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Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 22:50

Je m’endormis dans la voiture et lorsque j’ouvris les yeux, nous étions garés dans un garage souterrain qui m'étais inconnu.  Pierre-Emmanuel me caressa doucement le cou, et me demanda si j’étais réveillée. J’acquiésai et il me proposa de le suivre chez lui pour me reposer après cette assez étonnante soirée. « Je vous raccompagnerai après-demain chez Charles ; c’est ce que nous avons conclu ensemble. » Je ne protestai pas. J’avais accepté d’être « prêtée » à Charles une semaine…Qu’il me « prête » à son tour à l’un de ses amis ne me regardait pas. J’avais juré à Victor, mon Maître et amant que j’obéirai aveuglement aux désirs de son ami, et pour le moment ce « prêt » m’avait paru terriblement excitant. J’avais en tout cas pris un plaisir extraordinaire au cours de cette première nuit, et j’attendais – avec impatience et curiosité – la suite du programme que Pierre-Emmanuel m’avait concocté…Nous avons pris un ascenseur qui nous a mené dans un grand appartement où tout était éteint. Je regardais ma montre et constatant l’heure tardive (presque 4 heures du matin) compris pourquoi j’étais soudain si  fatiguée. Mon compagnon me conduisit à travers l’appartement jusqu’à une grande chambre tapissée de rose où il me dit que c’était la mienne. « Ma femme dort ; vous ferez sa connaissance demain matin. Elle vous trouvera des vêtements moins voyants que ceux de cette nuit. » Puis il me prit par le cou, m‘embrassa très sensuellement et me souhaita une bonne nuit. Je dénouai mon foulard, retirai ma fourrure et mes bottines, et me glissai telle quelle dans le grand lit, où je ne  tardai pas à m‘endormir.

Le soleil brillait derrière les lourds doubles rideaux de velours sombre qui obscurcissaient la pièce. Je regardai ma montre, y lut midi trente, et m’étirai dans le grand lit. Puis je me levais, écartant les rideaux pour découvrir une superbe vue sur un grand parc ensoleillé. Je me déshabillai entièrement et me glissai dans la salle de bains attenante où je me fis couler un grand bain chaud, dans lequel je me prélassai un long moment. J’entendis la porte s’ouvrir, et une grande femme blonde d’environ 45 ans pénétra dans la salle de bains. « Bonjour, je suis Marie-Charlotte, la femme de Pierre-Emmanuel. Avez-vous bien dormi ? » Je lui souris, acquiésai et elle vint s ‘asseoir à côté de la baignoire sur un petit siège recouvert de fourrure synthétique. « Alors vous êtes Sylvia. Avant de partir à son bureau, Pierre-Emmanuel m’a longuement raconté votre soirée. Il en était encore tout émoustillé. J’avoue que ce qu’il m’en a raconté m’a moi aussi assez …émue. Vous semblez lui avoir procuré le genre de plaisir qu’il attendait depuis longtemps. Vous savez je suis plutôt ouverte sur les questions du sexe. Nous participons très souvent aux petites soirées que Charles et Henriette organisent au Vésinet ; mais m’exhiber devant des inconnus sans qu’il participe, je trouve cela assez frustrant, alors je lui ai conseillé de trouver quelqu’un pour me remplacer. Il semble qu’avec vous il ait trouvé une sorte de perle rare… » Je ris, et me levant, enjambai la baignoire. Elle me détailla avec attention, et parut sérieusement impressionnée par ce que je lui révélai . « Hum, vous êtes vraiment très belle …pour un garçon ! Je vous ai vraiment prise pour une femme en vous découvrant dans la baignoire. Mais là – et elle désigna mon petit pénis rabougri dans son petit triangle de fourrure – je dois reconnaître que vous avez un corps superbe. » Décrochant un drap de bain, elle m’enveloppa, et commença à me sécher très délicatement, s’attardant avec insistance sur ma poitrine, puis sur me reins et mes fesses. « laissez-vous faire, j’ai promis à mon époux de bien m’occuper de vous… » A peine dix minutes plus tard, nous nous retrouvions enlacés sur le lit. Elle m’avait allongé sur le dos, et de ses longs doigts aux ongles écarlates, elle caressait tendrement mon sexe, qui sous ses délicates caresses, se tendait légèrement vers elle. Elle le prit entre ses lèvres, et tout en me regardant, se mit à me le sucer avec application. J’avais entrouvert sa robe d’intérieur et pincé l’un de ses tétons entre mes ongles. Elle ronronna, et se mit à saliver en faisant coulisser ses lèvres sur ma petite colonne de chair. Je lui pris l’autre sein, et en écrasant ses tétons, lui glissai à l’oreille « Sucez moi bien, et quand j’aurai bien étiré vos tétons, j’irai vous montrer pourquoi je suis bien mieux lotie que les autres femmes. » Elle écarta ses lèvres de mon sexe et partit d’un rire de gorge excité. Je la retournai, et me postant derrière elle sans retirer mes mains de ses seins, je fis glisser mon sexe qui avait maintenant pris une assez belle attitude au creux de sa raie culière. Elle souleva d’elle-même son bassin, pour me faciliter l’entrée dans son sexe où je glissai sans aucune difficulté. Je la baisai lentement et avec beaucoup d’application, me retenant jusqu’à ce que je l’entende gémir bruyamment. Lorsqu’elle commença à pousser des petits cris aigus, je la pilonnais soudain violemment, en faisant claquer ses fesses. Elle poussa un grand cri rauque et se raidit au moment où la jouissance la posséda. Empalée sur moi, elle se tint immobile, comme figée, tandis que je pinçai jusqu’au sang ses mamelons ; puis, je me retirai en laissant de longues coulées de laitance blanchâtre s’étaler sur ses fesses et son dos. Nous nous écroulâmes enlacés sur le lit, et elle me dit dans un soupir « oh, c’était merveilleux ». Je l’embrassai dans le cou, et lui répondit « A votre service jolie madame… »  

