Non catégorisé

Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:45

Vers 19 heures j’allai le chercher, et l’amenai en cuisine pour qu’il se restaure pendant que Victor et moi sortions au restaurant. Je l’attachai au radiateur de la cuisine avec une chaînette de deux mètres de long et nous sortîmes dîner dans un petit restaurant de l’avenue de Suffren. Nous revînmes vers 23h et je le détachai du radiateur en lui expliquant qu’il allait m’accompagner pour une petite sortie nocturne en voiture. Je l’emmenai vers sa chambre et choisit moi-même la tenue qu’il allait porter pour m’accompagner. Je dénouai le petit tablier blanc et désentravai ses chevilles de la chaînette de maintien qui l’obligeait à de très courtes enjambées. Je pris un grand foulard de soie imprimé panthère et le nouai autour de l’ovale de son visage maquillé, ramenant les deux pans sur sa nuque, je refis un nœud autour de son cou. Je décidai de ne pas lui donner de culotte à porter, préférant laisser les chaînes de maintien et la plaque de cuir noir qui maintenait l’olisbos dans son fondement, totalement apparentes. Il était quasiment nu, le corset ne cachant que son ventre, ses petits seins d’adolescent, lestés des anneaux que je venais d’y poser, dépassant au-dessus de la fine dentelle noire du balconnet. « Tu viendras comme cela, je te prêterai l’une de mes vestes de fourrure pour cacher ta nudité » Je l’emmenai à ma suite vers ma chambre où je trouvais un gros collier de cuir noir clouté que je ceignis autour de son cou, juste sous le nœud du foulard panthère. Je fixais au petit anneau une chaînette prolongée par une poignée de cuir, que je passais à mon poignet. J’ouvris mon dressing et lui donnai une courte veste ¾ en fourrure imitation panthère qui lui arrivai à ras des fesses.

Seules ses jambes gainées de résille noire posées sur ses hauts talons dépassaient de la fourrure. « En avant ! » et d’une vive secousse je l’obligeai à me suivre. Dans l’entrée j’enfilai mon vison long et nouai un carré Hermès avant de rectifier mon maquillage et de me parfumer légèrement. Puis je l’entraînai vers l’ascenseur, où nous rejoignîmes ma voiture au parking du sous-sol. Je l’installai à mes cotés et pris le volant, pour rejoindre l’autoroute de l’Ouest. Je roulai en silence jusqu’à ce que nous atteignions l’aire de service de Mantes-la-Jolie, où je garai la Mercedes derrière le petit bâtiment des 
toilettes, là où une douzaine de voitures particulières et trois camions, tous feux éteints, étaient déjà stationnés dans l’obscurité. Je coupai le moteur, éteignis mes phares et attendis. Moins de cinq minutes plus tard, la portière d’une voiture garée quelques mètres devant nous s’ouvrit et un homme remonta en flânant le petit trottoir de bitume qui longeait l’accès à l’édicule. Il ralentit devant notre voiture et détailla longuement notre présence. Il revint bientôt surs ses pas, et écartant la fourrure de ma soubrette, j’allumai soudain le plafonnier coté passager, afin qu’il la découvre dans son corset. L’homme s’arrêta, regarda longuement par le pare-brise avant les cuisses et les dessous ainsi révélés. Puis il fit d’un signe interrogatif le geste de baisser notre vitre, et j’intimais à Jennifer l’ordre de baisser sa glace de son coté. L’homme s’approcha, se débraguetta, et tendit vers l’intérieur de la voiture un sexe long que Jennifer sans même attendre mes instructions, prit en bouche et commença à sucer avec application. L’homme se mit rapidement à feuler, et en murmurant «Oh oui, salope… » éjacula rapidement entre ses lèvres. Jennifer avala soigneusement la laitance, suça délicatement le gland de l’homme lorsqu’il se retira, et remonta sa glace lorsque celui-ci rejoignit son véhicule. Une fois la voiture partie, j’ouvris ma portière, sortis sur le parking et d’une secousse entraînai Jennifer à ma suite. Je la tenais en laisse et nous nous avançâmes vers les toilettes, faiblement éclairées par une ampoule jaune. Le claquement de nos talons aiguille dut alerter les occupants, puisque deux hommes sortirent d’une cabine à notre entrée. L’un était un routier en salopette de travail bleue sur un tee-shirt blanc, et il avait encore la braguette entrouverte… L’autre, était un monsieur assez efféminé d’environ 45 ans, en veste de tweed et foulard noué dans le col de sa chemise, qui s’essuya les lèvres en sortant des toilettes… Je tirai Jennifer derrière moi et écartant les pans de sa fourrure, la poussai vers le routier qui sourit en nous regardant. « Humm, c’est de la chair fraîche tout ça ; et joliment enveloppée. Vous voulez vous joindre à nous ou vous préférez regarder ? » « Je vous regarde et c’est tout » lui répondis-je tandis qu’il posait ses mains sur les fesses de Jennifer, l’attirant vers lui pour l’embrasser à pleine bouche. Il découvrit soudain la plaque de cuir qui maintenait le gode en elle, et empêchait toute caresse un peu hardie, et m’interrogea du regard. J’attirai Jennifer vers moi, et prenant la clé accrochée à mon collier, désemprisonnai le petit cadenas qui maintenait l’olisbos de cuir noir enfoncé. Celui-ci glissa doucement hors de son fondement, et toujours accroché à la chaînette, se mit à battre contre sa cuisse, alors que l’homme la retournai, l’appuyai sur l’un des sordides lavabos qui ornaient ces WC publics, et sans hésiter, lui planta sa queue, dure et dressée au creux des fesses. Et c’est là que Jennifer m’étonna. Roulant des hanches, poussant des petits gémissements rauques, elle s’empala sur le sexe tendu et se mit à agiter en cadence son bassin au fur et à mesure des coups de butoir que lui administrait le routier. Elle se mit même à pousser des petits cris de plaisir, lorsque l’homme raidit ses mains sur ses hanches et en ahannant fortement propulsa sa semence à l’intérieur de son corps arc-bouté. Jennifer resta prostrée, tandis que l’homme se retirait. En se réajustant il nous demanda si nous venions souvent ici. Je répondis par l’affirmative et il nous quitta en nous faisant part de son envie de nous rencontrer de nouveau en ces lieux. Je ramenai Jennifer vers la Mercedes, mais avant de monter, constatant que cet enculage l’avait fortement excitée, je l’amenai vers un camion dont la cabine était éclairée. Un homme d’une cinquantaine d’années, y lisait un livre à la lumière de son plafonnier. Je poussai Jennifer face au camion et l’homme alluma ses phares, nous éblouissant soudain toutes deux violemment. Je pris dans ma main droite son sexe durci, et en maintenant sa fourrure écartée pour que le chauffeur n’en perde pas une miette, la branlait jusqu’à ce que son sexe projette de longues giclées de sperme tiède vers le ciel… 

Quelques heures seulement avaient suffi : Ma soubrette était déjà presque prête, et j’allais pouvoir la mettre aux enchères auprès de mes nombreuses relations, qui cherchaient parfois très longtemps, ce genre de « perle rare » assez rare sur le « marché » des femmes …de chambre !

