Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:20

Pose-des-bijoiux-sur-tetons-2.jpg C'est donc avec une légère appréhension, mais aussi une énorme excitation, que je préparai mes affaires pour cette semaine avec Charles (et Henriette) au Vésinet. Victor m'aida à chosir mes robes et parures, et m'aida à boucler ma valise. Puis, il me fit agenouiller devant lui, et sans attendre, je déboutonnai sa braguette, allant chercher de mes doigts manucurés son sexe replié dans son caleçon de soie; puis, le prenant en bouche, je m'appliquai à lui procurer une superbe fellation.

J'étais devenue experte en la matière; au cours de nos soirées et dîners avec les amis de Victor, il m'avait souvent envoyée à genous sous la table, m'initier aux caresses et prémisses de cet acte d'amour. Pendant que ma langue caressait son méat, et que de mes lèvres, je faisais coulisser la peau autour de son gland, Victor me donna ses dernières instructions. Il me voulait totalement obéissante à Charles « comme à moi-même » ajouta-t-il. Il ne voulait souffrir aucune plainte de son ami à mon encontre, m'avouant que toute erreur ou refus de ma part, lui serait aussi intolérable que si je les avais manifestés à son égard. Il feula lorsque ma langue l'amena au plaisir, et il jouit en longues saccades tièdes dans ma bouche. J'avalai goulûment sa semence, et il me fit relever, puis m'embrassa tendrement.

Il me fit jurer une totale obéissance à Charles, puis enfilant son manteau, il prit ma valise, m'aida à enfiler mon vison, et, me tenat le bras, m'accompagna jusqu'au garage et à sa voiture; puis nous prîmes la route de la banlieue Ouest.

Durant le trajet, Victot insista à nouveau pour me rappler à l'obéissance. J'en fus quelque peu étonnée et lui en fis part aussitôt. Il parut gêné, puis m'avoua que Charles subventionnait largement depuis plusieurs années ses vignes et sa propriété familiale, et qu'il s'était beaucoup endetté à son égard pour maintenir son – notre – train de vie parisien... Charles avait accepté billets à ordre et retards de remboursement, mais la semaine passée, il avait proposé à Victor de tirer un trait surs ses dettes, à condition que celui-ci me « prête » à Charles une semaine par mois pendant un an !

J'étais stupéfaite; au moins autant par l'annonce de la dépendance financière de mon amant que de ce troc insolite dont j'étais l'objet.

Victor me supplia alors de lui pardonner, et me proposa même de rentrer à l'appartement, s'engageant à essayer de chercher et trouver d'autres solutions à ses problèmes financiers, ne m'impliquant pas...

C'est moi qui mit les choses au point. Je lui rappelai d'abord que je l'aimai : qu'il était mon amant, moninitiateur, mon Maître, que je lui devais tout. Qu'il m'avait initiée, en me révêlant ma véritable nature, et que je lui en serai éternellement reconnaissante. Qu'il avait en outre dépensé sans compter pour mes toilettes, mes frais esthétiques, mes parures et ma garde-robe, nos sorties et nos soirées parisiennes. J'étais à lui, je lui appartenais, comme une femme à un homme adoré, et je voulais à mon tour l'aider à ses sortir de cette mauvaisse passe financière passagère, en lui prouvant mon amour et ma reconnaissance, par une totale soumission à ses besoins. Je lui baisais la main en l'assurant que je serai totalement obéissante aux désirs de son ami Charles, et qu'il serait fier de moi. Il arrêta alors le véhicule, me prit dans ses bras, et m'embrassa avec passion, avant de reprendre la route vers le Vésinet.

Victor m'avait juste déposée et n'était pas resté; je me suis donc retrouvée avec Henriette qui était seule dans la propriété. Elle n'était pas en soubrette ce soir-là et après m'avoir débarrassée de mes affaires, elle m'invita au salon où elle me servit du thé. Elle m'indiqua que son Maître (Charles) était parti à l'aéroport accueillir l'un de ses amis, et qu'il avait l'intention de me présenter ce soir à cet ami, qui s'installerait chez eux pour quelques jours. Elle me précisa également que Charles l'avait envoyée cette semaine à Paris, faire quelques emplettes spécialement pour moi, car il lui avait dit qu'il me voulait particulièrement « en beauté » et « très désirable » lorsque je serai présentée à son ami... Puis elle m'invita à m'installer dans ma chambre, et m'annonça qu'elle allait me préparer un bain moussant délassant, avant de m'aider à me préparer pour leur arrivée, qui était fixée aux alentours de 21 h.