Elle s’était levée du lit assez excitée et m’avait entraînée dans le grand living qui occupait une pièce entière entre la chambre de son mari et la sienne. « Tu m ‘as considérablement excitée, petite coquine…Nous allons nous préparer, et quand Pierre-Emmanuel rentrera nous lui proposerons une surprise ensemble, tous les trois ; qu’en dis-tu ? » Je n’avais rien à objecter à un tel programme ; on m’avait prêtée à eux pour ce week-end et j’avais juré que je serai très obéissante ; aussi me suis-je contenté de lui sourire et d’acquiescer en me laissant totalement mener par cette femme hier encore réservée, et aujourd’hui bien délurée… Elle sortait les toilettes et nous nous habillions en riant, testant l’une l’autre les tenues les plus aptes à surprendre son époux. Marie-Charlotte me prêta un bustier à balconnet en dentelle noire, qui laissait mes seins à demi nus, auquel elle fixa deux bas de nylon noir à couture, dont la partie haute s’ornait d’un superbe motif de dentelle de même teinte. « Quand tu soulèves lentement ta jupe et que les hommes découvrent cette parure, ils commencent déjà à s’exciter » me dit-elle en riant et en posant un baiser sur mes lèvres. Je caressai ses seins et l’aidai à lacer un corset de satin noir et bleu qui mettait merveilleusement en valeur sa forte poitrine. Elle choisit elle aussi des bas noirs à couture, dont le talon s’ornait d’un coquin petit nœud papillon de soie noire. Je l’aidai à enfiler les escarpins vernis noirs à bride qu’elle s’était choisis, et en laçai les fines attaches de cuir autour de sa cheville gaînée de nylon.

Elle choisit pour moi des talons aiguille de 15 cm dont la bride se terminait par un petit cadenas doré, qu’elle ferma sur ma cheville en m’assurant que c’était « terriblement excitant » de me voir marcher avec cela…Je me choisis un string ficelle de dentelle noire et elle un slip brésilien bleu et noir assorti à son corset. Puis elle enfila une soyeuse robe bleu nuit, vaporeuse comme un voile, qui tournoyait sur ses jambes galbées de noir au moindre mouvement. « Hum, tu es superbe ainsi » lui assurais-je en lui caressant la croupe. Elle rit et me tendit une petite jupe de skaï noir, très serrée, dont elle fit glisser la fermeture éclair sur mes reins. « Je vais te trouver un corsage super érotique que Pierre-Emmanuel m’a acheté il y a un an ou deux mais que je n’ose pas mettre souvent… » Furetant dans les cintres, elle retira un magnifique chemisier en soie noire …entièrement transparent. Le col très échancré était garni d’un léger boa de plumes noires, mais l’on distinguait parfaitement mon bustier et les pointes de mes seins, tendues sous la caresse de la soie sauvage. Elle me prit par la main, m’entraînant vers la salle de bains pour nous maquiller et nous parfumer.

Trois quarts d’heure plus tard, lorsque Pierre-Emmanuel pénétra dans le salon, il marqua une pause en nous découvrant toutes deux assises côte à côte dans le grand canapé de cuir sombre. « Mon Dieu, mais vous êtes superbe ! Marie-Charlotte ma chérie, tu es divine ainsi, et Sylvia, on aurai envie de la caresser tant elle montre ses trésors si peu cachés… » Il se pencha et nous embrassa toutes deux fougueusement. « Pourquoi de si jolies toilettes ? vous avez envie de sortir ? » Marie-Charlotte le regarda avec un air coquin, et lui dit simplement « Et si tu nous emmenait dans ce fameux cinéma où il se passe presque autant de choses dans la salle que sur l’écran ?… » Pierre-Emmanuel n’en revenait pas : «Tu aimerais ? vraiment ? avec Sylvia ?…Oh bon sang, c’est l’une des meilleures idées que tu aies eues depuis longtemps ! Ma chérie, je crois que cette soirée va être sublime, et grâce à toi. Demain je t’offre ce collier qui te faisait tant envie ! » Marie-Charlotte se jetta à son cou, et tandis qu’elle l’enlaçait, la main de Pierre-Emmanuel vint caresser mes fesses. Je m’approche alors d’eux et mêle ma langue aux leurs, dans un baiser d’un érotisme intense, qui me procure une délicieuse onde de plaisir. Nous enfilons nos manteaux de fourrure, nouons de grands carrés Hermès sur nos cheveux, puis gantées, glissons chacune notre bras sous celui de notre cavalier, pour sortir de l’appartement.



Oh maman...

Par sylviafoulard
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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:29

Sylvia-se-caresse.jpg

Lorsque je revins – claudiquant légèrement à cause du traitement subi… - Pierre-Emmanuel m’attendait déjà dans la voiture. Je m’assis à ses côtés, attendant sa réaction. Il m’apprit alors qu’il avait rarement été aussi excité que ce soir. Je l’avais satisfaite au-delà même de ses plus exquises attentes… Il m’avoua son plaisir à voir sans être acteur. Il avait voulu imposer de telles scénarii à son épouse, mais malgré l’ascendant qu’il avait sur elle, sa femme Marie-Charlotte, n’avait jamais accepté d’être ainsi offerte anonymement. Pierre-Emmanuel m’avoua que je venais de lui faire un cadeau merveilleux, et il m’embrassa tendrement. « Tu n’es pas trop fatiguée » ?… insinua-t-il doucement en me regardant . Je lui souris, pris sa main, l’embrassai avec  tendresse et lui avouai que je m’étais bien amusée aussi. 