Mais auparavant, Victor et moi allions la « tester » et lui faire passer son « examen » de soubrette

Par sylviafoulard
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Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:34

Fabrice « Jennifer » se présenta le lendemain matin à 10 heures précises à notre appartement. Victor m’avait aidé à ré-endosser ma tenue de Maitresse et il avait insisté pour que je garde bien mon loup et ma voilette en sa présence ; il trouvait que cet anonymat ne pouvait que renforcer mon autorité auprès de lui. C’est donc moi qui le reçut. Je l’emmenai dans la chambre – assez austère – que nous lui avions préparée au fond du vaste appartement, et j’exigeai qu’il se dénude entièrement puis qu’il range ses affaires masculines dans le fond du placard. Je voulais vérifier s’il était bien passé chez mon amie Charlène, l’esthéticienne qui s’occupait de mon corps et de celui de la plupart de mes amies. Il se déshabilla en silence, et je constatai qu’il portait les mêmes sous-vêtements féminins. Je l’inspectai minutieusement, lui faisant écarter les jambes, soulever son (petit) sexe et se pencher en avant pour que je vérifie son entre-jambes. C’était parfait, Charlène avait totalement enlevé le moindre duvet qui aurait pu subsister sur sa peau d’adolescent. Toujours sans un mot, j’ouvris la penderie et y retirai les effets que nous avions Victor et moi, choisis pour lui ; puis je le poussai dans la petite salle de bains attenante où je lui ordonnais de se placer dans la baignoire. Les mains le long du corps, il tremblait un peu lorsque je préparais le nécessaire à lavement que je lui destinais. Il n’eut pas un mot pendant celui-ci, acceptant très bien la canule et l’eau tiède glycérinée que j’introduisis dans son anus pour le préparer. Après l’avoir séché, je le fis revenir dans la chambre et se coucher à plat ventre sur le lit. Je ceignis sa taille d’une fine chaînette d’acier que je serrai au maximum et à laquelle je rivetai un anneau destiné à recevoir une autre attache métallique. Puis je pris une noix de lubrifiant et commençai doucement à préparer son petit trou par de lents mouvements de mon index. Il agita un peu son bassin, signe qu’il appréciait cette préparation… Je sortis alors du tiroir un long olisbos de caoutchouc noir dont je fixais la plaque à la seconde chaînette. Puis écartant ses deux fesses, je fis pénétrer doucement ce bel engin d’une douzaine de centimètres dans son fondement.

« C’est le premier lui dis-je, une fois bien préparé, ton anus sera prêt à recevoir la seconde taille, et dans deux semaines, le dernier, le n°3, qui sera celui que tu devras garder toujours en toi. »

« -Oui Maîtresse » murmura t’il.

Une fois entièrement enfoncé dans son anus, je serrais la chaînette pour empêcher toute rétractation, et la tendis au maximum, pour qu’elle vienne rejoindre sur son ventre l’autre qui était ceinte autour de sa taille. Je les liais par un petit cadenas chromé dont je montrais à Jennifer la petite clé : «Chaque soir, après ton service, et avant ta toilette nocturne, tu viendras te faire désentraver. Et chaque matin tu te replaceras cet olisbos dans ton fondement en refermant le petit cadenas, dont je serai la seule à posséder la clé. Maintenant, lèves-toi, que je t’habille. » Il se redressa face à moi, yeux baissés et bras collés le long du corps. Je sortis du sac les emplettes effectuées avec Victor place Clichy. Je lui montrai l‘entrave de nuit que nous lui avions acheté pour éviter tout onanisme non désiré : une gaine de cuir noir totalement fermée, munie d’un laçage de serrage, et que l’on pouvait fixer par un cadenas à une chaînette de maintien. « Tu porteras ceci durant la nuit ; il est totalement exclu que tu te tripotes sans que j’en ai décidé. » Je posai l’engin sur la table de nuit et lui détaillai les toilettes achetées :

« Tant que ton éducation n’aura pas produit les effets que j’estimerai nécessaires à ton exhibition auprès de nos relations, tu ne porteras pas de tenue complète de soubrette. Cette robe et cette coiffe sont une récompense dont il te faudra te montrer digne. En attendant tu ne porteras que ces dessous et ce tablier. » Je lui passai donc le corset de skaï noir qui laissait ses seins et ses fesses à l’air et qui portait deux paires de trois  jarretelles. Nous l’avions choisi en taille 38, et cela semblait bien lui convenir ; je m’arc-boutais pourtant fortement sur le laçage, voulant absolument travailler très vite son tour de taille. Il n’eut pas un mot durant le serrage, et je vis sous mes yeux, sa taille s’affiner encore avant que je ne bloque le laçage. Je lui enfilai une paire de bas résille à petit filet, et l’aidai à chausser les escarpins que nous lui avions préparé : vernis noir, avec des talons aiguille de 15 centimètres, ils se refermaient sur la cheville par une sangle de cuir noir munie à la fois d’un petit cadenas et d’un anneau. Une fois hissé sur ces plate-formes il était presque aussi grand que moi ; hésitant et vaguement déséquilibré il semblait avoir du mal à trouver son équilibre sur la pointe de ces escarpins vertigineux. 

