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Lundi 8 janvier 1 08 /01 /Jan 20:29

Laure habite maintenant Bordeaux, et chaque fois que je passe en France, je l'appelle et nous essayons de nous voir. Nous nous sommes connues dans des soirées travesties au creux des années quatre vingt, et depuis qu'elle vit avec son petit esclave que je lui ai féminisé, dressé et préparé pour son seul service, elle s'est installée en province avec lui, qui s'occupe de toutes les tâches ménagères de sa maison.
Laure a - comme moi - la cinquantaine épanouie; elle est toujours aussi chaude et disposée à faire les choses les plus folles. A Noël, je l'avais avertie que je venais passer une dizaine de jours en France et elle m'avait fait savoir qu'elle viendrait m'accueillir à Roissy, et que nous passetions ensuite trois-quatre jours chez elle dans sa grande maison près de Bordeaux.
J'arrive en fin d'après-midi à Roissy, il faisait froid mais moins encore qu'à Ottawa d'où je venais, et j'avais emmené dans mes affaires un superbe manteau de fourrure de zibeline en cas de grand froid en France.
Laure m'attendait en femme, impeccablement maquillée, sexy, très BCBG avec un grand manteau d'ocelot et un foulard Hermès.
Nous nous embrassons, elle rit en caressant la braguette de mon pantalon et me sussure "tu as ton string de voile noir sous tes habits de gentleman canadien ?" sous les regards des autres passagers, qui tiquent un peu...
Elle a réservé une chambre au Novotel de l'aéroport, et nous y dinons comme un couple qui se retrouve après une longue absence. C'est là qu'elle m'explique son "plan" : On monte dans sa chambre, on se gouine un peu, puis on se fait belle toutes les deux et on prend la route buissonnière comme deux belles bourgeoises qui ont envie de s'encanailler sur toutes les aires d'autoroute qui mènent à Bordeaux ! Quelle idée ! mais si excitante...bref, on monte vite dans sa chambre, nous faisons l'amour. Puis un grand bain moussant et tandis que Laure se re-pomponne, moi je sors mes parures et affaires pour me relooker façon Sylvia.
Le grand plaisir avant de quitter l'hôtel c'est de nous regarder, toutes les deux, bras dessus bras dessous en fourrures, foulards et gants, faisant claquer les pointes de nos talons aiguille dans le hall tandis que le voiturier amène la Volvo de Laure dans laquelle il range soigneusement mes affaires dans le coffre. Il nous sourit, je lui donne 10 euros et Laure lui caresse le sexe. A peine partie, et déjà elle commence à draguer... Le jeune voiturier rougit et Laure lui propose une "sucette" . Il bafouille, rougit encore plus et lui montre sa cabine dans le parking. Laure le suit et revient au bout de 10 minutes, en passant sa langue sur ses lèvres :"Mignon, mais beaucoup trop rapide !" "Tu l'avais trop excitée - lui dis-je - tu devrais faire monter la sève un peu plus lentement..." Elle rit, s'installe au volant et nous prenons la route, via l'autoroute vers l'Aquitaine.
J'ai du lui interdire de s'arrêter dès les premiers parkings, préférant quand même avancer vers notre destination. Mais c'est juste après Orléans, qu'elle m'a soudain dit "Je n'en peux plus, il me faut une queue bien dure très vite". J'ai rit et nous nous sommes engagéss dans une aire de service. Il était près d'une heure du matin, et beaucoup de véhicules particuliers étaient garés pour la nuit. Laure dépassa le petit édicule de béton qui sert de toilettes sur ces aires d'autoroute, puis freina subitement en se garant, car un homme arrivait à pied de l'aire de stationnement des camions situé un peu plus loin, et venait semble-t'il faire sa toilette, (serviette et nécessaire à la main) avant d'aller dormir.
Nous attendîmes quelques minutes, puis nous descendimes du véhicule, et remontâmes en parlant assez fort (mais le bruit de nos talons aiguille suffisait à annoncer notre arrivée...) vers le petit bâtiment. Délaissant la partie "femmes", nous entrâmes dans la partie oposée, où un bel homme d'une quarantaine d'années, torse nu était en train de se raser.
"Bonsoir" fit Laure en lui décochant son plus beau sourire ; "Bonsoir" répondit-il surpris. Je me glissai dans la cabine des WC, laissant la porte largement ouverte et Laure s'approcha de lui en lui demandant où il allait. Il comprit très vite ce que Laure attendait de lui, car à peine avais-je terminé mon petit besoin, remettant mon clitoris dans sa petite culotte de soie noire, que je le découvrit débarrasé de sa mousse à raser, en train de caresser les jambes gainées de soie noire de Laure, qui s'était assise sur le rebord du lavabo. Je m'approchai d'eux et regardai l'homme lui écarter délicatement les cuisses, en glissant sa main de plus en plus loin sous sa jupe; lorsqu'il eut atteint son sexe, il sourit, dit "je m'en doutais un peu, mais j'avoue avoir été bluffé par votre beauté et votre classe". Laure feula d'excitation, et se levant du lavabo vint s'agenouiller près du routier dont elle ouvrit la braguette du pantalon de ses longs ongles manucurés. Elle sortit une fort belle trompe à demi dressée, qu'elle recouvrit illico de ses lèvres écarlates. L'homme, appuyé au lavabo soufflait fortement, alors je m'approchais de lui et collant mes lèvres aux siennes, lui glissai ma langue dans sa bouche, pour un baiser torride. Il m'enlaça et tandis que Laure le suçait divinement, il remonta mon manteau de fourrure et ma jupe pour caresser mes fesses à peine cachées par la soie noire. Il glissa une main sous le voile de ma culotte et commença de son index à titiller mon petit trou d'amour.
Ce qui me fit aussitôt onduler du croupier, me collant à lui pour faciliter son intromission. Il glissa bientôt un second doigt à côté du premier, et sentant que sous sa pression, mon petit cul s'entrouvait, les fit tournoyer de façon plus saccadée. Je me mis à gémir sentant le plaisir qui montait de mes reins. Il ahanna soudain un grand coup et jouit à longues saccades dans la gorge de Laure, toujours collée à son sexe pour nepas en perdre une goutte qu'elle avala soigneusement avant de le nettoyer de sa langue et de ses lèvres.
C'est à ce moment que le partenaire de l'homme arriva dans les toilettes, assez stupéfait du spectacle découvert, mais assez rapidement en action pour s'occuper de mon petit cul qu'il voyait s'agiter sous les pénétrations de l'index de son compagnon.
Il était un peu plus jeune que l'autre, 30, 35 ans peut-être, blond et assez fin. Il vint se mettre derrière moi et remplaça très vite les doigts de son copain par une queue que je sentis d'abord forte et noueuse, avant d'éprouver sa longueur au fil de sa pénétration. Lorsqu'il se fut totalement enfoncé en moi, je sentis ses bourses battre contre mes fesses, il glissa ses mains sous ma fourrure, déboutonna mon chemisier et vint prendre de ses doigts mes tétons qui commençaient à durcir d'excitation. Il les malaxa de plus en plus fort au fur et à mesure de ses va et vients en moi. Je ne fus pas longue à pousser des petits cris. Je me penchai en avant, m'appuyant des deux maisn au lavabo, dégageant bien ma croupe pour faciliter son enculage. Ses doigts sur mes seins faisaient monter en moi une excitation terrible, mais ses coups de boutoir, son endurance et la régularité de son pillonnage m'amenèrent très vite à crier de plus en plus fort...
Pendant ce temps, Laure s'était de nouveau assise sur le lavabo, et elle se faisait prendre de face par le premier homme.
Nous jouîmes presque ensemble, et l'homme qui me pénétrait se retira pour asperger mes fesses d'une abondante giclée de sperme tiède. Je restai là prostrée, appuyée au lavabo, lorsque l'homme posa sa main sur ma queue qui tendait ma culotte de soie; le simple contact de sa main, m'électrisa, et je jouis à longue saccades ...dans ma culotte (que je dus retirer et laver à l'eau froide du lavabo !)
Laure suça le nouvel arrivant avant que l'homme qui la pénétrait ne jouisse en elle, puis, se rajustant, elle vint de sa langue, nettoyer mes fesses souillées en rigolant "Il faut bien que je te nettoie ma chérie : ta culotte n'est pas sèche !"
Nous embrassâmes nos deux partenaires et reprirent la route, un peu rassasiées...(mais un peu seulement !) 