De fait, j’avais adoré cette exhibition, et le fait d’être à la fois commandée par un homme qui se tenait à l’écart – tout en ne perdant pas une miette de mes aventures… - et m’offrait à de parfaits inconnus. Je lui dis tout cela en renouant 
mon foulard panthère sur mes cheveux, et en me remaquillant dans le petite glace du pare-soleil. « Eh bien, nous allons continuer, puisque nous avons juste été assez émoussés par ce premier hors-d’œuvre », dit-il en riant. Il mit le moteur en marche et quitta l’allée ombragée où nous nous étions garés. Nous parcourûmes ce soir-là plusieurs avenues plus ou moins éclairées du Bois de Boulogne. Je connaissais peu cet endroit, et ne soupçonnait même pas qu’il abritait le soir, d’aussi insolites – et délicieuses – aventures…Près de la fontaine de Longchamp, Pierre-Emmanuel s’arrêta sur le parking arrière d’un restaurant forestier, et allumant le plafonnier, s’approcha de moi et commença à me caresser, à m’embrasser tout en me dénudant le haut de ma poitrine et en retroussant ma courte robe. Il m’embrassa fougueusement et nouant mes mains autour de sa nuque, je lui rendis son baiser en ronronnant sous la caresse de ses doigts, qui s’infiltraient sous la soie de ma robe. Il dégagea mon sexe du minuscule écrin de soie qui l’abritait et se penchant vers moi le prit dans sa bouche, tandis que ses doigts titillaient mes tétons qui durcissaient sous ses pressions. Il me léchait merveilleusement bien, et j’étais à nouveau excitée… Me dégageant de ma fourrure, je me penchai vers mon compagnon, lui redressai la tête et collai mes lèvres aux siennes pour retrouver le goût de mon propre sexe. Je déboutonnai un à un les boutons de sa braguette, puis dégageant son pénis de son caleçon, me mis à quatre pattes sur le siège passager pour l’enfourner à pleine bouche. De ses mains je le sentis retrousser mon manteau et dégager mes fesses, que j’appuyai sur la vitre pour mieux m’occuper de lui… Lorsqu’il jouit en longues saccades, je gardai sa semence dans ma bouche, puis déglutit doucement pour lui montrer que je l’avalais totalement. Je levais alors les yeux et découvris non sans surprise que des hommes étaient agglutinés autour de la voiture. Malgré l’obscurité je les distinguais nettement, et certains se masturbaient doucement en nous regardant. Il est vrai que le plafonnier allumé ne cachait rien de nos ébats amoureux… « Va les voir dehors, me dit alors mon compagnon, Vas t’occuper d’eux, je veux te voir comme tout à l’heure les satisfaire en pensant que je te regarde, que je t’admire, et que je t’aime ! » Je l’embrassai à nouveau, et ouvrant la portière me glissai hors du véhicule.

La portière une fois claquée, Pierre-Emmanuel éteignit aussitôt le plafonnier, et je me retrouvais brutalement dans une  obscurité quasi totale. Dans le noir complet qui m’entourait, je me tenais droite et un peu crispée. Une main s’enhardit et vint se poser sur mes fesses, soulevant légèrement ma fourrure. Je ne me dérobais pas et une autre vint très vite la rejoindre… Le cercle se rétrécit soudain autour de moi et je sentis les souffles courts et les murmures des hommes qui m’entouraient. D’autres mains s’approchèrent à leur tour, et vinrent prendre possession de mon corps. Des doigts palpaient mes soieries, mes seins, mon cou, et quelques petits rires excités se firent bientôt entendre. Toujours sans le moindre mot, une main se posa sur mon col de fourrure et s’y appuya pour me faire pencher la tête vers une superbe queue dressée, que je pris goulûment entre mes lèvres, puis me mis à en caresser la hampe en salivant et en faisant courir ma langue sur le gland décalotté. Je sentis les mains qui me caressaient les fesses écarter la fine ficelle de mon string, et des doigts fouailler mon intimité ; je me penchais d’avantage en tendant ma croupe, et sans arrêter de sucer le sexe que j’avais en bouche, je me mis à onduler du bassin sous les doigts qui me pénétraient. J’étais de plus en plus excitée, et poussais presque un cri de joie lorsqu’une fine queue s’introduisit dans mon petit cul excité… L’homme que je suçais se raidit soudain, et prenant mon visage à deux mains, se mit à jouir en poussant des petits cris étouffés ; sa semence chaude me coula dans la bouche, et je ne retirai pas mes lèvres de sa hampe secouée de soubresauts, pour pouvoir absorber toute sa liqueur. Je me régalai de l’avaler, tout en suçant amoureusement son membre qui ramolissait lentement sous ma langue.
Je relevais la tête et découvris les hommes qui m’entouraient. Ils étaient au moins six, et se branlaient doucement en me regardant. Je m’approchais du plus proche et – en traînant toujours derrière moi celui qui me sodomisait – pris à son tour sa queue dans ma bouche. Il gémit de plaisir et s’adossa à un arbre. Celui qui m’enculait venait de jouir et son foutre avait largement coulé dans mon anus et sur mes fesses lorsqu’il s’était retiré… Etait-ce cette lubrification inespérée, ou bien la taille de la queue de celui qui le remplaça ? Je ne sais pas mais j’avais l’impression de ne presque rien sentir de ses va-et-viens dans mon conduit. Je ne sentais pas son sexe frotter mes parois intimes et y déclencher l’excitation qui d’ordinaire me gagnait à chaque intromission.

Je me redressais alors en me réenfournant violemment sur sa bite en lui lançant, mi-suppliante, mi-énervée « Baises-moi bien! Encules-moi à fond ! Je veux sentir ta queue me déchirer la chatte… Vas-y fort, n’aies pas peur, baises moi fort chéri, j’en ai tant envie… » Je ne me reconnaissais plus, totalement excitée, totalement dépravée sous les caresses anonymes de ces types dans l’obscurité de ce parking ! Posant alors ses mains sur mes hanches, l’homme s’appliqua aussitôt à me satisfaire, en se ré-enfournant vigoureusement en moi et en ahannant de plaisir. Il se mit alors à me pilonner avec énergie, et l’excitation monta aussitôt en moi…