Il réalisa soudain à quoi servaient les petits anneaux situés sur la face interne de la bride de chaque chaussure, lorsque j’y fixai une courte chaînette de 30 cm munie d’un grelot. « Cela t’obligera à faire de petits pas, et grâce au grelot je t’entendrai arriver. Maintenant ton premier exercice, tout en t’habituant au gode que tu portes en toi, va consister à apprendre à marcher avec des talons aiguille. Chaque jour, tu  t’entraîneras consciencieusement ; tu feras des marches avant et arrière, tu te baisseras, tu apprendras à t’agenouiller puis à te relever sans aide, bref je veux qu’à la fin de cette première semaine tu aies adopté une démarche qui me fasse honneur, faite de grâce, de féminité et d’habilité. Une bonne soubrette doit non seulement être rapide pour satisfaire immédiatement le moindre appel, elle doit surtout être adroite, ne rien casser ni renverser, faute de s’exposer à de très dures punitions ! Je vais finir de te préparer, puis tu t’entraînera à marcher sur les tapis de ta chambre jusqu’à ce que je juge tes progrès suffisants. » Je lui nouai autour du corset un petit tablier de nylon blanc, puis l’asseyant face à moi, j’entrepris de maquiller le petit minet qui me faisait face en femme de chambre. Il avait la peau douce et les traits fins, et le maquillage mit aussitôt en valeur toute la féminité de son visage. Je lui passai une courte perruque brune. Je me reculai pour juger du résultat, et en fut extrêmement satisfaite : j’avais décidément fait un excellent choix ; sa féminité éclatait littéralement, on ne percevait déjà plus rien du jeune garçon timide arrivé il y a moins d’une heure…
Je l’enfermais dans sa chambre en lui recommandant de bien s’exercer à la marche. 

Je laissais « Jennifer » deux heures entières, seule dans sa chambre, puis je revins surveiller discrètement ses « travaux » par l’ancien passe-plat que Victor avait remplacé par une glace sans tain, et qui me permit de la regarder sans être vue. Elle se déhanchait beaucoup moins que lors de ses premiers essais, mais surtout – et j’en fus très satisfaite – elle s’appliquait à travailler sa démarche ; alors qu’elle aurait très bien pu dès ma sortie de la chambre, s’affaler dans le lit ou dans le fauteuil, et feuilleter un magazine… Non, elle « travaillait » et j’en fus assez fière sur le moment. Elle avait de très jolies jambes, fines et fuselées, que les bas résille mettaient en valeur au moins autant que les talons aiguille, et regarder ses déhanchements qui mettaient en valeur sa petite croupe et ses jambes gainées, commencèrent à m’exciter… Je quittai mon poste d’observation, et me dirigeai vers la chambre. Elle me fit face, les yeux baissés et les bras le long du corps, lorsque je m’approchai d’elle. « A genoux ! » lui intimai-je d’une voix basse, et elle s’exécuta immédiatement. Je dégageai mon sexe de la fine culotte de soie qui le cachait à ses yeux et lui présentai mon gland devant ses yeux ; « Suces ! » et elle prit aussitôt mon sexe dans ses lèvres, aspirant doucement mon prépuce, et faisant glisser ses lèvres doucement autour de ma hampe. L’excitation me gagna très rapidement, je fermai un instant les yeux et m’abandonnai à cette caresse chaude, douce et sublimement féminine. 
Cette petite salope suçait vraiment comme uneMaîtresse avec fouet déesse ! Je crus même que j’allais jouir très – trop ? – vite, et me retirant vivement de sa bouche, je saisis sur la table, deux pinces métalliques que je plaçai sur ses tétons, que j’avais préalablement étirés de mes ongles. Elle ne cria pas, à peine se crispa t’elle un bref instant lorsque la morsure de l’acier se referma sur son téton rosi. Je la relevai et choisit deux poids d’environ deux cent grammes auxquels je fixais une courte chaînette et que j’accrochai aussitôt aux deux pinces. Ses mamelons étaient maintenant lourdement étirés vers le bas, et je surveillais du coin de l’œil ses réactions. Aucun cri, aucune plainte, alors que la morsure devait se faire plus violente sur cette tendre chair. Bien étirés, ses tétons étaient maintenant légèrement violacés, et je savais que la douleur devait commencer à irradier sa poitrine.

Je décidai soudain brusquement de tirer des larmes de ses yeux baissés, et de voir 
jusqu’où elle pourrait supporter la douleur… Attrapant dans la boite aux bijoux le nécessaire à percer les oreilles, je posai soudain la petite plaque de liège contre son téton gauche, et trempai l’aiguille dans le petit flacon d’alcool, avant de lui embrocher soudain le téton en faisant vivement sauter la pince qui l’enserrait. Il ne cria pas, mais une crispation violente agita son visage, et une légère plainte sortit de se lèvres, lorsque je remplaçai l’aiguille par un anneau pinceur muni d’une 
petite tige qui traversa son téton là où l’aiguille avait préparé le chemin. Je vis deux larmes couler de ses paupières closes, et je serrai l’anneau pour le river sur son mamelon. Je répétai l’opération sur l’autre sein, et je le sentis tressaillir lors de cette seconde pose.

Je relevai son menton de ma main gantée, l’obligeant à lever son regard vers moi « Remercie-moi pour ce présent ». Il entrouvrit ses lèvres peintes et murmura « Merci Maîtresse » en me regardant d’un regard amoureux, embrouillé des larmes qui coulaient de se beaux yeux. « C’est bien ; tu n’as pas crié, ni pleuré. Tu peux maintenant continuer de sucer ta Maîtresse pour les deux beaux bijoux qu’elle vient de t’offrir ». Sans s’aider de ses mains, il s’agenouilla de nouveau face à moi et reprit de ses lèvres mon sexe qui n’avait pas trop dégonflé… Ses caresses m’amenèrent rapidement à l’extase, et je jouis longuement dans son palais, en maintenant sa tête collé à mon bas-ventre. « Avales tout et reprends tes exercices » lui dis-je en me retirant doucement de ses lèvres tièdes. Je quittai la pièce en refermant à clé la porte de sa chambre. J’allai au salon raconter à Victor ce petit intermède et il gloussa en me disant que j’avais vraiment déniché la perle rare. « J’ai envie de l’essayer très vite lui avouai-je, pas encore auprès de nos amis, mais il me semble prêt pour une petite soirée nocturne… » « Comme tu voudras ma chérie » se contenta de dire mon amant, et j’allai aussitôt me changer, et quitter ma tenue de dresseuse, pour des vêtements plus bourgeois. Il me fallait préparer l’étape nocturne de ce premier jour d’initiation.

