Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:25

L’homme démarra la lourde limousine et sortit de la propriété. Nous roulâmes en silence sans prononcer une seule parole. Au bout d’un long moment il posa sa main droite sur mon genou et le caressa légèrement ; puis, remontant le long de ma cuisse, il souleva ma robe de dentelle et atteignit la jarretelle qui maintenait mon bas. Je suis assez excité par ce que j’ai envie de faire avec toi ; nous allons essayer de maintenir ce délicieux climat… Nous étions arrivés en bordure du Bois de Boulogne, et l’homme engagea le lourd véhicule en direction de la porte Dauphine. Arrivés au rond-point, nous en fîmes lentement le tour, nous attardant à remarquer quelques véhicules arrêtés, en quête de partenaires d’un soir, mais il continua sans s’arrêter et reprit le boulevard des maréchaux vers la porte d’Auteuil, qu’il suivit un long moment, avant de s’engager dans une contre-allée peu éclairée en bordure du Bois. Il ralentit l’allure du véhicule, puis avisant une place le long du trottoir, sous la frondaison des arbres d’un épais bosquet, il se gara, coupa le moteur et, allumant le plafonnier, se retourna vers moi : "Ôte ton manteau, et enlève ta robe". Je m’exécutai, me retrouvant en bustier bas et string à ses côtés. "Remets ton manteau de fourrure, et vas faire quelques pas le long de ce trottoir en laissant celui-ci bien entrouvert". Puis il ouvrit ma portière et me poussa doucement dehors.

Je me retrouvai sur un petit trottoir en terre battue, près du bois dont les grands arbres procuraient une ombre protectrice. Je fis quelques pas et sentis quelqu’un marcher dans les taillis. Un homme sortit de l’ombre, vite suivi d’un autre. Je les détaillai ; le premier avait une trentaine d’années, des petites lunettes d’écaille, le type même du « mateur » un peu timide ; l’autre, plus âgé, plus sur de lui aussi, m’adressa aussitôt la parole :"Voulez-vous que nous regardions ou souhaitez-vous une collaboration un peu plus active ?" L’ironie de sa remarque s’accompagna d’un sourire et il posa sa main sur mon épaule, m’obligeant à lui faire face. Puis il écarta les pans de mon manteau de fourrure pour mieux me détailler ; il siffla "Pfui ! quels jolis dessous…Venez vous  mettre un peu à l’abri de la lumière pour que nous soyons plus à l’aise". Je jetais un regard vers la voiture, mais tous feux éteints, elle semblait abandonnée. Mon compagnon devait me regarder en silence… Il n’eût d’ailleurs pas un geste lorsque je suivis les deux hommes à l’ombre du bosquet.

Une fois à couvert, l’homme qui m’avait parlé se colla à moi, ses mains glissant sous ma fourrure commencèrent à me caresser. Il glissa ses doigts sous le voile de mon string et découvrit mon petit sexe lové au creux de mes cuisses. « Oh, oh, fit-il, mais c’est un joli travesti que nous avons là… » Il me serra la queue entre ses doigts, et colla ses lèvres aux miennes, sa langue se glissa au fond de mon palais allant chercher la mienne pour s’emmêler à elle. De sa main il dégagea mon sexe de son écrin soyeux et le caressa tendrement. Le plus jeune lui, s’était glissé derrière moi, et toujours sans un mot avait entrepris de faire glisser la ficelle de mon string sur mes talons. Il posa ses mains sur mes fesses et me massa doucement. Je levai la tête et découvrit que durant ces premières caresses nous avions été rejoints par deux ou trois autres hommes, des silhouettes qui nous regardaient en silence ; je crus bien que l’une d’elle était celle de Pierre-Emmanuel ! L’homme qui m’avait embrassé me prit par le cou, et m’embrassant à nouveau à pleine bouche, continua de caresser mon sexe qui avait pris quelques dispositions étonnantes, tandis que de son autre main, il alla lui aussi malaxer mes fesses et glissa son index au bord de mon anus, et il gloussa lorsque celui-ci pénétra sans aucune difficulté dans mon orifice culier…"Vas-y toi, dit-il au jeune homme, encules-la d’abord pendant qu’elle me suce." Puis, s’étant adossé au tronc d’un gros arbre, il se débraguetta et sortit un membre long et fin qui recourbait son gland vers le ciel – "Vas-y "me dit-il, et cédant à l’invite en me penchant à 90°, je pris à pleine bouche ce sexe dressé, en prenant bien soin de retrousser mon manteau de fourrure sur mes reins, pour que son jeune compagnon découvre ainsi une vision charmante de l’endroit que j’allais lui offrir ! Il se hâta d’ailleurs de m’honorer de sa présence, et mettant ses mains sur mes hanches, posa le galet dur et humide de son sexe sur ma raie, et sans effort apparent, glissa l’intégralité de son sexe que je sentais fort et noueux, en moi. Je poussai un petit cri de plaisir, lorsque l’extrémité de son gland vint buter au fond de moi ; mais déjà les mains de l’autre homme s’étaient glissées sous mon bustier de skaï et du bout de ses doigts il écrasait durement la pointe de mes seins, me procurant une montée d’excitation d’une intensité peu commune, et d’autant plus forte, que les va-et-vient de celui qui me pilonnait, commençaient à m’arracher de petits cris de plaisir.

 Je suçais son sexe avec application et ferveur, les yeux fermés, tandis que des ondes de plus en plus violentes de plaisir irradiaient mon corps soumis à cet enculage délicieux. La douleur de mes tétons malmenés par les doigts de l’inconnu que je pompais, se mêlait à mon excitation ; j’ondulais du bassin comme une chienne en chaleur, et les jambes écartées j’essayais de toucher mon sexe dur, pour accroître cette montée de sève… Le jeune homme eût soudain un râle violent de plaisir et il se retira en inondant mes fesses de longues giclées de sperme tiède. Je m’appliquais à procurer un plaisir aussi intense à celui que je suçais ; les yeux demi-clos, il murmurait des insanités en me caressant d’une main le foulard qui recouvrait ma nuque, et de l’autre en continuant de torturer les pointes de mes seins…"Vas-y sale pute, vas-y ma salope, suces moi bien, je vais jouir… oh oui, je sens que je vais jouir dans ta bouche salope… tu vas tout avaler, tu vas te régaler, oh ouiii…là… " et il éclata soudain en vigoureuses saccades que je recueillis à pleine bouche, mais se dégageant, il aspergea aussi mes lèvres et mes joues… Je me redressai face à lui, et m’ayant prise par le cou, il m’enlaça et de sa langue vint nettoyer le bas de mon  visage, encore ruisselant de sa laitance. Puis il m’embrassa de nouveau, et je poussai alors dans son palais, une partie de son sperme que j’avais gardé dans ma bouche. Il l’avala en riant, et m’embrassa de plus belle ; "Tu es une drôle de salope toi alors ! " Et dans sa bouche, j’avais conscience que cela équivalait à un sacré compliment ! Exhibee-et-offerte-la-nuit-au-Bois.jpgexhibee-la-nuit-au-Bois.jpg

Par sylviafoulard
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