Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:34

Fabrice « Jennifer » se présenta le lendemain matin à 10 heures précises à notre appartement. Victor m’avait aidé à ré-endosser ma tenue de Maitresse et il avait insisté pour que je garde bien mon loup et ma voilette en sa présence ; il trouvait que cet anonymat ne pouvait que renforcer mon autorité auprès de lui. C’est donc moi qui le reçut. Je l’emmenai dans la chambre – assez austère – que nous lui avions préparée au fond du vaste appartement, et j’exigeai qu’il se dénude entièrement puis qu’il range ses affaires masculines dans le fond du placard. Je voulais vérifier s’il était bien passé chez mon amie Charlène, l’esthéticienne qui s’occupait de mon corps et de celui de la plupart de mes amies. Il se déshabilla en silence, et je constatai qu’il portait les mêmes sous-vêtements féminins. Je l’inspectai minutieusement, lui faisant écarter les jambes, soulever son (petit) sexe et se pencher en avant pour que je vérifie son entre-jambes. C’était parfait, Charlène avait totalement enlevé le moindre duvet qui aurait pu subsister sur sa peau d’adolescent. Toujours sans un mot, j’ouvris la penderie et y retirai les effets que nous avions Victor et moi, choisis pour lui ; puis je le poussai dans la petite salle de bains attenante où je lui ordonnais de se placer dans la baignoire. Les mains le long du corps, il tremblait un peu lorsque je préparais le nécessaire à lavement que je lui destinais. Il n’eut pas un mot pendant celui-ci, acceptant très bien la canule et l’eau tiède glycérinée que j’introduisis dans son anus pour le préparer. Après l’avoir séché, je le fis revenir dans la chambre et se coucher à plat ventre sur le lit. Je ceignis sa taille d’une fine chaînette d’acier que je serrai au maximum et à laquelle je rivetai un anneau destiné à recevoir une autre attache métallique. Puis je pris une noix de lubrifiant et commençai doucement à préparer son petit trou par de lents mouvements de mon index. Il agita un peu son bassin, signe qu’il appréciait cette préparation… Je sortis alors du tiroir un long olisbos de caoutchouc noir dont je fixais la plaque à la seconde chaînette. Puis écartant ses deux fesses, je fis pénétrer doucement ce bel engin d’une douzaine de centimètres dans son fondement.

« C’est le premier lui dis-je, une fois bien préparé, ton anus sera prêt à recevoir la seconde taille, et dans deux semaines, le dernier, le n°3, qui sera celui que tu devras garder toujours en toi. »

« -Oui Maîtresse » murmura t’il.

Une fois entièrement enfoncé dans son anus, je serrais la chaînette pour empêcher toute rétractation, et la tendis au maximum, pour qu’elle vienne rejoindre sur son ventre l’autre qui était ceinte autour de sa taille. Je les liais par un petit cadenas chromé dont je montrais à Jennifer la petite clé : «Chaque soir, après ton service, et avant ta toilette nocturne, tu viendras te faire désentraver. Et chaque matin tu te replaceras cet olisbos dans ton fondement en refermant le petit cadenas, dont je serai la seule à posséder la clé. Maintenant, lèves-toi, que je t’habille. » Il se redressa face à moi, yeux baissés et bras collés le long du corps. Je sortis du sac les emplettes effectuées avec Victor place Clichy. Je lui montrai l‘entrave de nuit que nous lui avions acheté pour éviter tout onanisme non désiré : une gaine de cuir noir totalement fermée, munie d’un laçage de serrage, et que l’on pouvait fixer par un cadenas à une chaînette de maintien. « Tu porteras ceci durant la nuit ; il est totalement exclu que tu te tripotes sans que j’en ai décidé. » Je posai l’engin sur la table de nuit et lui détaillai les toilettes achetées :