Par sylviafoulard
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Dimanche 10 mars 7 10 /03 /Mars 18:30


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J’avais rencontré un jour où un ami m’avait complaisamment exhibée dans un cinéma porno, un beau jeune homme timide, imberbe et fasciné par le travestissement qui m’avait avoué – en rougissant – qu’il n’avait jamais osé encore se travestir en femme ailleurs que chez lui, dans le secret de sa chambre. J’avais noté son nom, son adresse et le numéro de téléphone de sa logeuse, et avant d’en parler à mon ami de l’époque, je lui téléphonais pour voir s’il était toujours disposé à se mettre à ma disposition. Mon appel sembla le contenter, puisqu’il m’avoua timidement l’avoir attendu avec impatience depuis plusieurs jours. Je lui dis que j’allais en parler à mon compagnon, et que s’il était d’accord nous pourrions le recevoir ce soir chez nous. Il accepta et je raccrochais. Mon amant fut assez emballé par ma proposition. Il devait avoir envie de revivre avec un nouveau Pygmalion, le délice d’initiation qu’il m’avait dispensé lors de mon arrivée chez lui. Il me donna son accord pour que nous convoquions le minet le soir même, et nous nous mimes d’accord sur le scénario que nous allions lui proposer. Victor tenait à ce que je me charge du coté autoritaire. Il voulait me voir prendre en charge la formation et la  gestation du jeune garçon pour en faire une soubrette obéissante, et totalement soumise au moindre de nos désirs. Il voulait rester un peu « en arrière », détaché face à la formation d’une domestique dont il souhaitait seulement user une fois formée. Le scénario nous excita déjà en l’évoquant tous les deux, et nous nous rendîmes l’après-midi même, dans une 
boutique de lingerie coquine située près de la place Clichy, pour y choisir des tenues de soubrette anglaise. Nous achetâmes quelques robes, tabliers, coiffes, auxquelles nous fîmes rajouter des dessous ainsi que des outils de maintien et d’immobilisation, et c’est très émoustillés par ces préparatifs et ces achats que nous quittâmes la boutique. Sur le chemin du retour, tandis que Victor conduisait, je me laissais glisser au fond de mon fauteuil, et tandis que d’une main je dégageai son sexe de son pantalon, je me penchai totalement vers son entre-jambes pour prendre entre mes lèvres, son vit déjà gonflé de désir. Il ronronnait tandis que ma langue et mes lèvres s’activaient sur sa hampe. J’écartai un bref moment mes lèvres de son gland humidifié, pour lui demander si cela lui plaisait, et il me répondit que non seulement il adorait ma caresse, mais que les passagers de l’autobus qui se trouvait à nos cotés semblaient également apprécier le spectacle… Je levai les yeux et découvris le regard exorbité d’un monsieur digne et assez austère qui semblait hypnotisé par le spectacle ainsi offert. Je lui souris en passant de façon très coquine la pointe de ma langue 
entre mes lèvres, et lui faisant un clin d’œil, je replongeai vers l'entrejambes de Victor qui accueillit mon retour avec un intense gémissement de plaisir…

Une fois rentrés, nous nous préparâmes à accueillir notre nouvel ami. Victor choisit lui-même la tenue qu’il voulait me voir porter : un corset anglais de satin noir rehaussé de fines dentelles noires et rouges, des bas à couture de nylon noir, un simple string de dentelle rouge et noire assorti au corset, une paire d’escarpins en cuir verni noir avec d’interminables talons aiguille effilés de 15 cm, puis un large collier clouté dont il ceignit mon cou. Victor me coiffa d’un strict chignon et voulut que je mette un loup de satin, agrémenté d’une voilette de dentelle noire. Puis il me choisit de longs gants de satin noirs qui remontaient au-delà du coude. S’écartant de moi, il jugeait de l’image dégagée par mon allure, et sembla satisfait : « Tu inspires le respect et la peur ; il va sans aucun doute être très impressionné par ton allure ce soir… » Il alla me chercher une cravache de cuir tressé dont je passai la dragonne autour de mon poignet, et frappant de petits coups nerveux sur ma cuisse, je déclarai « j’ai hâte de frotter mon cuir sur la peau tendre de son corps ! » Victor rit, et nous attendîmes, assez excités l’arrivée de notre nouveau « jouet »…

Ce fut Victor qui se chargea d’accueillir le jeune homme. Il avait souhaité que j’assiste à l’entretien cachée dans le large living qui séparait le couloir du salon de ma chambre. J’y avais amené un fauteuil, et confortablement installée dans l’obscurité de cette pièce, je pouvais voir et entendre sans être vue. Le garçon semblait intimidé ; le fait d’avoir été reçu par Victor, qui était allé chercher des boissons en cuisine, semblait le perturber ; mon absence aussi devait l’intriguer. Il était habillé de façon assez soignée, voire ostentatoire : blaser bleu marine et pantalon de flanelle grise, chemise Oxford blanche et cravate club. D’où j’étais il me semblait qu’il ne portait pas le léger fond de teint que j’avais découvert sur ses joue au cinéma, mais je sentais d’ici, son eau de toilette, délicate, presque féminine…