Je me remis à sucer l’homme adossé à l’arbre, mais il se mit à jouir en longues saccades désordonnées qui vinrent s’étaler sur mon visage. Je le suçais amoureusement en le remerciant comme la pute que j’étais à ce moment, et me retournais avidement vers une autre bite, choisissant avec gourmandise une énorme trompe noueuse, qu’un homme fort et musclé caressait non loin de mon visage. J’eus du mal à l’engloutir, et dus écarter mes lèvres au maximum pour en prendre possession. L’homme gloussa, et me dit « Prépares-la bien salope, parce qu’après cette petite gâterie, je vais te montrer ce que c’est qu’une vraie queue qui te ramonne… » Les autres hommes ricanèrent, et je ne pus me retenir d’ôter un un instant ma bouche de son superbe engin pour lui murmurer lascivement « Oh oui, chéri ! Je la veux dans ma chatte, je veux que tu m’encules avec ta grosse queue. Je veux tout ton foutre dans mon cul… » Il rit encore, et me la ré-enfournant dans la bouche, ajouta « T’inquiètes pas salope, tu vas être servie. Ton cul va bientôt être aussi large qu’un couloir de métro ! » Ils rirent à nouveau et je me remis avec application à sucer son énorme sexe noueux, chaud et délicieux, tandis que son compagnon continuait de me limer avec application , histoire de préparer ma chatte à recevoir ce formidable engin qui, pour l’instant, emplissait ma bouche et mon palais.Bien entendu, celui qui me baisait éjacula bien avant que l’orgasme me possède ; je sentis sa semence tiède me couler dans l’anus puis sur mes fesses lorsqu’il se retira en soupirant violemment. J’agitai mon bassin pour réclamer une autre bite, mais ce fut finalement que je suçais qui, retirant soudain son sexe de ma bouche, me fit brutalement pivoter et m’ayant appuyée contre l’arbre qu’il venait de quitter, vint se placer derrière moi. J’eus à peine le temps de respirer, que d’un violent coup de reins, il poussa soudain en moi son formidable engin. Préalablement lubrifiés par les éjaculations de mes deux premiers baiseurs, sa queue frotta sans difficulté mes sphincters pour s’enfouir en moi. Je crus sa pénétration terminée, mais ayant posé ses deux mains sur mes hanches, il continua d’un autre coup violent, de forcer son passage plus avant… Je poussai un cri lorsque je sentis sa queue m’emplir totalement et son gland frotter mon hymen, mais il rit bruyamment et m’abattit avec violence sa main sur mes fesses en disant « Alors salope, on fait moins la fière maintenant ? Tu la sens bien au fond de ton cul ? Et bien on va la faire bouger un peu pour voir si tu baises aussi bien qu’une chienne en chaleur… » et joignant le geste à la parole, il se mit à me limer à fond, m’arrachant une succession de petits cris de douleur à chaque fois que son terrible sexe venait s’enfourner tout au fond de moi. Les autres ne perdaient pas une miette du spectacle, et mes cris devant les exciter, il s’en trouva un pour m’enfourner une nouvelle queue dans la bouche, histoire de me faire taire…

Je n’eus plus un cri – et pour cause – tout le temps que dura mon enculage. Mais je ne pus retenir mes larmes, mêlées de joie et de douleur au fur et à mesure de ses coups de boutoir qui labouraient mon conduit intime. J’avais l’impression d’être totalement écartelée par ce pieu gigantesque que je sentais frotter mon anus avec violence mais régularité. Je crus que j’allais défaillir tant la tension sexuelle qui m’habitait à ce moment était devenue extrême, mais au moment où j’allais tourner de l’œil, l’homme crispa soudain ses mains sur moi, et criant presque, déchargea au plus profond de mon cul. Je ne bougeai pas, restant collée à lui, tandis qu’il reprenait son souffle. Son sexe ne se dégonfla guère, puisque je ressentis son retrait presque autant que ses pénétrations… Je m’affaissai au pied de l’arbre et l’homme que je suçais finit de se masturber en m’arrosant de courtes rasades de foutre chaud, qui glissèrent gluantes et odorantes sur mon visage et ma poitrine. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes d’un profond silence, que j’ouvris enfin les yeux, découvrant les hommes toujours en cercle autour de moi, et Pierre-Emmanuel me tendant la main pour m’aider à me relever. Je le suivis en claudiquant jusqu’à la voiture, où je me laissais tomber sur mes fesses poisseuses et douloureuses. « Tu as été parfaite. Je vais te ramener à la maison, où tu pourras te baigner et te reposer. » Puis il m’embrassa tendrement le front et mettant le moteur en marche quitta le bois de Boulogne.

Par sylviafoulard
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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:25

L’homme démarra la lourde limousine et sortit de la propriété. Nous roulâmes en silence sans prononcer une seule parole. Au bout d’un long moment il posa sa main droite sur mon genou et le caressa légèrement ; puis, remontant le long de ma cuisse, il souleva ma robe de dentelle et atteignit la jarretelle qui maintenait mon bas. Je suis assez excité par ce que j’ai envie de faire avec toi ; nous allons essayer de maintenir ce délicieux climat… Nous étions arrivés en bordure du Bois de Boulogne, et l’homme engagea le lourd véhicule en direction de la porte Dauphine. Arrivés au rond-point, nous en fîmes lentement le tour, nous attardant à remarquer quelques véhicules arrêtés, en quête de partenaires d’un soir, mais il continua sans s’arrêter et reprit le boulevard des maréchaux vers la porte d’Auteuil, qu’il suivit un long moment, avant de s’engager dans une contre-allée peu éclairée en bordure du Bois. Il ralentit l’allure du véhicule, puis avisant une place le long du trottoir, sous la frondaison des arbres d’un épais bosquet, il se gara, coupa le moteur et, allumant le plafonnier, se retourna vers moi : "Ôte ton manteau, et enlève ta robe". Je m’exécutai, me retrouvant en bustier bas et string à ses côtés. "Remets ton manteau de fourrure, et vas faire quelques pas le long de ce trottoir en laissant celui-ci bien entrouvert". Puis il ouvrit ma portière et me poussa doucement dehors.

Je me retrouvai sur un petit trottoir en terre battue, près du bois dont les grands arbres procuraient une ombre protectrice. Je fis quelques pas et sentis quelqu’un marcher dans les taillis. Un homme sortit de l’ombre, vite suivi d’un autre. Je les détaillai ; le premier avait une trentaine d’années, des petites lunettes d’écaille, le type même du « mateur » un peu timide ; l’autre, plus âgé, plus sur de lui aussi, m’adressa aussitôt la parole :"Voulez-vous que nous regardions ou souhaitez-vous une collaboration un peu plus active ?" L’ironie de sa remarque s’accompagna d’un sourire et il posa sa main sur mon épaule, m’obligeant à lui faire face. Puis il écarta les pans de mon manteau de fourrure pour mieux me détailler ; il siffla "Pfui ! quels jolis dessous…Venez vous  mettre un peu à l’abri de la lumière pour que nous soyons plus à l’aise". Je jetais un regard vers la voiture, mais tous feux éteints, elle semblait abandonnée. Mon compagnon devait me regarder en silence… Il n’eût d’ailleurs pas un geste lorsque je suivis les deux hommes à l’ombre du bosquet.

