seulement user une fois formée. Le scénario nous excita déjà en l’évoquant tous les deux, et nous nous rendîmes l’après-midi même, dans une
boutique de lingerie coquine située près de la place Clichy, pour y choisir des tenues de soubrette anglaise. Nous achetâmes quelques robes, tabliers, coiffes, auxquelles nous fîmes rajouter des
dessous ainsi que des outils de maintien et d’immobilisation, et c’est très émoustillés par ces préparatifs et ces achats que nous quittâmes la boutique. Sur le chemin du retour, tandis que
Victor conduisait, je me laissais glisser au fond de mon fauteuil, et tandis que d’une main je dégageai son sexe de son pantalon, je me penchai totalement vers son entre-jambes pour prendre entre
mes lèvres, son vit déjà gonflé de désir. Il ronronnait tandis que ma langue et mes lèvres s’activaient sur sa hampe. J’écartai un bref moment mes lèvres de son gland humidifié, pour lui demander
si cela lui plaisait, et il me répondit que non seulement il adorait ma caresse, mais que les passagers de l’autobus qui se trouvait à nos cotés semblaient également apprécier le spectacle… Je
levai les yeux et découvris le regard exorbité d’un monsieur digne et assez austère qui semblait hypnotisé par le spectacle ainsi offert. Je lui souris en passant de façon très coquine la pointe
de ma langue
entre mes lèvres, et lui faisant un clin d’œil, je replongeai vers l'entrejambes de Victor qui accueillit mon retour avec un intense gémissement de plaisir…
Une fois rentrés, nous nous préparâmes à accueillir notre nouvel ami. Victor choisit lui-même la tenue qu’il voulait me voir porter : un corset anglais de satin noir rehaussé de fines dentelles noires et rouges, des bas à couture de nylon noir, un simple string de dentelle rouge et noire assorti au corset, une paire d’escarpins en cuir verni noir avec d’interminables talons aiguille effilés de 15 cm, puis un large collier clouté dont il ceignit mon cou. Victor me coiffa d’un strict chignon et voulut que je mette un loup de satin, agrémenté d’une voilette de dentelle noire. Puis il me choisit de longs gants de satin noirs qui remontaient au-delà du coude. S’écartant de moi, il jugeait de l’image dégagée par mon allure, et sembla satisfait : « Tu inspires le respect et la peur ; il va sans aucun doute être très impressionné par ton allure ce soir… » Il alla me chercher une cravache de cuir tressé dont je passai la dragonne autour de mon poignet, et frappant de petits coups nerveux sur ma cuisse, je déclarai « j’ai hâte de frotter mon cuir sur la peau tendre de son corps ! » Victor rit, et nous attendîmes, assez excités l’arrivée de notre nouveau « jouet »…
Ce fut Victor qui se chargea d’accueillir le jeune homme. Il avait souhaité que j’assiste à l’entretien cachée dans le large living qui séparait le couloir du salon de ma chambre. J’y avais amené un fauteuil, et confortablement installée dans l’obscurité de cette pièce, je pouvais voir et entendre sans être vue. Le garçon semblait intimidé ; le fait d’avoir été reçu par Victor, qui était allé chercher des boissons en cuisine, semblait le perturber ; mon absence aussi devait l’intriguer. Il était habillé de façon assez soignée, voire ostentatoire : blaser bleu marine et pantalon de flanelle grise, chemise Oxford blanche et cravate club. D’où j’étais il me semblait qu’il ne portait pas le léger fond de teint que j’avais découvert sur ses joue au cinéma, mais je sentais d’ici, son eau de toilette, délicate, presque féminine…
Lorsque Victor revint avec deux coupes de champagne il alla droit au
but : « Ma compagne, Sylvia m’a raconté en détail votre rencontre dans ce cinéma. Elle semble estimer que vous feriez une excellente dame de compagnie-soubrette à ses cotés. Elle cherche cette
soubrette depuis longtemps, et il semble qu’elle ait jeté son dévolu sur vous. Pour que j’accepte de vous engager à ses cotés il me faut mieux vous connaître et tout savoir de vous. Si ce projet
vous agrée et si les termes de notre accord vous conviennent, nous signerons un contrat d’allégeance en bonne et due forme, qui servira de base contractuelle entre vous et Sylvia. Qu’en
pensez-vous ? Acceptez-vous de vous présenter en détails et de voir si nous pouvons préparer ce contrat ? » Le jeune homme me tournait le dos et j’eus du mal à entendre le faible « Oui » qu’il
murmura en réponse, mais je le vis acquiescer de la tête, et Victor le pressa de se présenter. Il s’appelait Fabrice, avait dix-neuf ans, et vivait seul à Paris, chez son oncle qui possédait un
immeuble avenue de Longchamp dans le 16° où il vivait dans son grand appartement. Ses parents eux, vivaient à Bordeaux, son père ancien notaire à Neuilly-sur-Seine, dirigeant l’une des
principales agences immobilières de la cité girondine. Fabrice était à Paris depuis deux ans, ne travaillait que quelques heures par semaine pour le compte de la société de courtage en Bourse de
son oncle, qui dirigeait l’un des cabinets de placements privés les plus huppés de la place parisienne. Il était l’amant de son oncle depuis plusieurs années, et celui-ci avait grandement
favorisé son arrivée à Paris. Il avoua à Victor – en rougissant et en baissant les yeux – qu’il s’était déjà plusieurs fois travesti en femme pour faire plaisir à son oncle, mais qu’il n’avait
jamais osé sortir en pleine rue ainsi habillée, et qu’il se contentait de porter certains dessous sous ses affaires de garçon. Victor lui demanda alors s’il aimerait vivre totalement en
femme pour me servir, et il s’empressa de répondre par l’affirmative en ajoutant : « Votre dame est une très jolie femme, l’une des plus belles qu’il m’ait été donné de rencontrer depuis que je
vis à Paris. Je ne sais pas si elle pourra faire de moi une vraie femme, mais je serai très obéissante pour y parvenir. Je vous jure que je ferai tout pour me montrer digne de votre confiance.