Lorsque Victor revint avec deux coupes de champagne il alla droit au but : « Ma compagne, Sylvia m’a raconté en détail votre rencontre dans ce cinéma. Elle semble estimer que vous feriez une excellente dame de compagnie-soubrette à ses cotés. Elle cherche cette soubrette depuis longtemps, et il semble qu’elle ait jeté son dévolu sur vous. Pour que j’accepte de vous engager à ses cotés il me faut mieux vous connaître et tout savoir de vous. Si ce projet vous agrée et si les termes de notre accord vous conviennent, nous signerons un contrat d’allégeance en bonne et due forme, qui servira de base contractuelle entre vous et Sylvia. Qu’en pensez-vous ? Acceptez-vous de vous présenter en détails et de voir si nous pouvons préparer ce contrat ? » Le jeune homme me tournait le dos et j’eus du mal à entendre le faible « Oui » qu’il murmura en réponse, mais je le vis acquiescer de la tête, et Victor le pressa de se présenter. Il s’appelait Fabrice, avait dix-neuf ans, et vivait seul à Paris, chez son oncle qui possédait un immeuble avenue de Longchamp dans le 16° où il vivait dans son grand appartement. Ses parents eux, vivaient à Bordeaux, son père ancien notaire à Neuilly-sur-Seine, dirigeant l’une des principales agences immobilières de la cité girondine. Fabrice était à Paris depuis deux ans, ne travaillait que quelques heures par semaine pour le compte de la société de courtage en Bourse de son oncle, qui dirigeait l’un des cabinets de placements privés les plus huppés de la place parisienne. Il était l’amant de son oncle depuis plusieurs années, et celui-ci avait grandement favorisé son arrivée à Paris. Il avoua à Victor – en rougissant et en baissant les yeux – qu’il s’était déjà plusieurs fois travesti en femme pour faire plaisir à son oncle, mais qu’il n’avait jamais osé sortir en pleine rue ainsi habillée, et qu’il se contentait de porter certains dessous sous ses affaires de garçon. Victor lui demanda alors s’il aimerait vivre totalement en femme pour me servir, et il s’empressa de répondre par l’affirmative en ajoutant : « Votre dame est une très jolie femme, l’une des plus belles qu’il m’ait été donné de rencontrer depuis que je vis à Paris. Je ne sais pas si elle pourra faire de moi une vraie femme, mais je serai très obéissante pour y parvenir. Je vous jure que je ferai tout pour me montrer digne de votre confiance. Vous ne regretterez pas de m’engager à ses cotés. » Victor se tut un moment en réponse à cette fervente déclaration, puis il dit sèchement : « Déshabilles-toi complètement. Je vais téléphoner pour voir pourquoi Sylvia est en retard » puis il quitta la pièce, laissant l’adolescent seul dans le salon. Au bout de quelques secondes, il se leva, et entreprit doucement de se déshabiller en silence. Lorsqu’il eut enlevé sa chemise je 
constatai qu’il portait un léger caraco de nylon rose. Il fit glisser à terre son pantalon de flanelle, me révélant des jambes gainées de nylon couleur chair, le bas étant fixés à une petite ceinture-jarretière rose. Le tout était complété d’une délicieuse culotte ouverte en nylon rose, décorée d’une fine dentelle. Il garda ses dessous, et s’immobilisa au milieu du salon en croisant ses bras sur sa petite poitrine. Je me levais silencieusement et entreprit de pénétrer sans faire de bruit dans la pièce. Il me tournait le dos, et je frappais légèrement son épaule d’un coup de la fine cravache que je portais au poignet. Il se retourna brusquement, parut stupéfait de me découvrir là, dans cette tenue face à lui, il eut un hoquet (de frayeur ? de surprise ?) et se laissa tomber à genoux devant moi, les yeux baissés, comme hypnotisé par ma brusque apparition. 

« Fabrice, pour moi dorénavant tu ne t’appelleras plus que Jennifer. J’ai entendu tes déclarations, et je suis prête à m’occuper de ton éducation et de ta féminisation. Mais je serai impitoyable en cas de réticence, de rébellion ou d’échec. Je veux une obéissance totale au moindre de mes désirs. Dorénavant c’est moi qui commande et dirige tout. Tu n’as plus droit à la parole sauf si je t’y autorise. Tu signeras le contrat que je t’ai préparé, et tu viendras t’installer ici à demeure avec nous. Tu auras 48h pour régler tes affaires familiales et professionnelles, et je te veux ici dans deux jours, après que tu seras passé te faire épiler à cette adresse où j’ai pris rendez-vous pour toi pour mercredi matin à 10 heures. Je n’attends plus qu’un accord de ta part… » Il leva les yeux vers moi et murmura, avec un mélange de soumission et d’admiration dans la voix « Oui Maîtresse, je le veux. » Victor entra alors dans la pièce avec le contrat en trois exemplaires que nous avions préparé. Il demanda à Jennifer de s’asseoir à la table, et de lire lui-même le document. Il s’exécuta :

« Article 1 : Je dois totale obéissance et soumission à Maîtresse Sylvia ainsi qu’à tout compagnon ou compagne qu’elle m’indiquera. Je me conformerai à ses souhaits et accepte dorénavant de vivre à ses cotés dans le corps féminin qu’elle me choisira.

Article 2 : J’accepte qu’elle fasse de mon corps ce qui lui semblera bon. J’accepte d’avance toute féminisation et contrainte s’y rapportant. Je m’engage à entretenir mon corps en état de parfaite propreté et de perpétuelle disponibilité. J’accepte d’avance le port de bijoux, et de toute autre marque de sujétion à l’autorité de ma  Maîtresse

Article 3 : Je dois silence et obéissance et ne peux lever les yeux sur ma Maîtresse ni lui adresser la parole sans son autorisation. Je suis à genoux dès qu’elle se lève, et à ses cotés dès qu’elle s’asseoit. Je dors au pied de son lit et j’accepte liens et entraves s’il lui plait.

Article 4 : Toute désobéissance ou rébellion même minime fera l’objet de sanctions décidées par ma Maîtresse, qui aura droit d’user de moi et de mon corps à sa guise selon son bon plaisir. 

Article 5 : J’accepte le port d’un gode permanent, et d’une ceinture de chasteté afin d’empêcher tout onanisme non désiré par ma Maîtresse Mon unique désir sera dorénavant de satisfaire le Sien. Lorsque mon éducation sera terminée, et si je suis acceptée, mon nom d’esclave choisi par ma Maîtresse, me sera tatoué à l’intérieur de ma cuisse en guise de soumission perpétuelle à Son Autorité.

Fait à Paris le…………………… Signature »

Il avait terminé sa lecture d’une voix tremblotante. Je m’approchai de lui, et le prenant par les deux oreilles je l’obligeai à lever son visage vers le mien. Il avait des larmes au bord de ses beaux yeux ourlés de longs cils soyeux. 