Par sylviafoulard
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Mercredi 6 septembre 3 06 /09 /Sep 15:17


Depuis ma séparation avec ma compagne, qui était partie vivre avec son amant en me laissant seul, je m'étais replongé - avec délice ! - dans les plaisirs du travestissement... J'avais remonté de la cave les deux grosses valises où j'avais enfermé toutes les parures, perruques, parfums et maquillage qui m'avaient permis d'être Sylvia durant de longues années, de ma post-adolescence à ma rencontre avec Marie-Claude.
Nous étions restés presque sept ans ensemble, partageant les mêmes passions sensuelles et sexuelles, fréquentant club échangistes et passant chaque été un mois de fantasmes assumés au village naturiste du Cap d'Agde.
Je couvrais Marie-Claude de soieries et de dessous troublants, qu'elle adorait porter, et qui nous excitaient tous deux follement... Et puis elle avait rencontré ce medecin Dominateur qui l'avait très vite prise sous sa coupe autoritaire, lui procurant des plaisirs qu'elle n'avait pas connu avec moi.
Elle avait fini par me quitter, en refusant de m'inclure dans ses nouveaux jeux sensuels, pour un triangle caudaliste que son amant avait refusé; puis elle avait pris toutes ses affaires et était partie s'installer chez lui.
Passés les premiers jours de déprime, j'avais vite retrouvé dans la peau de Sylvia, une nouvelle envie de vivre, et de nouvelles pulsions érotiques...
De jour en jour je m'étais donc réhabituée à vivre en femme, à m'habiller, me comporter, me maquiller, et à rester travestie toute la journée, puisque mon travail d'enseignant au Centre National de Télé-Enseignement (l'ancêtre du CNED...) me le permettait.
J'avais recommencé à sortir dans la rue, faire mes courses et achats quotidiens en femme, et donc croisé quelques voisins qui n'avaient pas parus étonnés de cette "nouvelle occupante" du logement que ma compagne avait quitté (avec moi avaient-ils du penser...). Je faisais pourtant montre d'une extrême prudence, tant dans mes tenues (très bourgeoises et BCBG) que dans mes sorties nocturnes...
Un voisin m'avait remarqué (celui là même qui draguait osensiblement ma compagne lorsqu'il la croisait dans l'ascenseur...) et me lançait des oeillades à chaque fois qu'il me croisait et me saluait... Je baissais les yeux, rougissante et flattée en m'abstenant de lui répondre car je n'avais pas encore assuré ma voix.
Sur le même palier que moi vivait une famille de quatre personnes, un couple d'une cinquantaine d'années avec deux enfants déjà adolescents, une fille étudiante d'une vingtaine d'années, et un garçon lycéen d'environ 15-16 ans.
Nous ne nous parlions guère, nous contentant de nous saluer poliment, mais j'avais parfois croisé le jeune ado revenant ou partant à son lycée, qui rougissait lorsque je lui souriais en lui disant bonjour, et qui avait été très troublé lorsque nous nous étions retrouvés dans la cabine d'ascenseur un soir où je revenais du cinéma, emmitouflée dans mon manteau de fourrure avec foulard de soie et gants de cuir, parfumée et maquillée... Il n'avait pas osé me regarder dans les yeux, sauf au moment de sortir de la cabine dont il m'avait tenu la porte, et je l'avais remercié d'un grand sourire et d'une légère caresse sur sa main... Très troublé il s'était ensuite retourné pour me regarder mettre ma clé dans ma serrure et je lui avais alors adressé un baiser de mes lèvres entrouvertes, qui le fit rougir encore d'avantage, avant de s'engouffrer dans son appartement...
Et puis un matin où je remontais chez moi avec mon courrier, je le croisai essouflé qui courait et il faillit me faire tomber... Je l'arrêtai tandis qu'il me bafouillait une excuse, et je lui dis "Moins vite, jeune homme...On ne bouscule pas les dames !" Il s'excusa aussitôt et je lui souris en lui disant qu'il était "pardonné"... et que je l'invitais à venir me voir s'il avait des questions de scolarité à me poser, lui révélant que j'étais enseignante (j'insistais sur le "e" final) et que je pouvais l'aider s'il le souhaitait. Il rougit, me remercia, et fila...
Et il ne s'écoula pas deux jours avant que je n'entende sonner à la porte, et que je le découvre avec un livre et un classeur, un peu intimidé, me demandant si je pouvais l'aider pour une explication de texte littéraire... Je le fis entrer, et nous nous installâmes au salon autour d'une petite table ronde, et je rapprochais ma chaise de la sienne pour lire son texte et lui expliquer la méthode a employer.
Je me suis forcée à rester strictement dans mon rôle d'enseignante, mais je le sentais un peu troublé dès que ma main l'effleurait en parlant; aussi une fois l'explication fournie, je lui ai proposé un raffraîchissement et pendant que j'allais en cuisine le préparer je l'ai invité à s'asseoir sur le grand canapé, où je l'ai retrouvé, assis, droit, genoux serrés... Je me suis assise près de lui, et en lui tendant son verre, j'ai laissé ma main caresser doucement la sienne... Il a tremblé, et j'ai alors posé ma main sur sa nuque et en me penchant vers lui je l'ai doucement attiré vers moi pour lui offrir un baiser très osé, ma langue allant chercher la sienne et mes lèvres collées aux siennes. Il respirait très fort et je l'ai débarrassé de son verre, espérant que ses mains libres allaient s'occuper un peu de moi; mais comme il restait transi, collé à mes lèvres, j'ai de ma main gauche, continué de lui caresser sa nuque, tandis que ma main droite s'aventurait vers son entre-jambes, que j'eus le grand plaisir de sentir très tendu sous son fin pantalon... Je déboutonnai alors lentement sa braguette, et y glissant ma main, je partis à la découverte d'une très jolie colonne de chair dressée, que je sortis illico de sa cachette... Puis, quittant ses lèvres, et me penchant, j'ai pris doucement son sexe entre mes lèvres et commencé à titiller du bout de ma langue son méat qui se dégageait de son enveloppe de chair... J'avais à peine commencé à engloutir sa jolie queue dans ma bouche et à saliver de plaisir, que je le sentis se raidir, et expulser soudain dans mon palais de longues saccades de sa tiède liqueur, que je pris plaisir à garder un moment dans ma bouche avant de l'avaler avec gourmandise... Je gardai encore un moment sa jolie queue entre mes lèvres, mais il ne débandait guère, et j'ai cru un moment qu'il allait de nouveau jouir... Mais me redressant doucement je le vis les yeux fermés, la tête inclinée en arrière avec un sourire béat sur les lèvres, et je le ré-embrassai avec ferveur, lui poussant doucement sur sa langue, un peu de sa semence restée au fond de ma bouche. C'est alors qu'il m'enlaça, me serrant dans ses bras, enfouissant sa tête au creux de mon épaule, et me murmurant de tendres mots d'amour et de remerciements. Nous restâmes ainsi enlacés un long moment avant que je ne l'incite à rentrer chez lui pour ne pas inquiéter ses parents... Il se leva gêné, ramassant classeur et manuel scolaire, et je l'accompagnai jusqu'à la porte. Là je l'embrassai de nouveau avec passion, et le poussai doucement sur le palier... Il se retourna et me demanda soudain "Je pourrai vous revoir ?" Je souris, lui adressai un baiser et lui dit "Nous sommes voisins, c'est donc inévitable..." puis je refermai doucement la porte. Je m'y adossai, heureuse et très excitée par ce délicieux intermède, auquel je rêvais déjà, de donner une suite plus osée dans les jours prochains...