« Tant que ton éducation n’aura pas produit les effets que j’estimerai nécessaires à ton exhibition auprès de nos relations, tu ne porteras pas de tenue complète de soubrette. Cette robe et cette coiffe sont une récompense dont il te faudra te montrer digne. En attendant tu ne porteras que ces dessous et ce tablier. » Je lui passai donc le corset de skaï noir qui laissait ses seins et ses fesses à l’air et qui portait deux paires de trois  jarretelles. Nous l’avions choisi en taille 38, et cela semblait bien lui convenir ; je m’arc-boutais pourtant fortement sur le laçage, voulant absolument travailler très vite son tour de taille. Il n’eut pas un mot durant le serrage, et je vis sous mes yeux, sa taille s’affiner encore avant que je ne bloque le laçage. Je lui enfilai une paire de bas résille à petit filet, et l’aidai à chausser les escarpins que nous lui avions préparé : vernis noir, avec des talons aiguille de 15 centimètres, ils se refermaient sur la cheville par une sangle de cuir noir munie à la fois d’un petit cadenas et d’un anneau. Une fois hissé sur ces plate-formes il était presque aussi grand que moi ; hésitant et vaguement déséquilibré il semblait avoir du mal à trouver son équilibre sur la pointe de ces escarpins vertigineux. 

Il réalisa soudain à quoi servaient les petits anneaux situés sur la face interne de la bride de chaque chaussure, lorsque j’y fixai une courte chaînette de 30 cm munie d’un grelot. « Cela t’obligera à faire de petits pas, et grâce au grelot je t’entendrai arriver. Maintenant ton premier exercice, tout en t’habituant au gode que tu portes en toi, va consister à apprendre à marcher avec des talons aiguille. Chaque jour, tu  t’entraîneras consciencieusement ; tu feras des marches avant et arrière, tu te baisseras, tu apprendras à t’agenouiller puis à te relever sans aide, bref je veux qu’à la fin de cette première semaine tu aies adopté une démarche qui me fasse honneur, faite de grâce, de féminité et d’habilité. Une bonne soubrette doit non seulement être rapide pour satisfaire immédiatement le moindre appel, elle doit surtout être adroite, ne rien casser ni renverser, faute de s’exposer à de très dures punitions ! Je vais finir de te préparer, puis tu t’entraînera à marcher sur les tapis de ta chambre jusqu’à ce que je juge tes progrès suffisants. » Je lui nouai autour du corset un petit tablier de nylon blanc, puis l’asseyant face à moi, j’entrepris de maquiller le petit minet qui me faisait face en femme de chambre. Il avait la peau douce et les traits fins, et le maquillage mit aussitôt en valeur toute la féminité de son visage. Je lui passai une courte perruque brune. Je me reculai pour juger du résultat, et en fut extrêmement satisfaite : j’avais décidément fait un excellent choix ; sa féminité éclatait littéralement, on ne percevait déjà plus rien du jeune garçon timide arrivé il y a moins d’une heure…
Je l’enfermais dans sa chambre en lui recommandant de bien s’exercer à la marche. 