« Si tu m’aimes, je veux que tu signes de ton nom et du prénom que je t’ai choisi » Il prit le stylo, et sous sa signature, rajouta « Jennifer »… 

 

Par sylviafoulard
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Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 22:56

J’entendis soudain la porte en haut de l’escalier grincer furtivement et je m’empressai de remettre mon manteau de fourrure tandis que des pas descendaient l’escalier. En fait ce furent Pierre-Emmanuel et Marie-Charlotte qui débouchèrent soudain dans les toilettes. Je leur souris et rassurée, je m’approchai d’eux. Je mis ma main autour du cou de Marie-Charlotte, et l’embrassant délicatement otait doucement son foulard. J’écartai les pans de son manteau de fourrure et le fit glisser au sol. Puis je l’accrochai à la patère et vint me placer devant elle. Au moment où je faisais glisser sa robe de soie au sol, la porte du haut de l’escalier fit à nouveau entendre son petit grincement et l’homme qui avait caressé Marie-Charlotte vint nous rejoindre. Nous ne disions pas un mot, mais Marie-Charlotte était maintenant à demi-nue face à nous, ne portant que son corset, ses bas et son slip bleu et noir. Je pris son foulard, l’enroulai et le lui nouai sur les yeux . « Laisse-toi faire chérie, je m’occupe de toi» lui glissais-je dans un murmure à son oreille. Elle parvint à sourire, mais je sentais aux légers tremblements qui agitaient ses épaules, qu ‘elle n’était pas très rassurée…Je pris mon propre foulard et, ramenant ses bras dans son dos, emprisonnait ses poignets dans son dos avec le carré Hermès. Puis je la poussais doucement vers l’une des cabines.

Pierre-Emmanuel n’avait pas bougé, il me regardait en fixant sa femme ainsi aveuglée et entravée, et je lui demandai d’un signe de tête si je devais continuer. Il me fit signe que oui. Je fis signe aux hommes de s’avancer vers elle et je me reculai pour leur laisser le passage. Je m’approchai du monsieur au pardessus à col de fourrure, et nouant mes bras autour de son cou, l’embrassai à pleine bouche en poussant ma langue au fond de son palais. Je mis ma main sur la nuque du jeune minet qui l’accompagnait, et me retournant, l’embrassai à son tour. Il me rendit mon baiser, mais visiblement intimidé, n’osait pas mettre ses mains sur mon corps. Nous nous enlaçâmes tous trois et l’homme commença – enfin – à caresser mon tout petit sexe qui s’était replié dans ma courte fourrure.

Le jeune homme mit l’une de ses mains sur ma croupe et me caressa les fesses. Pendant ce temps les trois autres hommes s’étaient introduits dans la cabine et tandis que l’un caressait les seins de Marie-Charlotte, un second l’avait assise sur la cuvette des WC pour qu’elle puisse sucer le sexe qu’il avait sorti de son pantalon. Le troisième la fit relever, et écartant la soie de son slip, mit sa main sur sa vulve pour la pénétrer manuellement. Marie-Charlotte avait l’air d’apprécier et je savais que l’aveugler d’un foulard pour l’empêcher de voir la scène allait faire sauter ses (faibles) blocages, et l’amener progressivement à accepter, puis à s’exciter de cette situation. Elle suçait le sexe de l’homme avec gourmandise, et commençait à onduler sous la main de l’inconnu qui la pénétrait de ses doigts agiles. Elle gémit lorsque le troisième étira ses tétons en les extirpant du balconnet de son corset. Elle était maintenant bien préparée, et je pouvais la laisser aller vers son plaisir, sous le regard amoureux de son voyeur de mari. Moi, après m’être un moment abandonnée aux caresses de mes deux voisins, je me rhabillai, en me repomponnant devant le miroir, puis leur faisant signe de laisser les autres seuls, je montais l’escalier en leur faisant signe de me suivre. Ce qu’ils firent. Dans la salle, nous nous installâmes dans un coin tranquille, et m’étant assise entre eux deux, entreprit de branler doucement le jeune homme, qui – comme je m’en étais douté – portait sous ses affaires, un fin slip féminin de nylon rose… Je me penchai vers l’entrejambes du monsieur au pardessus, et commençai à lui faire une fellation. Il avait un sexe un peu mou, et malgré toute la science de mes caresses buccales, il avait l’air de ne pas pouvoir bander. Je fis alors glisser son pantalon sur ses chevilles, et de la même manière, lui otai son caleçon qui se retrouva sur ses chevilles. Puis je fis passer le minet à ma place en lui demandant de s’occuper de l’homme… Comme je l’avais pressenti, la langue du jeune garçon émoustilla le sexe du monsieur bien mieux et bien plus vite que la mienne ; cet homme préférait les garçons aux filles…même si les garçons étaient efféminés et les filles nanties des attributs de garçon ! Pendant que le jeune éphèbe démontrait toute sa science de la fellation, je caressais ses fesses à travers la flanelle du fin pantalon qu’il portait. Il ne s’en offusqua pas, et poussant plus loin mes caresses, je fis glisser son pantalon sur ses genoux. Je le caressai de nouveau, mais cette fois à travers le nylon de sa fine culotte féminine rose. Mes doigts glissèrent dans son entre jambes et allèrent cueillir son sexe, semi tendu, qui répondit presque aussitôt aux caresses de mes doigts.

Nous formions un curieux groupe : l’homme assis à demi dénudé se faisant sucer par un jeune homme agenouillé sur le fauteuil voisin, lui-même en slip rose, le pantalon baissé, tandis que sur le fauteuil mitoyen, une femme en fourrure caressait son sexe qui tendait le nylon rose ! Je comprends pourquoi deux messieurs s’étaient silencieusement rapprochés de nous en profitant de l’obscurité… A demi tournés vers notre trio, ils ne perdaient pas une miette de nos curieux ébats. C’est alors que j’eus l’idée qui allait donner une suite émoustillante à ces « jeux d’ombre ». Faisant glisser le slip rose du garçon, je m’approchai de ses fesses, et entreprit de larder son petit orifice de fins coups de langue et de jets de salive. Ainsi apprêté par quelques longues salivations, son anus s’était légèrement entrouvert, comme une invite ; et mon index vint aussitôt en occuper le premier cercle. Sentant que cette pénétration lui plaisait bien, je m’appliquais à bien caresser son conduit, de petits cercles concentriques en petites poussées lascives, je l’amenai bientôt à ronronner sous mes doigts tandis qu’il continuait de sucer son voisin. Otant mon doigt je me redressai, et écartant le voile de mon string approchai mon sexe qui s’était bien durci durant ces préliminaires, de son petit cul tout humide de ma salive. Les deux voyeurs eurent un hoquet de stupeur en découvrant l’assez bel objet que j’extirpai de ma fourrure pour pénétrer soudain le garçon. Le petit salaud avait une fente d’une élasticité merveilleuse ; je sentais ses contractions au fur et à mesure de mes pénétrations et je le limais bientôt vigoureusement en lui arrachant quelques ahannements significatifs. M’agrippant à ses hanches fines je déchargeais violemment en lui, collée à ses reins en soupirant bruyamment. Il attendit que je me retire de son anus, pour se redresser, la bouche encore souillée de la laitance de son voisin. Il se retourna vers moi, et l’air timide, murmura « Merci Madame ». Je le giflai, lui intimant à voix basse mais d’un ton sec qui ne souffrait aucune contestation « On dit Merci Maîtresse ! Tu vas venir avec moi ; je vais m’occuper de ton éducation. Qu’en dis-tu ? » Il baissa les yeux, et murmura « Comme vous voudrez Mad… euh, Maîtresse ». J’eus dans le noir un sourire de victoire, qui dût sans doute lui paraître merveilleusement carnassier…