Sylvia

Par sylviafoulard
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Mercredi 6 septembre 3 06 /09 /Sep 15:16

Près d'une semaine s'écoula sans que je ne croise une seule fois mon beau lycéen dans l'ascenseur ou l'escalier... Et puis un matin, où après une grasse matinée je m'aprêtais à sortir tardivement faire quelques courses, je venais à peine de refermer ma porte que celle de mes voisins s'entrouvit et le visage de mon nouvel ami s'y glissa pour me murmurer "Bonjour Madame ! je n'ai pas cours aujourd'hui...pourrais-je passer vous voir cet après-midi ?..." Il était si mignon avec son petit air implorant que je m'approchai, posai mes lèvres sur les siennes et murmurai "D'accord : à 16h chez moi"... Il me sourit et referma doucement la porte de son appartement.
De retour une heure plus tard chez moi, je décidai de ne plus biaiser avec lui et de lui jouer dès cet après-midi, le "grand jeu" de la séduction !
Je pris donc un grand bain moussant, et m'offrit un lavement avec eau glycérinée parfumée pour me sentir très "accueillante"...
Vint ensuite le choix des parures pour ce RDV d'après-midi... Mini culotte de soie noire avec bouillonné de dentelle pour recouvrir mon petit "service trois pièces"; puis corset de satin mauve serré fortement à la taille, et bas de nylon noirs à couture que j'alignai impeccablement en les fixant aux jarretelles du corset; je choisis ensuite une paire de mules d'intérieur du même mauve que mon corset, garnies d'un pompon plumetis, et pourvues d'un talon de 15 cm...
Je m'assis à ma coiffeuse et me maquillai avec soin, avant quelques vaporisatins de mon parfum (Diorissimo) et je choisis mes bijoux : grandes boucles d'oreilles créoles (j'ai les oreilles percées depuis mes 18 ans !) et je noue un léger voile de soie mauve autour de mon cou... Je me trouve très séduisante et - narcisse - je m'adresse un baiser dans le miroir... Enfin, cerise sur le gâteau, j'enfile mon long et magnifique déshabillé de voile et plumetis noir, qui laisse deviner en transparence, mon corset et mes bas ...et peut-être déjà, le léger renflement qui pointe sous la soie de ma soyeuse culotte !
Je souris d'aise en constatant qu'il est bientôt 16h, et je mets en sourdine la platine tuner sur un programme de jazz cool, prépare deux grands verres et des glaçons (j'ai bien l'intention de lui faire boire un petit cocktail alcoolisé) et je m'asseois lascivement dans un fauteuil en attendant son coup de sonnette.  
A 16h pile, la sonnette de l'entrée résonne, je me lève et regarde par le judas : mon beau lycéen est là debout, face à ma porte...un bouquet de fleurs à la main ! J'entrouvre doucement la porte en restant soigneusement cachée derrière le vantail, je souhaite lui faire une belle surprise... Il entre, se retourne pendant que je referme la porte et il me découvre, dans ma tenue de "grande séductrice"...
Il ouvre grands ses yeux et sa bouche, et je lui prends très vite des mains son bouquet, puis l'enlaçant je l'embrasse à pleine bouche; et cette fois il répond, m'enlace de ses bras, frotte sa langue contre la mienne et nous restons enlacés un long moment. Je m'écarte de lui, je lui prends la main et l'amène au salon : "Tu n'as pas amené de livre de classe ?" il sourit "J'ai oublié...j'avais tellement envie de vous revoir" Je le pousse vers le canapé où je me glisse à ses côtés, passant mon bras derrière son cou et caressant sa nuque de mes doigts effilés... Il tremble un peu "Tu es ému ?" il se mord les lèvres et me souffle "Oui, un peu..." Je l'enlace alors en lui disant "...Et tu n'as pas encore tout vu !..." Nous nous embrassons et je pose ma main libre sur le renflement de son pantalon "Tu bandes déjà mon chéri ?" Il rougit et baisse les yeux. J'en profite alors pour me lever et préparer deux cocktails Mojitos avec de bonnes rasades de rhum blanc sur les glaçons et la menthe... Je lui tends son verre et nous trinquons. A peine a-t-il bu une gorgée qu'il se met à tousser surpris par l'alcool, je l'embrasse et lui reverse dans la bouche la rasade que je venais d'absorber "Avales çà mon chéri, çà va t'enflammer"
Il reboit une longue gorgée et me regarde maintenant avec des yeux un peu troubles, mais il me sourit et dit "C'est bon..." Je ris et profitant de son excitation montante, je prends sa main et la pose sur mon bas... "Caresses moi mon chéri" lui dis-je en l'embrassant à nouveau; et sa main commence un délicieux ballet sur le nylon de mon bas... Je sens l'excitation monter en moi lentement, et d'un coup, j'attire sa main un peu plus haut et la pose sur ma culotte de soie, sous laquelle mon sexe commence à prendre des dispositions peu communes chez une dame... Il ne semble pas réaliser ce qu'il sent sous ses doigts, et je lui dis "ôtes moi ma culotte" Il se met alors à genoux face au canapé et commence à faire glisser ma culotte sur mes cuisses... Mon sexe s'est maintenant dégagé et dresse sous le voile de mon déshabillé son gland impatient... Il réalise soudain ce qu'il voit, et me regarde d'un air surpris; j'écarte les pans de mon déshabillé et prenant son visage entre mes mains je le pousse à s'incliner vers mon sexe dressé "Prends le entre tes lèvres !" et il m'obéit, inclinant lentement sa tête et je sens ses lèvres se poser au bord de mon gland décalotté.. Je l'encourage d'une voix ferme "Prends le entièrement dans ta bouche !" et posant mes mains sur sa tête j'appuie doucement jusqu'à ce que je sente mon sexe entièrement en lui.  J'accentue ma pression en lui parlant "Oui mon chéri, comme cela, suces le et utilise tes lèvres et ta langue pour me donner du plaisir..." Et il s'adapte très vite à cette nouvelle situation, suçant avec application ma queue maintenant entièrement dégagée de ma culotte de soie... Je rythme ses caresses buccales de mes mains et je sens la jouissance monter inéxorablement en moi..."Ouvre bien la bouche : je vais jouir en toi mon chéri !" Et aussitôt dit aussitôt fait, j'expulse de courtes saccades de foutre dans sa bouche chaude refermée autour de ma colonne de chair. J'ai peur qu'il ne recrache tout, qu'il soit un peu dégoûté, mais il reste rivé à mon sexe qui ne débande guère. Je lui relève alors la tête, l'attire vers moi et pose mes lèvres sur sa bouche encore ourlée de ma semence. J'y retrouve le goût âcre du sperme que j'adore... Il a l'air complètement sonné, je le serre dans mes bras lui parle doucement à l'oreille "Merci mon amour de ce cadeau que tu m'as fait; maintenant c'est moi qui vais t'en faire un..." Je me lève et l'entraine dans ma chambre, lui ôtant rapidement polo, pantalon et slip : il bande toujours ! Se serait-il régalé de cette fellation, certainement une "première" pour lui dans ces conditions ? Il est nu et ôtant mon déshabillé, je me glisse dans les draps en l'attirant vers moi; puis je me penche vers son entre-jambes et je happe son sexe dressé, en commençant à lui rendre la monnaie de sa pièce... Il halète très vite sous mes coups de langue et mes va et vient le long de sa jolie queue, je sens qu'il va jouir et j'aspire goulûment son gland qui se met aussitôt à projeter sa liqueur dans mon palais; j'aspire et avale avec délice ce nectar d'adolescent, et garde encore un moment sa queue dans ma bouche chaude et si accueillante. Il doit être si excité qu'il ne débande pas... Je le regarde, yeux fermés, allongé sur le dos, reprenant sa respiration. Je prends son sexe dans ma main et continues mes caresses; j'attrape mon tube de gel sur la table de nuit et m'en sers une grosse noix que je fais entrer dans mon anus par mon majeur dressé... Puis je m'accroupis de part et d'autre de son corps allongé, et je me laisse doucement descendre sur sa verge dressée que ma main guide vers mon intimité. Elle entre en moi avec facilité et je commence à m'enfoncer sur elle, ce qui déclenche aussitôt en moi, des ondes de plaisir que je sens monter de mes reins... J'halète bientôt en feulant de plaisir, et posant mes mains sur son torse imberbe, je le vois ouvrir les yeux, me regarder et sourire... Oh ce sourire, est aussi aphrodisiaque que les mouvements de son sexe en moi, je ferme mes yeux, murmure "Oh oui mon chéri, vas-y... tu vas me faire jouir..." et je me sens basculer dans le plaisir avant même de sentir son sexe se vider à nouveau, mais au plus profond de moi cette fois ! Je crie ma jouissance et je m'affale dans ses bras, qui se referment sur moi dans une étreinte amoureuse dont je ne voudrais jamais émerger...