Une fois à couvert, l’homme qui m’avait parlé se colla à moi, ses mains glissant sous ma fourrure commencèrent à me caresser. Il glissa ses doigts sous le voile de mon string et découvrit mon petit sexe lové au creux de mes cuisses. « Oh, oh, fit-il, mais c’est un joli travesti que nous avons là… » Il me serra la queue entre ses doigts, et colla ses lèvres aux miennes, sa langue se glissa au fond de mon palais allant chercher la mienne pour s’emmêler à elle. De sa main il dégagea mon sexe de son écrin soyeux et le caressa tendrement. Le plus jeune lui, s’était glissé derrière moi, et toujours sans un mot avait entrepris de faire glisser la ficelle de mon string sur mes talons. Il posa ses mains sur mes fesses et me massa doucement. Je levai la tête et découvrit que durant ces premières caresses nous avions été rejoints par deux ou trois autres hommes, des silhouettes qui nous regardaient en silence ; je crus bien que l’une d’elle était celle de Pierre-Emmanuel ! L’homme qui m’avait embrassé me prit par le cou, et m’embrassant à nouveau à pleine bouche, continua de caresser mon sexe qui avait pris quelques dispositions étonnantes, tandis que de son autre main, il alla lui aussi malaxer mes fesses et glissa son index au bord de mon anus, et il gloussa lorsque celui-ci pénétra sans aucune difficulté dans mon orifice culier…"Vas-y toi, dit-il au jeune homme, encules-la d’abord pendant qu’elle me suce." Puis, s’étant adossé au tronc d’un gros arbre, il se débraguetta et sortit un membre long et fin qui recourbait son gland vers le ciel – "Vas-y "me dit-il, et cédant à l’invite en me penchant à 90°, je pris à pleine bouche ce sexe dressé, en prenant bien soin de retrousser mon manteau de fourrure sur mes reins, pour que son jeune compagnon découvre ainsi une vision charmante de l’endroit que j’allais lui offrir ! Il se hâta d’ailleurs de m’honorer de sa présence, et mettant ses mains sur mes hanches, posa le galet dur et humide de son sexe sur ma raie, et sans effort apparent, glissa l’intégralité de son sexe que je sentais fort et noueux, en moi. Je poussai un petit cri de plaisir, lorsque l’extrémité de son gland vint buter au fond de moi ; mais déjà les mains de l’autre homme s’étaient glissées sous mon bustier de skaï et du bout de ses doigts il écrasait durement la pointe de mes seins, me procurant une montée d’excitation d’une intensité peu commune, et d’autant plus forte, que les va-et-vient de celui qui me pilonnait, commençaient à m’arracher de petits cris de plaisir.

 Je suçais son sexe avec application et ferveur, les yeux fermés, tandis que des ondes de plus en plus violentes de plaisir irradiaient mon corps soumis à cet enculage délicieux. La douleur de mes tétons malmenés par les doigts de l’inconnu que je pompais, se mêlait à mon excitation ; j’ondulais du bassin comme une chienne en chaleur, et les jambes écartées j’essayais de toucher mon sexe dur, pour accroître cette montée de sève… Le jeune homme eût soudain un râle violent de plaisir et il se retira en inondant mes fesses de longues giclées de sperme tiède. Je m’appliquais à procurer un plaisir aussi intense à celui que je suçais ; les yeux demi-clos, il murmurait des insanités en me caressant d’une main le foulard qui recouvrait ma nuque, et de l’autre en continuant de torturer les pointes de mes seins…"Vas-y sale pute, vas-y ma salope, suces moi bien, je vais jouir… oh oui, je sens que je vais jouir dans ta bouche salope… tu vas tout avaler, tu vas te régaler, oh ouiii…là… " et il éclata soudain en vigoureuses saccades que je recueillis à pleine bouche, mais se dégageant, il aspergea aussi mes lèvres et mes joues… Je me redressai face à lui, et m’ayant prise par le cou, il m’enlaça et de sa langue vint nettoyer le bas de mon  visage, encore ruisselant de sa laitance. Puis il m’embrassa de nouveau, et je poussai alors dans son palais, une partie de son sperme que j’avais gardé dans ma bouche. Il l’avala en riant, et m’embrassa de plus belle ; "Tu es une drôle de salope toi alors ! " Et dans sa bouche, j’avais conscience que cela équivalait à un sacré compliment ! Exhibee-et-offerte-la-nuit-au-Bois.jpgexhibee-la-nuit-au-Bois.jpg

Par sylviafoulard
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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:20

Pose-des-bijoiux-sur-tetons-2.jpg C'est donc avec une légère appréhension, mais aussi une énorme excitation, que je préparai mes affaires pour cette semaine avec Charles (et Henriette) au Vésinet. Victor m'aida à chosir mes robes et parures, et m'aida à boucler ma valise. Puis, il me fit agenouiller devant lui, et sans attendre, je déboutonnai sa braguette, allant chercher de mes doigts manucurés son sexe replié dans son caleçon de soie; puis, le prenant en bouche, je m'appliquai à lui procurer une superbe fellation.

J'étais devenue experte en la matière; au cours de nos soirées et dîners avec les amis de Victor, il m'avait souvent envoyée à genous sous la table, m'initier aux caresses et prémisses de cet acte d'amour. Pendant que ma langue caressait son méat, et que de mes lèvres, je faisais coulisser la peau autour de son gland, Victor me donna ses dernières instructions. Il me voulait totalement obéissante à Charles « comme à moi-même » ajouta-t-il. Il ne voulait souffrir aucune plainte de son ami à mon encontre, m'avouant que toute erreur ou refus de ma part, lui serait aussi intolérable que si je les avais manifestés à son égard. Il feula lorsque ma langue l'amena au plaisir, et il jouit en longues saccades tièdes dans ma bouche. J'avalai goulûment sa semence, et il me fit relever, puis m'embrassa tendrement.