 

Par sylviafoulard
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Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 22:54

Au cinéma Pierre-Emmanuel gara la voiture dans une rue adjacente de la Porte Maillot, et bras-dessus, bras-dessous, nous dirigeâmes vers la salle de cinéma qui tout au bas de l’avenue de la Grande Armée, faisait presque le coin avec la porte Maillot. Il paya nos places, et une ouvreuse nous introduisit dans une grande salle obscure, où Pierre-Emmanuel exigea d’être placés presque au fond, aussi loin de l’entrée que des toilettes, dont la faible lueur rouge placée sur la porte, indiquait l’emplacement, presque sous l’écran. Nous regardâmes peu le film, parce qu’à peine assis, des mouvements de spectateurs dans l’obscurité nous indiquèrent que l’arrivée de notre trio n’était pas passée inaperçue. Un homme vint s’asseoir à ma droite, et un autre prendre place sur le rang devant le notre, juste devant Pierre-Emmanuel qui s’était assis entre nous. 

J’entendis Marie-Charlotte soupirer avant de constater qu’ayant largement entrouvert sa fourrure, elle avait retroussé sa robe de soie pour que son mari caresse le haut de ses bas… L’homme assis devant nous s’était à demi-retourné et avait l’air d’apprécier le spectacle qui lui était offert. Pierre-Emmanuel avait passé sa main droite sur mes épaules, et glissé sa main vers mon cou, qu’il caressait de ses doigts sous le foulard que j’avais gardé. L’inconnu assis à ma droite posa sa main sur mon genou et je n’eus pas un geste pour l’arrêter. Au contraire, j’écartai légèrement me cuisses, ce qui eut pour effet de remonter légèrement ma courte jupe de skaï noir, si serrée sur mes hanches. On voyait maintenant nettement la bordure de dentelle de mes bas, et après avoir caressé doucement mon genou, les doigts de l’homme remontèrent lentement le long de ma cuisse en faisant crisser le nylon…Il pétrit tendrement ma cuisse à pleine main et s’aventura soudain sous ma jupe, là où le bas ne couvrait plus ma chair tiède. Je ronronnai doucement pour lui montrer que j’appréciai ses caresses, et me blottit encore plus dans les bras de Piere-Emmanuel qui m’embrassa sur la bouche. Je jetai un regard vers Marie-Charlotte, dont la robe était maintenant entièrement retroussée, et qui s’était elle-aussi alanguie dans les bras de son mari pour permettre aux mains de l’homme situé devant elle, de glisser sa main sous l’élastique de son slip qui brillait dans l’obscurité. Elle gémit quand les doigts de l’inconnu atteignirent son sexe, et commença à remuer son bassin, visiblement gagnée par une excitation qui la submergeait. Moi même je venais de sentir les doigts de l’homme se refermer sur mon petit sexe, et je lui souris lorsqu’il me dévisagea d’un air passablement étonné. Je me penchais vers lui, et glissant ma main vers la braguette de son pantalon, entreprit de détacher un à un ses petits boutons, puis glissai ma main gantée dans l’ouverture pour en ressortir une belle trompe noueuse au gland décalotté, que j’enfournais aussitôt entre mes lèvres écarlates. L’homme se mit à respirer bruyamment au fur et à mesure de ma fellation ; mais j’entendais aussi Marie-Charlotte haleter et cela m’excitait tant que je m’appliquais à bien sucer et lècher son sexe dressé. Il se raidit soudain et  je n’eus pas le temps de le reprendre en bouche, qu’une forte saccade de laitance blanche s’en échappa brutalement pour venir s’étaler sur mon visage. Je pris son sexe entre mes lèvres et aspirai amoureusement ses saccades de foutre, que je roulai au fond de ma langue avant de les avaler avec délice. Je le suçai amoureusement jusqu’à ce qu’il commence à débander, et il conserva l’air prostré dans son fauteuil, jusqu’à ce que je me redresse à ses côtés. « Aimeriez-vous me sucer ? » lui demandais-je alors, et il me regarda à nouveau, avant de me proposer de le suivre aux toilettes. Je me retournai vers Pierre-Emmanuel, qui me sourit : « Vas-y ; je reste ici jusqu’à ce que Marie-Charlotte jouisse et nous irons te rejoindre ensuite » Je me levai, remit un peu d’ordre dans ma toilette, et dans le demi-obscurité de la salle, suivit mon voisin vers la petite porte située au pied de l’écran…

 