Vous ne regretterez pas de m’engager à ses cotés. » Victor se tut un moment en réponse à cette fervente déclaration, puis il dit sèchement : « Déshabilles-toi complètement. Je vais téléphoner
pour voir pourquoi Sylvia est en retard » puis il quitta la pièce, laissant l’adolescent seul dans le salon. Au bout de quelques secondes, il se leva, et entreprit doucement de se déshabiller en
silence. Lorsqu’il eut enlevé sa chemise je
constatai qu’il portait un léger caraco de nylon rose. Il fit glisser à terre son pantalon de flanelle, me révélant des jambes gainées de nylon couleur chair, le bas étant fixés à une petite
ceinture-jarretière rose. Le tout était complété d’une délicieuse culotte ouverte en nylon rose, décorée d’une fine dentelle. Il garda ses dessous, et s’immobilisa au milieu du salon en croisant
ses bras sur sa petite poitrine. Je me levais silencieusement et entreprit de pénétrer sans faire de bruit dans la pièce. Il me tournait le dos, et je frappais légèrement son épaule d’un coup de
la fine cravache que je portais au poignet. Il se retourna brusquement, parut stupéfait de me découvrir là, dans cette tenue face à lui, il eut un hoquet (de frayeur ? de surprise ?) et se laissa
tomber à genoux devant moi, les yeux baissés, comme hypnotisé par ma brusque apparition.
« Fabrice, pour moi dorénavant tu ne t’appelleras plus que Jennifer. J’ai entendu tes déclarations, et je suis prête à m’occuper de ton éducation et de ta féminisation. Mais je serai impitoyable en cas de réticence, de rébellion ou d’échec. Je veux une obéissance totale au moindre de mes désirs. Dorénavant c’est moi qui commande et dirige tout. Tu n’as plus droit à la parole sauf si je t’y autorise. Tu signeras le contrat que je t’ai préparé, et tu viendras t’installer ici à demeure avec nous. Tu auras 48h pour régler tes affaires familiales et professionnelles, et je te veux ici dans deux jours, après que tu seras passé te faire épiler à cette adresse où j’ai pris rendez-vous pour toi pour mercredi matin à 10 heures. Je n’attends plus qu’un accord de ta part… » Il leva les yeux vers moi et murmura, avec un mélange de soumission et d’admiration dans la voix « Oui Maîtresse, je le veux. » Victor entra alors dans la pièce avec le contrat en trois exemplaires que nous avions préparé. Il demanda à Jennifer de s’asseoir à la table, et de lire lui-même le document. Il s’exécuta :
« Article 1 : Je dois totale obéissance et soumission à Maîtresse Sylvia ainsi qu’à tout compagnon ou compagne qu’elle m’indiquera. Je me conformerai à ses souhaits et accepte dorénavant de vivre à ses cotés dans le corps féminin qu’elle me choisira.
Article 2 : J’accepte qu’elle fasse de mon corps ce qui lui semblera bon. J’accepte d’avance toute féminisation et contrainte s’y rapportant. Je m’engage à entretenir mon corps en état de parfaite propreté et de perpétuelle disponibilité. J’accepte d’avance le port de bijoux, et de toute autre marque de sujétion à l’autorité de ma Maîtresse
Article 3 : Je dois silence et obéissance et ne peux lever les yeux sur ma Maîtresse ni lui adresser la parole sans son autorisation. Je suis à genoux dès qu’elle se lève, et à ses cotés dès qu’elle s’asseoit. Je dors au pied de son lit et j’accepte liens et entraves s’il lui plait.
Article 4 : Toute désobéissance ou rébellion même minime fera l’objet de sanctions décidées par ma Maîtresse, qui aura droit d’user de moi et de mon corps à sa guise selon son bon plaisir.
Article 5 : J’accepte le port d’un gode permanent, et d’une ceinture de chasteté afin d’empêcher tout onanisme non désiré par ma Maîtresse Mon unique désir sera dorénavant de satisfaire le Sien. Lorsque mon éducation sera terminée, et si je suis acceptée, mon nom d’esclave choisi par ma Maîtresse, me sera tatoué à l’intérieur de ma cuisse en guise de soumission perpétuelle à Son Autorité.
Fait à Paris le…………………… Signature »
Il avait terminé sa lecture d’une voix tremblotante. Je m’approchai de lui, et le prenant par les deux oreilles je l’obligeai à lever son visage vers le mien. Il avait des larmes au bord de ses beaux yeux ourlés de longs cils soyeux.
« Si tu m’aimes, je veux que tu signes de ton nom et du prénom que je t’ai choisi » Il prit le stylo, et sous sa signature, rajouta « Jennifer »…
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