Il me fit jurer une totale obéissance à Charles, puis enfilant son manteau, il prit ma valise, m'aida à enfiler mon vison, et, me tenat le bras, m'accompagna jusqu'au garage et à sa voiture; puis nous prîmes la route de la banlieue Ouest.

Durant le trajet, Victot insista à nouveau pour me rappler à l'obéissance. J'en fus quelque peu étonnée et lui en fis part aussitôt. Il parut gêné, puis m'avoua que Charles subventionnait largement depuis plusieurs années ses vignes et sa propriété familiale, et qu'il s'était beaucoup endetté à son égard pour maintenir son – notre – train de vie parisien... Charles avait accepté billets à ordre et retards de remboursement, mais la semaine passée, il avait proposé à Victor de tirer un trait surs ses dettes, à condition que celui-ci me « prête » à Charles une semaine par mois pendant un an !

J'étais stupéfaite; au moins autant par l'annonce de la dépendance financière de mon amant que de ce troc insolite dont j'étais l'objet.

Victor me supplia alors de lui pardonner, et me proposa même de rentrer à l'appartement, s'engageant à essayer de chercher et trouver d'autres solutions à ses problèmes financiers, ne m'impliquant pas...

C'est moi qui mit les choses au point. Je lui rappelai d'abord que je l'aimai : qu'il était mon amant, moninitiateur, mon Maître, que je lui devais tout. Qu'il m'avait initiée, en me révêlant ma véritable nature, et que je lui en serai éternellement reconnaissante. Qu'il avait en outre dépensé sans compter pour mes toilettes, mes frais esthétiques, mes parures et ma garde-robe, nos sorties et nos soirées parisiennes. J'étais à lui, je lui appartenais, comme une femme à un homme adoré, et je voulais à mon tour l'aider à ses sortir de cette mauvaisse passe financière passagère, en lui prouvant mon amour et ma reconnaissance, par une totale soumission à ses besoins. Je lui baisais la main en l'assurant que je serai totalement obéissante aux désirs de son ami Charles, et qu'il serait fier de moi. Il arrêta alors le véhicule, me prit dans ses bras, et m'embrassa avec passion, avant de reprendre la route vers le Vésinet.

Victor m'avait juste déposée et n'était pas resté; je me suis donc retrouvée avec Henriette qui était seule dans la propriété. Elle n'était pas en soubrette ce soir-là et après m'avoir débarrassée de mes affaires, elle m'invita au salon où elle me servit du thé. Elle m'indiqua que son Maître (Charles) était parti à l'aéroport accueillir l'un de ses amis, et qu'il avait l'intention de me présenter ce soir à cet ami, qui s'installerait chez eux pour quelques jours. Elle me précisa également que Charles l'avait envoyée cette semaine à Paris, faire quelques emplettes spécialement pour moi, car il lui avait dit qu'il me voulait particulièrement « en beauté » et « très désirable » lorsque je serai présentée à son ami... Puis elle m'invita à m'installer dans ma chambre, et m'annonça qu'elle allait me préparer un bain moussant délassant, avant de m'aider à me préparer pour leur arrivée, qui était fixée aux alentours de 21 h.

Le bain brûlant me réchauffa, puis Henriette vint me sécher avec un grand drap de bain, dont elle m'enroba, avant de m'accompagner dans la chambre qui m'était destinée. Des paquets et des sacs étaient étalés sur le grand lit; « Vos affaires » me fit-elle en me les montrant. Henriette déballa soigneusement les emplettes et je découvris avec une certaine surprise, des tenues moins raffinées que celles que j'avais l'habitude de porter... Elle avait du faire ses achats dans des magasins spécialisés de Pigalle ou de la rue Saint Denis !

Ecartant le drap de bain, je me mis nue devant elle, pour qu'elle me lace un corset de skaï noir, brillant et glacé dont elle tendit si fort les lacets de serrage que je sentis ma taille s'évaser et ma respiration se bloquer. Elle s'accroupit ensuite à mes pieds et m'enfila de longs bas de nylon noir à résille, qu'elle fixa aux 6 jarretières métalliques du corset. Elle ouvrit une boite et me montra les bottines que je devais porter : vernies noir avec laçage et talon aiguille de 15cm, ornées autour de la cheville d'une petite bande de fourrure noire. Un simple string ficelle de nylon noir, eut bien de la peine à cacher mon petit sexe épilé. Une courte robe – totalement transparente ! - de dentelle noire complétait ma tenue. Elle noua enfin autour de mon cou un léger voile de soie imprimé panthère, puis satisfaite me pria de m'asseoir face à la coiffeuse.

« C'est tout ce que je porterai ? lui demandais-je Oui, c'est tout ce que mon Maître m'a indiqué. » Puis elle me maquilla avec soin, soulignant mes yeux de larges nuances de noir, qui donnèrent à mon regard une profondeur assez troublante. Elle me peigna, serrant mes cheveux en un sévère chignon, puis après m'avoir passé un rouge à lèvres très sombre, elle me choisit de lourds pendentifs d'oreille argentés et recouvrit le voile de soie qu'elle avait noué autour de mon cou, d'un large collier de cuir noir muni d'un anneau, qu'elle ferma d'un petit cadenas. Elle mit la clé de celui-ci de côté et me vaporisa largement d'un parfum fort et musqué, très entêtant.

L'image que me renvoyait le miroir était celle d'une créature entourée d'un halo de mystère et d'érotisme pervers...

Nous redesendîmes au salon où nous discutâmes comme deux vieilles amies, en attendant le retour de Charles et de son mystérieux ami.

Lorsque Charles arriva, il nous présenta son compagnon « Pierre-Emmanuel », un homme grand à l'air austère et sévère, d'une soixantaine d'année, à moitié chauve, avec des yeux bleus acier qui fascinaient, strictement vêtu d'une lourde pelisse noire à col de fourrure. Ma tenue devait le fasciner car il ne me quitta pas des yeux durant cette présentation. Charles en vint vite au but de ma visite, et à la présence de son ami... Pierre-Emmanuel souhaitait satisfaire une envie très ancienne : exhiber une femme dans des lieux publics et assister aux ébats qu'il lui ordonnerait d'exécuter. Il était marié, mais sa femme – pourtant fort libre, voire vicieuse et perverse d'après Charles... - lui avait toujours refusé ce plaisir. Aussi Charles avait parlé de moi à son ami et obtenu de Victor qu'il me « prête » afin de m'utiliser pour cette expérience, sachant mon goût prononcé (et mes aptitudes licencieuses) à me plier à de tels jeux exhibitionnistes.