Sylvia

Par sylviafoulard
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Mercredi 6 septembre 3 06 /09 /Sep 15:12

Ses parents partis pour la journée, je pus ainsi passer deux longues heures au lit enlacée avec Damien (c'est ainsi qu'il s'appelait mon beau lycéen, mon nouvel amant...) et nous parlâmes longuement, tendrement de ce que nous venions de vivre ensemble. Il m'avoua que c'était la première fois "qu'il faisait l'amour à une femme"...puis il rougit, hésita, et je l'embrassai en lui disant "bien sur mon coeur, pour toi comme pour moi, je suis une femme !" et il me raconta son quotidien, ses envies, ses plaisirs; il m'avoua qu'il se caressait souvent dans les toilettes en feuilletant les pages de dessous féminins des magasines de vente par correspondance de sa mère, avec l'une de ses culottes chapardée dans la panière de linge sale, qu'il portait à son visage et respirait avant de se faire jouir... Il en avait honte; mais moi je le rassurai, lui avouant que j'étais également passé(e) par là. Et je lui racontai longuement le chemin qui m'avait amenée jusqu'à Sylvia. Il m'écoutait fasciné et silencieux, lové contre moi. Puis nous refîmes l'amour, cette fois je m'allongeai sur le ventre, rehaussant mes fesses avec un oreiller et lui présentai mon "petit temple d'amour" bien écarté, dans lequel il se rua à nouveau avec la vigueur d'un jeune homme... Il me fit jouir une nouvelle fois, et je criai son nom (et mon bonheur) lorsqu'il éjacula en moi. Je le gardai un moment empalé en moi, et j'attrapai dans le tiroir de ma table de nuit mon rosebud - qu'il regarda d'un air étonné...- que je me posai comme un bouchon en lui disant "J'ai tellement envie de garder ton sperme en moi toute la journée"; Il était si heureux, il m'embrassai et me caressai, et je dus lui rappeler que l'heure tournait et que ses parents allaient bientôt rentrer ! Il se rhabilla, et après maints nouveaux baisers, nous nous quittâmes en nous fixant de nouveaux petits RDV secrets pour les prochains jours. Au moment de partir il me dit avec enthousiasme que sa famille était invitée à un mariage dans deux semaines, et qu'il prétexterait devoirs et leçons en retard pour essayer de rester seul dans l'appartement durant les deux jours... Je lui demandai comment il s'y prendrait, et il me dit qu'il savait jouer les faux malades... Après une dernière étreinte et un long baiser, il me quitta pour rentrer chez lui. Adossée à la porte, le coeur battant encore de ce délicieux moment, je me sentais soudain si heureuse, et si femme, que je me caressai doucement et réussit à me faire à nouveau jouir au simple souvenir des merveilleuses étreintes connues avec Damien cet après-midi...
Nous connûmes à dater de ce jour quelques nouveaux RDV furtifs et hélas trop rapides pour de nouvelles étreintes, mais à chaque fois que nous nous retrouvions, il papillonnait heureux et si amoureux de moi que j'en étais flattée et ravie.
Je lui demandai ce que ses parents pensaient de moi, comme voisine, et il m'avoua que son père me trouvait "très chic" et que sa mère l'avait mise en garde contre moi, lorsqu'il lui avait appris que j'étais enseignante. Elle voulut savoir comment il l'avait su et Damien expliqua qu'il m'avait entendu le dire à un autre voisin dans la cabine d'ascenseur que nous partagions. Il rit "Maman a l'air d'être un peu jalouse de la fascination que vous exercez sur Papa..."
Les deux semaines filèrent vite et je trouvai un matin sous ma porte un petit mot plié où il m'annonçait qu'il avait convaincu ses parents, et qu'il pouvait rester seul pendant qu'ils iraient sans lui au mariage.
Je me dégageais donc de toute contrainte pour ce weekend qui s'annonçait sous de délicieux auspices pour nous deux... Depuis que nous avions fait l'amour ensemble, je n'avais pas eu d'autres relations ou rapports, et j'attendais avec au moins autant d'impatience que Damien ce nouveau rendez-vous amoureux...
Le samedi arriva, et je pus assister de mon balcon au départ en voiture de la famille sans Damien. Il ne se passa pas un quart d'heure avant que celui-ci ne sonne à ma porte; il m'embrassa fougueusement et m'annonça qu'il me préparait un "goûter d'amoureux" pour l'après-midi, et je dus insister pour qu'il rentre chez lui et me laisse me préparer en toute quiétude...
Une heure plus tard j'étais prête : très BCBG (ou CPCH comme Damien me l'avait dit un jour "Collier de perles-Carré Hermès". J'avais adoré la formule qu'il avait entendue prononcer par certains de ses copains lycéens, fascinés par les jeunes beautés du lycée Lafontaine voisin de la Porte Molitor...)