Le bain brûlant me réchauffa, puis Henriette vint me sécher avec un grand drap de bain, dont elle m'enroba, avant de m'accompagner dans la chambre qui m'était destinée. Des paquets et des sacs étaient étalés sur le grand lit; « Vos affaires » me fit-elle en me les montrant. Henriette déballa soigneusement les emplettes et je découvris avec une certaine surprise, des tenues moins raffinées que celles que j'avais l'habitude de porter... Elle avait du faire ses achats dans des magasins spécialisés de Pigalle ou de la rue Saint Denis !

Ecartant le drap de bain, je me mis nue devant elle, pour qu'elle me lace un corset de skaï noir, brillant et glacé dont elle tendit si fort les lacets de serrage que je sentis ma taille s'évaser et ma respiration se bloquer. Elle s'accroupit ensuite à mes pieds et m'enfila de longs bas de nylon noir à résille, qu'elle fixa aux 6 jarretières métalliques du corset. Elle ouvrit une boite et me montra les bottines que je devais porter : vernies noir avec laçage et talon aiguille de 15cm, ornées autour de la cheville d'une petite bande de fourrure noire. Un simple string ficelle de nylon noir, eut bien de la peine à cacher mon petit sexe épilé. Une courte robe – totalement transparente ! - de dentelle noire complétait ma tenue. Elle noua enfin autour de mon cou un léger voile de soie imprimé panthère, puis satisfaite me pria de m'asseoir face à la coiffeuse.

« C'est tout ce que je porterai ? lui demandais-je Oui, c'est tout ce que mon Maître m'a indiqué. » Puis elle me maquilla avec soin, soulignant mes yeux de larges nuances de noir, qui donnèrent à mon regard une profondeur assez troublante. Elle me peigna, serrant mes cheveux en un sévère chignon, puis après m'avoir passé un rouge à lèvres très sombre, elle me choisit de lourds pendentifs d'oreille argentés et recouvrit le voile de soie qu'elle avait noué autour de mon cou, d'un large collier de cuir noir muni d'un anneau, qu'elle ferma d'un petit cadenas. Elle mit la clé de celui-ci de côté et me vaporisa largement d'un parfum fort et musqué, très entêtant.

L'image que me renvoyait le miroir était celle d'une créature entourée d'un halo de mystère et d'érotisme pervers...

Nous redesendîmes au salon où nous discutâmes comme deux vieilles amies, en attendant le retour de Charles et de son mystérieux ami.

Lorsque Charles arriva, il nous présenta son compagnon « Pierre-Emmanuel », un homme grand à l'air austère et sévère, d'une soixantaine d'année, à moitié chauve, avec des yeux bleus acier qui fascinaient, strictement vêtu d'une lourde pelisse noire à col de fourrure. Ma tenue devait le fasciner car il ne me quitta pas des yeux durant cette présentation. Charles en vint vite au but de ma visite, et à la présence de son ami... Pierre-Emmanuel souhaitait satisfaire une envie très ancienne : exhiber une femme dans des lieux publics et assister aux ébats qu'il lui ordonnerait d'exécuter. Il était marié, mais sa femme – pourtant fort libre, voire vicieuse et perverse d'après Charles... - lui avait toujours refusé ce plaisir. Aussi Charles avait parlé de moi à son ami et obtenu de Victor qu'il me « prête » afin de m'utiliser pour cette expérience, sachant mon goût prononcé (et mes aptitudes licencieuses) à me plier à de tels jeux exhibitionnistes.

L'homme s'adressa alors à moi d'une voix grave en me demandant si j'étais prête à l'accompagner. Me remémorant les promesses faites à mon amant, je m'entendis murmurer « Oui monsieur... » en baissant les yeux. « Parfait répondit l'homme, nous allons donc pouvoir commencer dès ce soir. » Charles me prit alors par la main et m'entraîna jusqu'au living-room, où, délaissant mon splendide manteau de vison que Victor m'avait offerte et que j'avais accroché en arrivant, il me choisit une veste ¾ de fourrure léopard, qui m'arrivait à peine à ras de la courte robe qu'il m'avait choisie !

« Très pute » me dit-il en me regardant ainsi habillée, « Le style panthère te va décidément très bien; nous allons le compléter » et il choisit dans la grande panière du living, un foulard de soie imprimé panthère qu'il me demanda de nouer sur ma tête avec double retour au menton puis sur la nuque.

Je m'exécutai sans quitter mon image dans la grande glace murale du living, constatant effectivement qu'ainsi vêtue, j'avais vraiment l'air d'une prostituée prête au racolage... « Elle est prête » déclara Charles à son ami; celui-ci vint me rejoindre, sourit légèrement en me découvrant ainsi habillée, et Charles lui remit les clefs et les papiers de sa voiture. Puis, prenant mon bras, l'homme m'entraîna dehors vers la limousine de Charles où il m'invita à monter avant de s'installer au volant.

Sylvia-fiere-de-ses-nouveaux-bijoux-de-soumise.jpg
Par sylviafoulard
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