L'homme s'adressa alors à moi d'une voix grave en me demandant si j'étais prête à l'accompagner. Me remémorant les promesses faites à mon amant, je m'entendis murmurer « Oui monsieur... » en baissant les yeux. « Parfait répondit l'homme, nous allons donc pouvoir commencer dès ce soir. » Charles me prit alors par la main et m'entraîna jusqu'au living-room, où, délaissant mon splendide manteau de vison que Victor m'avait offerte et que j'avais accroché en arrivant, il me choisit une veste ¾ de fourrure léopard, qui m'arrivait à peine à ras de la courte robe qu'il m'avait choisie !

« Très pute » me dit-il en me regardant ainsi habillée, « Le style panthère te va décidément très bien; nous allons le compléter » et il choisit dans la grande panière du living, un foulard de soie imprimé panthère qu'il me demanda de nouer sur ma tête avec double retour au menton puis sur la nuque.

Je m'exécutai sans quitter mon image dans la grande glace murale du living, constatant effectivement qu'ainsi vêtue, j'avais vraiment l'air d'une prostituée prête au racolage... « Elle est prête » déclara Charles à son ami; celui-ci vint me rejoindre, sourit légèrement en me découvrant ainsi habillée, et Charles lui remit les clefs et les papiers de sa voiture. Puis, prenant mon bras, l'homme m'entraîna dehors vers la limousine de Charles où il m'invita à monter avant de s'installer au volant.

Sylvia-fiere-de-ses-nouveaux-bijoux-de-soumise.jpg
Par sylviafoulard
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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:19

1 - Baronne avec carré Hermès

Je suis restée près de huit ans avec Victor.

D'abord en le retrouvant en cachette chaque jeudi après-midi et la plupart des week-end, ma mère croyant que j'étais avec des amis. C'est lui qui m'a tout appris, qui m'a initié et conduit vers une féminité radieuse et assumée. Il m'a acheté mes premières et propres parures, que je laissais chez lui. Mes premières soieries et tenues féminines; exigeant que je cesse de porter celles de ma mère.

Il m'a couverte de robes, de bijoux, de fourrures et de foulards, voulant que je sois toujours plus belle lorsque nous sortions ensemble à Paris, au cinéma, au restaurant, au théâtre ou à l'Opéra.

Ma mère cessa très vite d'être ou de paraître dupe de mes sorties. Un jour elle me montra un peu de fond de teint sur le col de l'une de mes chemises, et me dit qu'elle avait trouvé un arachnéen string de dentelles noire dans mes affaires...

Un autre jour elle me surprit à demi-nu dans ma chambre, avec le fin corset, les bas et le slip de soie noire qui ne me quittaient plus jamais sous mes effets de lycéen.

Nous eûmes une longue et difficile discussion. Elle se rendait compte que ses nombreuses absences étaient peut-être la cause de l'issue qu'avait prise ma vie durant celles-ci. Elle se sentait responsable de mes « écarts » à cause de son travail et de ses trop fréquentes absences. Je décidais de ne rien lui cacher et lui avouait ma passion amoureuse et ma relation avec Victor.

Elle refusa dans un premier temps de rencontrer Victor, qui souhaitai la rassurer sur la teneur de notre relation, puis elle finit par accepter. Il lui fallut quelques semaines pour qu'elle accepte de le rencontrer en ma présence.

Je me souviens très bien de cette soirée où j'apparus pour la première fois devant elle entièrement maquillée et travestie. Elle ressentit un choc en nous voyant assis côte à côte face à elle, mais Victor expliqua merveilleusement bien notre entente, la rassura sur mon avenir, lui proposa un contrat écrit d'engagement vis à vis de moi, et nous sentîmes la partie presque gagnée, lorsque ma mère me prit dans ses bras, et m'embrassant, m'avoua qu'elle me trouvait « très belle » !

Victor revint voir ma mère le lendemain matin et règla avec elle les détails de son « tutorat » avec moi... Il l'assura de son amour pour moi, de sa volonté de me mener au terme de mes études, puis de m'aider à m'insérer professionnellement à ses côtés. Ma mère hésitait, elle redoutait cette séparation et en même temps ne voulait pas me blesser. C'est ma profonde conviction, ma détermination assumée à vivre aux côtés de Victor – mais pas loin d'elle – qui arracha son accord. Je l'embrassais tendrement en la remerciant de me laisser vivre ma passion amoureuse, puis je fis mes affaires, et partis m'installer chez Victor, en l'assurant que je continuerais de vivre entre les deux appartements et de partager avec elle de très nombreux moments, et soirées...

La première fois où j'arrivais à l'appartement familial en robe de mousseline bleue, légèrement maquillée, et mes longs cheveux noués en catogan par un foulard de soie, elle éclata en sanglots, puis sèchant ses larmes, elle me prit dans ses bras, m'embrassa et m'avoua qu'elle me « trouvait de plus en plus belle »...

A la fin de mes études de droit, à dix-neuf ans, je me suis installée définitivement chez Victor, en quittant définitivement mes effets masculins.

J'avais laissé pousser mes cheveux, et je passais régulièrement chez le coiffeur entretenir ma permanente. Victor m'emmena faire épiler électriquement les quelques rares poils et duvets qui subsistaient ici ou là, et je pris l'habitude de vivre totalement en femme 24 heures sur 24.

Victor essaya de me dissuader de la prise d'hormones pour obtenir une poitrine féminine,mais se rendit vite à mes pressions et arguments, et il me présenta à l'un de ses amis médecin qui se chargea du traitement.

Au bout de quelques semaines, ma voix s'était encore adoucie, des petits seins en poire étaient apparus, dont la lente progression me procurait un plaisir sans nom. Et je pus bientôt remplir mes soutiens-gorge sans avoir à les étoffer de leurres de coton...