J'avais choisi des dessous smarts - mais sexy - string de soie et dentelle noire, corset de satin gris, bas gris fumée, escarpins à haut talon, collier et boucles d'oreilles en perles, courte jupe de mohair noir, et chemisier panthère en voile de soie avec un grand carré de soie Hermés négligeammant noué autour de mon cou... Maquillée et parfumée, mon sac en bandoulière après avoir refermé la porte de mon appartement, je traversais le palier et sonnais à la sienne, qui s'ouvrit aussitôt (il devait m'attendre derrière !) et Damien me regarda fasciné en me complimentant "Vous êtes si belle Sylvia..." Nous nous embrassâmes et il me fit visiter leur bel appartement, très bourgeois dans sa décoration mais aussi très "cosy" et très accueillant. Le salon était double et près d'une grande table basse où Damien avait préparé boissons et pâtisseries, un épais tapis de fourrure blanche s'étalait jusqu'à la cheminée capucine sur le sol du salon. Damien s'y agenouilla face à moi et faisant remonter de ses deux mains ma courte jupe de mohair, il me dit qu'il avait envie "de me sucer"! Ravie de cette entrée en matières, je le laissai faire glisser mon string et caresser de sa paume mon petit sexe qui avait commencé à se déplier doucement face à lui... Il le prit alors entre ses lèvres, et je tressaillis tant son contact m'électrisa soudain, déclenchant de douces ondes de plaisir en moi; je pris sa tête entre mes mains et rythmai doucement avec lui sa délicieuse caresse, qui lentement faisait monter en moi une sublime excitation. Mais je me retins, ne voulant pas si vite, trop vite, jouir avant de réaliser l'envie qui me caressait depuis plusieurs jours. Je lui relevai la tête, l'obligeant à quitter mon sexe et à me regarder.
- "Damien mon chéri, aimerais-tu que je te fasses l'amour comme tu me l'as fait l'autre après-midi ?..." Il me regardait hésitant et interrogatif. "Si tu le veux je peux te faire connaître ce nouveau plaisir; ne crains rien, je serai tendre et très prudente avec toi; tu ne ressentiras que du plaisir..." Je le sentais hésiter et j'allais abandonner cette idée, lorsqu'il prit ma main qu'il embrassa puis il  releva la tête et me murmura "Oui, je voudrais bien essayer, pour connaître ce plaisir que vous avez éprouvé si violemment lorsque j'ai joui en vous..." Je l'enlaçai et l'embrassai "Oh mon chéri, quelle belle preuve d'amour tu me donnes ! Déshabilles toi vite, j'ai trop envie de toi mon chéri, je veux te faire pleurer de plaisir !" Il se déshabilla prestement tandis que je me défaisais de mon chemisier et de ma jupe. Il s'allongea à plat ventre sur l'épais tapis de fourrure, et je sortis de mon sac le tube de vaseline dont je pris une grosse noix sur mes doigts et m'allongeant à ses côtés, je commençais à masser son anus que je sentais contracté par l'appréhension. "Laisse toi faire mon chéri, fais moi confiance, tu vas ressentir très vite l'effet de cette crème" mes doigts étalaient lentement en lui le lubrifiant et mon index le poussait à l'intérieur de son conduit, que je voyais et sentais s'élargir doucement au contact de cette caresse. "Tu aimes ma caresse ?" lui demandais-je, et Damien, relevant sa tête fit oui de la tête en commençant à ronronner comme un chat caressé... Je le massais et entrais maintenant deux doigts en lui que je faisais bouger lentement, ce qui déclenchait de légers mouvements de sa croupe tendue. Il se mit à feuler et à pousser de longs soupirs... Je le sentis alors prêt à me recevoir. Je l'embrassai dans le cou et le chevauchai lentement en l'aidant à relever légèrement son bassin, puis très excitée j'approchai mon sexe bien dur et dressé de sa fente vaselinée et j'y posai le galet de mon gland décalotté. "Tu me sens mon amour ?" - "Oh oui, Sylvia, allez-y, je vous veut en moi..." Je fis alors pénétrer mon gland dans son anus, qui l'accueillit en se serrant, et en lui arrachant un petit cri de plaisir "Je te fais mal ?" - "Non, non, c'est bon..." me répondit-il, alors je poussai d'un léger coup de rein mon sexe bandé qui pénétra en entier en lui et il se mit à gémir en murmurant de plus en plus vite "Oh oui, c'est bon, c'est bon..." je m'appuyai alors sur mes mains et me retirant presque je me réenfournais sur lui en commençant à rythmer ma sodomie avec douceur... Plus je le baisai, plus il marmonnai de petits cris de plaisir, et lorsque j'accélérai soudain mon mouvement il se mit à gémir longuement en criant presque "Oh oui, oh oui, c'est si bon..." et le serrant très fort contre moi, je jouis soudain violemment ! La vaseline répandue fit presque ressortir en entier mon sexe (qui n'était ni très épais ni très long) de son anus, et je répandis le reste de ma semence surs ses fesses, que je couvris ensuite de baisers et de ma langue, pour boire à sa source, le fruit de mon plaisir.
Damien resta allongé un long moment et moi affalée sur son dos, puis je me relevai et se retournant, il me prit alors dans ses bras et m'embrassant avec passion, me murmura "Oh merci Sylvia !" Je caressais son visage, embrassai ses yeux où perlaient deux larmes et lui dit "Tu étais mon amant, et tu es maintenant devenu mon Amour" et c'est en caressant son sexe de ma main, que je découvris la semence qui s'en était échappée et qui coulait de son gland congestionné..."Oh, tu as joui toi aussi ?" - "Oui, c'était si bon !" je l'embrassai tendrement et ajoutai mutine "Tu as sali le tapis de ta maman..." Il éclata de rire, et nous roulâmes enlacés sur la grande fourrure en étalant sur nos corps, la semence que Damien venait d'y projeter...  
 