Je descendis doucement l’allée en suivant l’inconnu qui me précédait, prenant garde de ne pas trop faire claquer mes talons aiguille, persuadée que leur léger tac-tac sur le sol du tapis élimé de cette salle de cinéma, sonnait comme une érotique invite à l’intention des spectateurs tapis dans l’obscurité de cette salle obscure…Devant moi la porte des toilettes s’ouvrit en grinçant légèrement et l’homme disparut. J’arrivais à la porte et découvris qu’un escalier s’enfonçait vers le sous-sol. Je m’y engageai prudemment à cause de la hauteur de mes talons aiguille. Arrivée en bas de l’escalier je découvris une salle carrelée, avec deux lavabos surmontés de petits miroirs, et faiblement éclairée par une ampoule jaunie ; une cloison dont la porte était ouverte découvrait une rangée de cabines aux portes peintes de rouge sombre. Mon inconnu avait entrouvert la porte d’une cabine et il m’attendait à demi-retourné vers moi. En fait il me détailla longuement, puis s’approchant il me dévisagea avec un large sourire. Il avait la quarantaine, habillé simplement, il avait tout à fait l’air d’un petit fonctionnaire ou d’un épicier… « Tu es très belle » finit-il par me dire, et s’approchant de moi, il écarta les pans de mon manteau de fourrure, et ses yeux semblèrent apprécier le spectacle de mes seins tendant la soie transparente de mon chemisier noir. Il m’attira vers la cabine dont il ne referma pas la porte, et me poussant contre la cloison de faïence blanche s’agenouilla devant moi. De ses deux mains il releva ma jupe de skaï , mais j’en descendis moi-même la fermeture éclair, et elle vint glisser sur mes chevilles. Je m’en dégageai, et jambes écartées devant son visage cramoisi, je fis lentement sortir de derrière le minuscule triangle de dentelle noire de mon string, mon petit sexe qui y était blotti. Il se déplia lentement et l’homme avança doucement une main vers lui. Sa caresse m’électrisa aussitôt. Adossée à la cloison je fermais les yeux et laissai les doigts de l’homme l’amener à se raidir avant que je ne sente soudain ses lèvres chaudes en prendre possession et l’engloutir dans sa bouche avide. Je ronronnais de plaisir sous sa caresse buccale et, entrouvrant mes paupières, eût la surprise de constater que nous n’étions pas seuls.

Trois hommes nous regardaient agglutinés à la porte de notre cabine. L’un était du même genre que mon inconnu , entre deux âges et assez ordinaire ; le second était plutôt cossu, rond, chauve et portant de grosses lunettes d’écaille, il portait un épais pardessus à col de fourrure, et il avait la main négligemment posée sur l’épaule du troisième. Celui-ci était très jeune, moins de vingt ans très certainement, et il était habillé avec recherche, un foulard (de femme ?) noué dans le col entrouvert de sa chemise. Le regardant plus attentivement tandis que lui aussi me dévorait des yeux, je découvris qu’il était légèrement maquillé ; je voyais son fond de teint, le rose nacré dont il avait recouvert ses lèvres, et ses yeux soulignés de köhl. Ils semblaient apprécier le spectacle de la fellation que l’inconnu me prodiguait agenouillé à mes pieds dans ce WC anonyme et quelque peu sordide. Lorsqu’il sentit mon sexe parcouru de soubresauts annonçant la montée de sève, l’homme retira ses lèvre de ma hampe, la prit dans ses mains, et en me regardant, le branla en dirigeant mon gland vers son visage. J’éclatais soudain en longs jets désordonnés, qu’il prit en pleine face, ouvrant la bouche il en recueillit également sur sa langue et dans son palais. Puis il me suça amoureusement le gland afin d’en nettoyer toute trace de laitance oubliée. L’excitation m’avait secouée et je repris lentement possession de mes moyens, en regardant droit dans les yeux mes trois voyeurs. L’homme corpulent avait la braguette ouverte, et le jeune garçon y avait glissé sa main que je voyais s’activer en faisant bouger le tissus de son pantalon. Je m’écartais de la cloison, ramassai ma jupe, et m’approchai de la glace située au-dessus de l’un des lavabos. Dénouant mon foulard de soie, je laissai mes chevaux s’étaler sur mes épaules, et, avisant une patère au mur de cette salle, y suspendit ma jupe et mon carré Hermès. Ecartant les pans de ma lourde fourrure, je l’accrochais également au porte-manteau et me retournai vers eux, seulement vêtue de mon chemisier transparent, de mon bustier et de mes bas. Posant mes mains sur mes hanches, je les regardais tous les quatre, et prononçai d’une voix basse et à peine audible « l’un d’entre vous aimerait-il me faire l’amour ?… » Ils se regardèrent et le plus maigre, qui n’avait encore rien dit, et m’avait observé en silence, s’approcha de moi et me dit d’une voix sèche : « Tourne-toi vers la glace et regarde-là ! Appuie tes mains sur le lavabo et tend tes fesses vers nous ; je vais préparer ta rondelle… » J’obéis et lui tournait le dos. Dans la glace je pouvais voir les autres ne pas perdre une miette du spectacle qui 
s’annonçait. L’homme posa ses mains sur ma croupe et entreprit de glisser deux doigts à l’orée de mon cul. Cambrée sur mes talons aiguille, j’écartais mes jambes au maximum en rentrant mes genoux vers l’intérieur, afin de bien dégager mon petit trou. Ses doigts en prirent soudain possession, son index pénétrant lentement en moi. Constatant que j’étais déjà bien préparée, il enfonça alors trois doigts dans mon anus et commença à m’en caresser les parois. 

« Tu aimes çà salope ? Tu vas être servie… » et il se mit à agiter ses doigts en moi. J’ondulais de la croupe sous cette violente caresse qui distendait mes parois et annonçait d’autres pénétrations. Il finit par joindre son pouce à ses doigts et s’exclama à l’attention de ses compagnons « Regardez, cette pute est complètement ouverte, je peux y glisser ma main entière » Et il me branla soudain plus activement, enfonçant jusqu’au poignet sa main fine que je sentais glisser en moi de plus en plus vite. Je criai presque lorsqu’il prit dans sa main gauche ma queue qui s’était à nouveau dressée, et qu’il la caressa doucement. « Vas-y toi dit-il au jeune garçon, suces-la pendant que je la défonce » Le jeune homme vint alors s’accroupir entre mes jambes écartées et prit délicatement entre ses lèvres mon sexe gonflé. Bon sang il savait y faire ce minet, ses caresses de la langue étaient tout simplement divines, et je sentis à nouveau une violente excitation me gagner tandis que la main de l’inconnu continuait de me fister en tournoyant en moi. J’explosai soudain, criant, crachant ma semence dans la bouche du jeune garçon toujours collé à mon sexe, tandis que l’inconnu qui me pilonnait retirait brutalement sa main de mon fondement, m’arrachant un nouveau râle de plaisir, qui me laissa exangue, appuyée au lavabo.

 

 

 

Par sylviafoulard
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