Les premiers mois ensemble se passèrent comme dans un rêve; Victor me couvrit de cadeaux, me faisant faire le tour de très nombreux magasins pour me vêtir entièrement selon ses goûts. Ma féminité et mon côté androgyne ne laissèrent jamais deviner mon état auprès des commerçants que nous visitions.

A l'issue des séances esthétiques et capilaires que Victor me paya, je pus – enfin – laisser librement pousser mes cheveux et mes ongles !

J'étais pour la première fois, et au grand jour, totalement dans mon nouveau corps de femme, et Victor me présenta à la concierge de son immeuble, comme « Sylvia, sa compagne et future femme ». Il me donna le double de ses clés et y ajouta une magnifique bague (de fiançaille) assortie de deux boucles d'oreilles, qu'il me posa lui-même après m'avoir percé le lobe de mes oreilles, pour y accrocher les lourds pendentifs en or...

Ces années près de Victor furent pour moi d'amoureuses années d'initiation et d'épanouissement.

Initiation aux jeux érotiques de plus en plus divers et pervers auxquels m'initia Victor, mais surtout ses amis Henriette et Charles, un couple d'une cinquantaine d'années qui habitait une superbe propriété au Vésinet, près de la forêt de Saint Germain.

Victor m'expliqua qu'il fut un temps l'amant d'Henriette avec le consentement de son époux, qui la maintenait en stricte obéissance et la dirigeait très sévèrement. Je fis leur connaissance un dimanche après-midi. Leur propriété était immense, composée d'une grande maison normande sur trois niveaux au milieu d'un joli parc arboré. Henriette vint elle-même nous ouvrir en tenue de soubrette, baillonnée et les jambes entravées par une courte chaîne munie d'un grelot, qui l'obligeait à de petits pas et annonçait partout son arrivée...

Elle était très belle, grande rousse pulpeuse aux yeux verts, et ne paraissait pas son âge, (elle avait près de 55 ans)

Très ignorante des affaires de sexe, je ne savais rien du monde de la soumission et de « l'éducation anglaise »... Victor me mit très rapidement au courant des moeurs pratiquées par certains de ses amis, et je me glissai assez voluptueusement et rapidement dans cet univers de pouvoir, de contrainte et de stricte obéissance.

Charles sentit très vite en moi mes pulsions de soumission à Victor, et il sut très intelligemment les utiliser, pour qu'au bout d'un certain temps et de quelques rencontres, Victor lui-même me laissa seule un soir en leur compagnie, en m'ordonnant ...de ne rien leur refuser !

Un peu inquiète - mais aussi assez excitée – je passai une soirée et une nuit assez torride en leur compagnie. Henriette m'avait soigneusement préparée pour la nuit : corset lacé, bas noirs, escarpins, avant de menotter mes poignets dans mon dos; puis elle me posa un foulard de soie noire sur les yeux, et me poussa dans les couloirs de la maison où elle m'abandonna à son mari et Maître, qui usa de moi toute la nuit, me procurant à la fois douleur et plaisir, dans une délicieuse nuit de punitions et de caresses qui me firent découvrir une autre face du plaisir.

Une fois rentrée à Paris, je racontai tout en détail à Victor, et il prit l'habitude de me prêter assez régulièrement à ce couple pour des jeux érotiques qui portaient ma sensibilité au faîte de mon plaisir. Toujours aveuglée et entravée pendant nos rapports, je réalisais qu'il m'offrait parfois également à d'autres hommes, puisqu'une nuit, je sentis soudain plusieurs mains me caresser, avant de prendre en bouche un sexe, et sentir bientôt un autre se faufiler entre mes petites fesses.

Charles devint à cette époque l'un de mes amants réguliers, mais aussi un Maître exigeant et sévère, auquel Victor me prêtait de plus en plus fréquemment...

Sous la férule de Charles je découvris avec ravissement que j'étais faite pour obéir ! Il me révèla cette soumission masochiste qui sommeillait en moi et qui m'amena progressivement à basculer lentement dans l'état qui fut ensuite le mien, durant les années suivantes : au service des hommes (et des femmes) qui surent user et abuser de moi.

Epanouissement aussi dans mon nouveau corps de femme. Mes seins avaient poussé, délicieux attributs féminins que je caressais sans cesse; je portais maintenant des bonnets 85 B et mes mamelons larges et rosés, se terminaient par de délicieux tétons érectibles et sensibles, que Charles prenait souvent plaisir à m'étirer douloureusement à l'aide de poids...

Ma taille s'était encore affinée, et je me stabilisai au bout de quelques mois autour de 58 kilos (pour 1m75). Mes cheveux chatain clairs descendaient maintenant au-delà de mes épaules, et je les fis teindre en blond vénitien, adorer les porter soit étalés, soit ramenés en catogan et retenus par un foulard de soie.

L'esthéticienne avait entièrement épilé mon corps et m'avait légèrement redessiné sourcils et lèvres, qui avaient bénéficié, ainsi que mes pommettes, d'un léger traîtement oestrogène. Enfin, deux exercices quotidiens réguliers : le port du corset et de très hauts talons aiguille, avaient cambré ma silhouette et donné du galbe à des jambes que je savais très belles et fuselées, pour avoir entendu des messieurs me complimenter sur elles, lorsqu'ils me croisaient dans la rue ...ou lorsqu'ils me caressaient de l'aine à la cheville...

Je sortais de temps en temps avec Charles depuis plus d'un an, lorsque Victor m'expliqua un jour, que son ami voulait m'avoir « toute entière à lui » pendant une semaine chez lui !

Je ne m'étonnai guère de ce souhait, Charles me l'ayant fréquemment évoqué, car il caressait l'idée de m'initier à la soumission totale, mais avait besoin de me prendre entièrement sous sa coupe pendant la durée de mon initiation. Il m'expliqua que ce serait un merveilleux cadeau d'anniversaire pour mon Maître et Pygmalion Victor, ce qui eut pour effet d'apaiser mes appréhensions ou réserves, en m'excitant d'un tel cadeau pour mon Homme...

 

Par sylviafoulard
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