Sylvia

Par sylviafoulard
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Jeudi 27 juillet 4 27 /07 /Juil 14:57

J’ai toujours fantasmé sur Eros et Thanatos, à l’ombre des parures de soie noire dont je raffole et qui couvrent toujours les parties les plus intimes de mon corps.
C’est sans doute pour cela que j’ai enfin osé assumer un rêve (et un fantasme) très ancien, que j’ai réalisé la semaine passée à Paris et dont je vais vous parler…
J’ai tout d’abord soigneusement choisi mes parures : toutes en noir bien sur, et uniquement en soie et en satin ! Un petit bustier rehaussé d’une fine dentelle pour bien enserrer ma taille et dégager mes petits seins aux tétons arrogants, qui viennent se loger dans le petit balconnet de dentelle festonné. Des bas de nylon noir 15 deniers fixés aux jarretelles et amoureusement tendus sur mes jambes épilées, avec alignement soigneux de la couture dans la verticalité de mes jambes, et du coquin petit nœud de soie noire qui en orne le talon. Des escarpins vernis noirs à très haut talon aiguille (15 cm) dont je noue les fines brides autour de mes chevilles.
Un string transparent et léger de voile noir, dont la ficelle en dentelle s’insère entre les deux globes de mon adorable derrière… J’enfile sur le tout une magnifique combinaison de satin noire rehaussée de dentelle. Puis je m’assois à ma table de maquillage, où face à la grande glace, je parfais mon maquillage et soigne mon look.
Vient ensuite le choix de la tenue qui recouvrira ces délicieuses parures. J’enfile une très légère jupe de voile noir qui laisse deviner en transparence les jarretelles qui tiennent mes bas, et pour le haut, un chemisier de satin noir brillant, très légèrement échancré afin que l’on devine le pigeonne ment de ma petite poitrine…
Je choisis ensuite mes bijoux avec soin ; bracelets de perles, bagues, collier trois rangs de grosses perles fantaisie, ceinture-chaîne dorée, et boucles d’oreilles « gouttes de perle » assorties au collier pour mes oreilles percées. Je me parfume largement (cou, poitrine, …mais aussi mes dessous !) avec mon Diorissimo.
Je me sens prête. Je suis déjà toute excitée, et mon sexe a du mal à rester lové dans mon minuscule string de voile noir !
Je parfais ma tenue de « veuve éplorée » en posant sur ma perruque brune striée de reflets roux, une capeline de feutre noir, recouverte d’une voilette en dentelle très serrée, que je descends au ras de mes lèvres écarlates.
Je choisis dans ma panière un carré Hermés vert et or et le noue élégamment autour de mon cou, laissant les pans retomber avec grâce sur mon épaule.
Puis je me choisis des gants de cuir (noir bien sur) aux poignets rehaussés d’une fine fourrure ; et pour terminer une épaisse veste de fourrure sombre trois-quart, qui ne m’arrive qu’à mi-cuisse.
Un dernier regard dans la grande glace de l’entrée : parfait ! Je m’envoie un baiser narcissique du bout de mes doigts gantés, attrape mon sac à main, en vérifie le contenu, puis satisfaite, glisse la bandoulière sur mon épaule, et claque la porte derrière moi. La « veuve éplorée » est de sortie !