Je laissais « Jennifer » deux heures entières, seule dans sa chambre, puis je revins surveiller discrètement ses « travaux » par l’ancien passe-plat que Victor avait remplacé par une glace sans tain, et qui me permit de la regarder sans être vue. Elle se déhanchait beaucoup moins que lors de ses premiers essais, mais surtout – et j’en fus très satisfaite – elle s’appliquait à travailler sa démarche ; alors qu’elle aurait très bien pu dès ma sortie de la chambre, s’affaler dans le lit ou dans le fauteuil, et feuilleter un magazine… Non, elle « travaillait » et j’en fus assez fière sur le moment. Elle avait de très jolies jambes, fines et fuselées, que les bas résille mettaient en valeur au moins autant que les talons aiguille, et regarder ses déhanchements qui mettaient en valeur sa petite croupe et ses jambes gainées, commencèrent à m’exciter… Je quittai mon poste d’observation, et me dirigeai vers la chambre. Elle me fit face, les yeux baissés et les bras le long du corps, lorsque je m’approchai d’elle. « A genoux ! » lui intimai-je d’une voix basse, et elle s’exécuta immédiatement. Je dégageai mon sexe de la fine culotte de soie qui le cachait à ses yeux et lui présentai mon gland devant ses yeux ; « Suces ! » et elle prit aussitôt mon sexe dans ses lèvres, aspirant doucement mon prépuce, et faisant glisser ses lèvres doucement autour de ma hampe. L’excitation me gagna très rapidement, je fermai un instant les yeux et m’abandonnai à cette caresse chaude, douce et sublimement féminine. 
Cette petite salope suçait vraiment comme uneMaîtresse avec fouet déesse ! Je crus même que j’allais jouir très – trop ? – vite, et me retirant vivement de sa bouche, je saisis sur la table, deux pinces métalliques que je plaçai sur ses tétons, que j’avais préalablement étirés de mes ongles. Elle ne cria pas, à peine se crispa t’elle un bref instant lorsque la morsure de l’acier se referma sur son téton rosi. Je la relevai et choisit deux poids d’environ deux cent grammes auxquels je fixais une courte chaînette et que j’accrochai aussitôt aux deux pinces. Ses mamelons étaient maintenant lourdement étirés vers le bas, et je surveillais du coin de l’œil ses réactions. Aucun cri, aucune plainte, alors que la morsure devait se faire plus violente sur cette tendre chair. Bien étirés, ses tétons étaient maintenant légèrement violacés, et je savais que la douleur devait commencer à irradier sa poitrine.

Je décidai soudain brusquement de tirer des larmes de ses yeux baissés, et de voir 
jusqu’où elle pourrait supporter la douleur… Attrapant dans la boite aux bijoux le nécessaire à percer les oreilles, je posai soudain la petite plaque de liège contre son téton gauche, et trempai l’aiguille dans le petit flacon d’alcool, avant de lui embrocher soudain le téton en faisant vivement sauter la pince qui l’enserrait. Il ne cria pas, mais une crispation violente agita son visage, et une légère plainte sortit de se lèvres, lorsque je remplaçai l’aiguille par un anneau pinceur muni d’une 
petite tige qui traversa son téton là où l’aiguille avait préparé le chemin. Je vis deux larmes couler de ses paupières closes, et je serrai l’anneau pour le river sur son mamelon. Je répétai l’opération sur l’autre sein, et je le sentis tressaillir lors de cette seconde pose.

Je relevai son menton de ma main gantée, l’obligeant à lever son regard vers moi « Remercie-moi pour ce présent ». Il entrouvrit ses lèvres peintes et murmura « Merci Maîtresse » en me regardant d’un regard amoureux, embrouillé des larmes qui coulaient de se beaux yeux. « C’est bien ; tu n’as pas crié, ni pleuré. Tu peux maintenant continuer de sucer ta Maîtresse pour les deux beaux bijoux qu’elle vient de t’offrir ». Sans s’aider de ses mains, il s’agenouilla de nouveau face à moi et reprit de ses lèvres mon sexe qui n’avait pas trop dégonflé… Ses caresses m’amenèrent rapidement à l’extase, et je jouis longuement dans son palais, en maintenant sa tête collé à mon bas-ventre. « Avales tout et reprends tes exercices » lui dis-je en me retirant doucement de ses lèvres tièdes. Je quittai la pièce en refermant à clé la porte de sa chambre. J’allai au salon raconter à Victor ce petit intermède et il gloussa en me disant que j’avais vraiment déniché la perle rare. « J’ai envie de l’essayer très vite lui avouai-je, pas encore auprès de nos amis, mais il me semble prêt pour une petite soirée nocturne… » « Comme tu voudras ma chérie » se contenta de dire mon amant, et j’allai aussitôt me changer, et quitter ma tenue de dresseuse, pour des vêtements plus bourgeois. Il me fallait préparer l’étape nocturne de ce premier jour d’initiation.

Par sylviafoulard
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