Veuve.JPG
J’ai pris un taxi à la station près de chez moi, et je surprends plusieurs fois le regard de l’homme dans son rétroviseur. Il sent mon parfum, mais a du mal à distinguer mes traits (autre que mes lèvres écarlates) sous la voilette de dentelle noire qui couvre le haut de mon visage. Je lui ai indiqué « Cimetière Montparnasse, entrée côté rue Froidevaux » et il a immédiatement engagé le lourd véhicule dans la circulation.
Je l’intrigue, et je m’amuse à croiser mes jambes en faisant crisser mes bas, ce qui l’amène à régler son rétroviseur un peu plus bas que nécessaire… Je regarde par la portière, détachée, mais j’écarte légèrement les cuisses, ce qui a pour effet de remonter légèrement ma légère jupe en voile noir. Je sais qu’il devine maintenant l’intérieur de mes cuisses, peut–être même le haut de mes bas, voire la jarretelle qui les tend : J’en suis toute excitée ! Près de Denfert-Rochereau je le fais arrêter en double file devant un fleuriste, et je descend acheter un joli pot de bégonias rouges.
Je remonte dans le taxi en soulevant légèrement ma jupe ; çà y est, cette fois, il a remarqué mes jarretelles et le haut (largement festonné d’une dentelle noire !) de mes bas nylons noirs. Il rougit le brave homme et me demande d’une voix étranglée « Où allons-nous Madame ? » « Mais, comme je vous l’ai déjà dit, rue Froidevaux. Je vous indiquerai où m’arrêter » La voiture repart et descend la rue Froidevaux, en longeant le long mur du cimetière Montparnasse. Au carrefour avec la rue Gassendi, avisant une place libre le long du trottoir je lui demande de s’arrêter en lui proposant de m’accompagner dans le cimetière pour me porter ma plante. Il se retourne vers moi, et me souffle « la course sera entièrement gratuite, Madame, si vous me laissez vous suivre et vous photographier » Je n’en reviens pas, réfléchit un instant et trouve finalement l’idée plutôt bonne, cela me fera des « souvenirs » émoustillants…
Je lui propose donc de porter la plante, en le laissant faire des tas de photos de moi à l’intérieur du cimetière ; et nous entrons, moi devant, et lui me suivant avec son appareil numérique.

veuve-au-cimetiere.jpg
Premier arrêt devant la tombe de Maurice Leblanc, le père d’Arsène Lupin, que j’honore à ma manière en posant mon pied sur sa tombe, et relevant ma jupe, pour retendre mes bas aux jarretelles. Le taxi mitraille cette scène osée, et je change de pied pour lui offrir – pas de jaloux ! – aussi le joli profil de mon autre cuisse…
Puis je l’emmène vers un petit rond point, où se trouve la tombe que je souhaite fleurir. Je lui dis de se mettre un peu plus à couvert, de façon que l’on ne le soupçonne pas d’être avec moi et de ne pas perdre une miette de ce qui se passera.
J’arrive sur la petite place, où comme chaque fin d’après-midi, se trouvent quelques messieurs bavardant et musardant à l’ombre fraîche des grands marronniers.
Ils sont deux, qui bavardaient ensemble, mais qui s’arrêtent soudain et me regardent avancer sur mes talons aiguille, la démarche légèrement chaloupée et prudente, à cause des gros pavés irréguliers de l’allée. J’accrois légèrement le balancement de ma croupe moulée dans ma jolie jupe soyeuse, et passe lentement devant eux en les saluant d’un léger signe de tête, et en les détaillant ; la soixantaine, svelte et sportive, deux messieurs bien de leur personne, le premier plus grand, avec des cheveux gris acier taillés courts porte un polo ; l’autre est en costume de lin, taille moyenne, un petit air coquin sous un fine moustache ; il me sourit…
Puis je me glisse entre deux tombes, rejoignant derrière la ligne des petites chapelles qui bordent la placette, le second cercle de sépultures. S’ils veulent me voir, ils vont devoir se lever et me suivre derrière cet obstacle naturel formé par la ligne des chapelles particulières… Je m’avance jusqu’à la tombe choisie, y pose mon gardénia, et jette discrètement un coup d’œil derrière moi : ils sont là, embusqués derrière une grosse chapelle gothique. Je ne vois pas mon chauffeur-photographe mais il a du s’embusquer non loin de là pour ne pas perdre de vue mon arrivée.
J’ai choisi la tombe d’un homme décédé il y a peu, et sur laquelle une femme (une amante ?) a laissé une petite plaque de marbre sur laquelle est gravée cette simple phrase : « A toi pour toujours, qui a illuminé mes nuits tout autant que mes jours ».

veuve-1.png
Je pose ma plante à côté de la plaque et me penche pour dégager les feuilles de marronnier tombées sur le marbre noir. Je sais que d’où ils sont, mes deux voyeurs vont alors avoir une vue imprenable sur mes dessous… Je retrousse légèrement ma jupe, et fait semblant de m’activer penchée sur la sépulture.
J’entends soudain des pas sur le gravier, je me redresse et me retourne, ce sont mes deux suiveurs qui s’avancent vers moi. Je les regarde sous ma voilette, et lentement j’entrouvre ma veste de fourrure, puis prenant dans mes mains gantées le bord inférieur de ma jupe, je la remonte lentement, découvrant le haut de mes bas, leur liseré de dentelle, puis les jarretelles qui les relient à mon corset… Ils se sont approchés à me toucher, et en silence, le plus effronté avance sa main vers moi. Son contact sur le haut de ma cuisse dénudée me procure un violent émoi. Je recule et m’assoit sur le bord de la tombe. Il vient s’asseoir à mes côtés sans ôter sa main de ma cuisse. Cette caresse brûlante me trouble et m’enivre. Je regarde l’autre homme, qui s’est doucement rapproché et qui s’agenouille soudain devant moi posant ses deux mains sur mes bas. Je commence à feuler doucement tandis que la main du premier s’est enfoncée plus haut, caressant de sa paume mon string de voile noir, sous lequel mon sexe s’est mis à gonfler de désir et d’attente. L’homme a l’air très satisfait de ce qu’il découvre sous ses doigts, et glissant sous le voile, prend ma hampe à pleine main en commençant une douce et délicieuse caresse.
Pendant que l’autre retrousse maintenant totalement ma jupe, et écartant le bord de mon string laisse mon sexe se dresser vers son visage. Il se penche et le prend alors entre ses lèvres. Ce contact m’arrache un petit cri de plaisir, que le premier fait taire en m’enlaçant et en m’embrassant à pleine bouche. Sa main a quitté mon sexe et dégrafe un à un les boutons de mon chemisier ; il glisse sa main vers ma poitrine et saisit entre ses doigts l’un de mes tétons qui darde d’excitation dans mon bustier. Il le pince alors et le fait rouler entre ses doigts, portant mon excitation à un seuil qui me fait fermer les yeux et m’abandonner dans ses bras. Tout en continuant de m’embrasser, il me redresse le bassin, et tandis que son copain continue de me sucer délicieusement, il glisse son autre main sous mes fesses, écarte mon string et entre son index dans mon fondement… Il le fait tourner doucement puis l’enfonce plus loin en m’arrachant un nouveau petit cri de plaisir. « Tu aimes ? » me murmure t’il à l’oreille ; « Oh oui, c’est divin…Continue mon chéri ! » Et il profite d’un retrait de son index, pour introduire cette fois deux doigts dans mon intimité. Je suis toute excitée, ses doigts et la caresse sur ma hampe de son ami me troublent totalement. Je me laisse lutiner sur cette tombe comme une veuve salope et excitée ! Je sens la sève monter en moi, et de longs tressaillements agitent soudain mon sexe. L’homme qui me suce les a lui aussi sentis ; il redresse la tête, me murmure « Laissez vous aller, lâchez tout dans ma bouche, je vais vous boire avec délice » puis reprenant ma bite entre ses lèvres, il m’amène à l’explosion, qui m’arrache à la fois un long cri étouffé de jouissance et de subites saccades de liqueur qu’il aspire goulûment sans retirer ses lèvres. Je jouis longuement en lui, puis il me lèche, et se redresse en me souriant, et en avalant ma jouissance…
Les doigts de l’autre ayant maintenant complètement ouvert mon petit temple d’amour, je me retourne face contre le marbre noir et m’allonge sur la tombe en leur livrant mes fesses. Je ne les vois plus, mais je sens soudain une queue remplacer les doigts qui me préparaient. Je vais jouir à nouveau je le sens, tandis que le bel engin, pénètre au fond de mon fondement. Puis un lent mouvement de va et vient s’amorce qui m’impose un enculage fougueux et régulier… J’halète maintenant au rythme de ses pénétrations ; il a posé ses mains sur mes hanches et accélère soudain son rythme m’arrachant une suite de petits cris de plaisir. Le grand homme qui m’avait sucé apparaît alors devant moi, il a sorti un long sexe noueux, dressant vers le ciel son gland dégagé, qu’il présente devant mon visage. Je le happe avec voracité, salivant tandis que son compagnon accompagne maintenant son enculage de lourdes claques administrées sur mes fesses découvertes… Et je le sens se raidir au moment même où le sexe que j’ai en bouche explose, et m’envoie de longues rasades de foutre tiède dans mon palais. C’est à ce moment que l’autre se raidit soudain, et dans un long feulement jouit soudé en moi. Je le sens éjaculer et lorsqu’il se retire, je sens des coulées de sperme maculer mes fesses et mes cuisses.
Je me redresse alors, épanouie, comblée et ayant un peu de mal à retrouver ma respiration. Il sont debout devant moi, un peu gênés mais satisfaits. Ils m’aident à me relever, et je les embrasse chacun en les remerciant de ce délicieux moment. Puis ils repartent silencieusement.

Sylvia-veuve-lubrique.jpg
Je guette mon chauffeur mais ne le voit toujours pas. J’en profite pour remettre de l’ordre dans ma tenue, et c’est alors qu’il apparaît, rouge et intimidé.
« J’ai pris énormément de clichés me dit-il, mais je ne soupçonnais pas que vous étiez un …que vous aviez…euh, un sexe de garçon » Je lui souris en lui demandant si cela le gêne. « Non, pas vraiment… » Je le prends alors par le bras et l’entraîne vers la sortie, car résonne la cloche qui annonce la prochaine fermeture du cimetière.
« Je vais vous récompenser » lui dis-je à l’oreille, tandis que nous avançons bras dessus bras dessous vers la porte extérieure. Mais juste avant de la franchir, je l’entraîne soudain vivement vers la cabine de toilettes qui se trouve à côté de la cabane (inoccupée à ce moment) du gardien. Tirant la porte métallique, je le pousse à s’asseoir sur le siège, et m’accroupissant devant lui, je dégage de son pantalon, une délicieuse petite queue déjà dure et dressée, que je prends illico dans ma bouche, pour lui procurer la plus exquise des fellations.
Il ne tarde pas à jouir à longues saccades précipitées entre mes lèvres, que j’avalai avec volupté en nettoyant son gland de ma langue.
Je redresse, l’aidant à se relever, et en sortant de la cabine (dont j’avais laissée la porte ouverte) je tombe nez à nez avec le gardien, interdit et stupéfait qui me dévisage avec effarement.
Je lui dis en passant devant lui d’un air mutin « Si vous saviez comme c’est difficile de supporter un veuvage quand on est encore jeune et désirable… » et nous le plantons là pour rejoindre le taxi.
J’ai gardé les photos (fabuleuses) de cette aventure mémorable …amis aussi le numéro de téléphone de mon joli et timide chauffeur de taxi ! On ne sait jamais…

 

Par sylviafoulard
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